Eh oui, c'est la deuxième phrase, parce que cette deuxième phrase, elle exprime la nécessité, l'obligation. Il faut que j'aie une bonne note. On mettra donc un « e » à la fin de « ai » : aie.
La forme "aie" correspond à : la première personne du singulier (je) du subjonctif présent (que j'aie). Exemple : "Il faut que j'aie mon examen, cette fois-ci !" ; la deuxième personne du singulier (tu) de l'impératif présent : "N'aie pas peur, aie confiance en toi."
« Aie » est la forme conjuguée du verbe « avoir » à la première personne du singulier du subjonctif présent : « que j'aie ». Cette forme n'est donc pas adaptée pour la troisième personne du singulier, « il ». La bonne conjugaison pour « il » au subjonctif présent du verbe « avoir » est « qu'il ait ».
«Employé avec l'auxiliaire avoir, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct quand celui-ci le précède (les crêpes que j'ai mangées). Mais si le complément suit le participe, il reste invariable (j'ai mangé les crêpes).»
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
Il faut écrire : Après que chacun a gagné sa place, le cours commence. Si la locution « avant que » est suivie du subjonctif, « après que » entraîne nécessairement l'indicatif, ici au passé composé.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Dans pour que tu aies , aies s'écrit avec un e et un s . Cette terminaison -es , c'est celle du subjonctif présent, avec le sujet tu . On emploie cette tournure dans des phrases comme : pour que tu aies le temps , pour que tu aies l'info , pour que tu l'aies en tête , pour que tu n'aies pas froid .
Les terminaisons du subjonctif présent
Au présent du subjonctif, tous les verbes (sauf avoir et être) ont les mêmes terminaisons : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Aïe, j'ai mal !
de tréma sur le « i », « ai » se prononce « è », et le « e » final n'a aucune influence sur la prononciation. Que j'aie, que tu aies, qu'il ait, que nous ayons, que. vous ayez, qu'ils aient.
Dans que tu aies , le verbe s'écrit avec un e et un s . Cette terminaison -es , c'est celle du subjonctif présent, avec le sujet tu .
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Dans pour qu'il y ait , ait s'écrit avec la terminaison t . On l'emploie par exemple dans : pour qu'il y ait le moins de mécontents possible , pour qu'il y ait quelqu'un qui réponde , pour qu'il y ait du monde qui vienne .
Doit-on écrire AI ou AIS ? – Conjugaison au futur : la terminaison de la première personne du singulier est AI. – Conjugaison au conditionnel : la terminaison de la première personne du singulier est AIS.
J'espère que tu vas bien. Aussi, j'espère que tu ailles bien. Les deux sont correctes.
Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Inclus dans votre colis, un échantillon du nouveau parfum à la mode. Le participe passé du verbe « inclure » est « inclus », avec un « s », et non « inclu ».
Exemples, pour la graphie elles ont eu : elles ont eu très peur , elles ont eu lieu pendant la matinée , elles ont eu de la chance , elles ont eu droit à un exemplaire gratuit , elles ont eu un différend d'ordre professionnel .
Comment écrire le mot vu dans une phrase qui contient cette formule ? Que faut-il mettre à la fin : un e , un s ou rien du tout ? Dans la plupart des cas, on écrit j'ai vu sans rien au bout, et parfois j'ai vue avec un e et j'ai vus avec un s (ou les deux).
Le participe passé conjugué avec "avoir" et suivi d'un infinitif, s'accorde si l'objet direct qui précède se rapporte au participe. Je les ai vus manger. Si l'objet direct se rapporte à l'infinitif le participe passé reste invariable. Les élèves que j'ai envoyé chercher.
La règle est la suivante : quand un participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir, il ne s'accorde pas. On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable.
Avec « penser que » et « croire que », on utilise aussi l'indicatif SAUF à la forme négative qui elle, exige l'emploi du subjonctif. Exemples : Je crois qu'elle connaît la musique classique. Je ne crois pas qu'elle connaisse la musique classique.
À la différence de avant que, qui implique une notion d'éventualité, après que, marquant que l'on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l'indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée.