C'est pourquoi on les appelle SENSEI. On utilise aussi ce titre honorifique, SENSEI, pour les politiciens et écrivains, notamment.
sensei n.m. Dans les arts martiaux, le professeur, le maître.
Sensei (先生), est un terme japonais désignant « celui qui était là avant moi, qui est garant du savoir et de l'expérience d'une technique ou d'un savoir-faire », ou de manière plus condensée un maître qui donne son enseignement à un élève.
Le Maître Gichin Funakoshi est le père fondateur du karaté-do moderne. C'est en tant que président de la Okinawa Shobukai, une association de karaté, qu'il fut convié en mai 1922 par le ministère de l'Éducation à prendre part à une démonstration, agréée par le gouvernement nippon, organisée à Tokyo.
Pour la petite histoire, Jigorō Kanō fut le seul détenteur du 11ème dan : après sa mort, on lui attribua le 12ème dan à titre honorifique, la plus haute distinction décernée, et symbolisé par une large ceinture blanche (couleur des débutants, pour signifier que l'on n'a jamais tout appris).
Sensei, pour certaines professions
Sensei est un suffixe utilisé pour les professeurs, les médecins ou les artistes. Contrairement aux autres suffixes, il peut être utilisé seul, sans le nom de famille.
Dans la culture japonaise, le senpai (先輩, parfois transcrit sempai) est l'élève avancé et le kōhai (後輩, parfois transcrit kouhai) est le jeune élève. Le senpai a un rôle de tuteur auprès du kōhai et de relais de l'enseignement du sensei, le professeur ; en retour, le kōhai doit le respect au senpai.
Le karaté (空手道, karate-dō) est un art martial, dit japonais.
Le kiai, le cri du karatéka
"En japonais, le ki, c'est l'énergie. Le kiai, c'est donc un moment où le karatéka s'implique pleinement, physiquement et mentalement, dans l'action qu'il réalise. C'est une implication totale de l'être, une union des énergies."
Les karatekas se saluent en inclinant la tête vers/contre les mains au sol.
Coups de pieds (Keri)
Mae-geri: Coup de pied avant 1) Keage: fouetté. 2) Kekomi: chassé. Mae-tobi-geri: Mae-geri sauté. Fumikomi: Coup de pied écrasant.
さん s'utilise pour montrer du respect envers les personnes les personnes avec lesquelles vous entretenez une relation neutre indépendamment de leur sexe, ça peut être des connaissances ou des collègues de travail. 💡 Tu peux comparer ce suffixe comme le vouvoiement en français.
En arabe, Samâ' est une notion d'audition spirituelle. En japonais, Sama est un suffixe utilisé pour marquer la grande importance de la personne à qui il est lié.
Téléphoner au Japon depuis la France
Pour appeler un numéro japonais, il faut composer 00 ou +, puis l'indicatif international 81 avant le numéro de téléphone.
好き (suki) : amour, affection. 大好き (daisuki) : je t'aime beaucoup/aimer beaucoup. 愛してる (aishiteru) : je t'aime.
Parfois, le mari appel sa femme 'neko-chan' c'est vrai mais c'est quand meme rare. Ma future femme qui est japonaise me dit que c'est la femme japonaise qui appel son mari "anata". Au debut, l'homme appelle sa femme par son prénom. Après quelques années, il l'appelle "maman".
"Sama yeuf" veut dire mon homme dans le pays de Youssou Ndour . Fatim Diabaté s'est inspirée de cette belle expression pour évoquer son amour pour Demba Kibili Kouyate .
Difficultés. L'adverbe et pronom relatif où s'écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c'est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l'avons rencontré ; c'est l'année où j'étais aux États-Unis.
Elève japonais qui a déjà acquis un grand nombre de connaissances et peut servir de tuteur à de jeunes élèves. Exemple : Le sempai est sous la direction de son professeur qui doit parfaire son éducation.
Le « non » japonais (iie) n'est employé que dans de très spécifiques occasions. On utilise plus souvent « daijoubu desu » qui signifie que l'on a besoin de rien d'autre.
« Oui » et « Non » peuvent être les premiers mots que l'on veut connaître en apprenant le japonais. De manière très simple, « はい » (hai) fait référence à « oui » et « いいえ »(iie) fait référence à « non ».
Heian Shodan (平安初段) est un kata de karaté de style Shōtōkan. C'est le premier et le plus simple des cinq kata de la série initiatique Heian. C'est donc en général le premier kata appris et pratiqué par les karatékas de l'école Shōtōkan.
Maître Gichin Funakoshi est considéré comme le père fondateur du karaté moderne. Il a joué un rôle principal dans le développement et la diffusion des art martiaux Okinawan, au Japon et au travers du monde.