Comment écrire tu es ? Quand on écrit ces mots dans une phrase, faut-il mettre un t à la fin du verbe ? Ou bien peut-être faut-il écrire ai ? Non et non : on écrit tu es , avec les lettres e et s , sans t .
Es et est. Es est le verbe être conjugué au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. Est est également le verbe être conjugué au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.
Il faut écrire : Cette promotion, elle ne s'y attendait pas. On peut dire, en remplaçant « si » par se » : « Elle ne s'attendait pas à cette promotion. » C'est donc qu'il faut écrire « s'y », et non « si ».
Étais ou été ? Dans la phrase j'en étais sûr , le verbe être est conjugué à l'imparfait. Rappelons cette conjugaison : j'étais et tu étais avec un s , il était avec un t .
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
soit la condition, soit l'interrogation, soit l'intensité, soit, encore, une comparaison à la place de 'aussi '.
« J'ai été » fait partie du langage familier et est utilisé pour décrire une situation statique ou bien un état. « Je suis allé » fait partie du langage soutenu et est utilisé pour exprimer une idée de mouvement.
S'il y a une notion de mouvement, dites plutôt « je suis allé » que « j'ai été ». L'emploi de « être » pour « aller » lorsqu'on le fait suivre d'un verbe à l'infinitif ou d'un complément de lieu relève du langage familier. Ne dites donc pas : J'ai été au cinéma voir le dernier Spielberg.
Dans l'interrogation indirecte, quand s'emploie sans inversion du sujet et de préférence sans la locution est-ce que : je me demande quand vous viendrez (plutôt que : je me demande quand est-ce que vous viendrez).
On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral. Elle comporte toujours un trait d'union entre le verbe « est » et « ce ».
Pour vous assurer qu'il faut bien employer « est » (du verbe être) et non « ai » (du verbe avoir), « pensez » la phrase à l'imparfait, par exemple : => « ce message vous était adressé » (verbe être) est compréhensible => Il s'agit bien du verbe être (est).
Étymologie de « quoi qu'il en ait »
Forme décalquée sur l'expression « malgré qu'il en ait », évitant un malgré que présumé fautif : voir malgré.
Formule interrogative moins familière et plus polie que "ça va ?". Leur sens est pourtant le même puisqu'on s'enquiert de la santé physique ou morale d'une personne. On s'attend à la réponse "Bien" ou "Mal". Exemple : Comment vas-tu ce matin ?
Locution-phrase
Salutation interrogative pour demander si la personne va bien ou mal à l'adresse d'une personne que l'on vouvoie. Comment allez-vous ?
Bonjour ! Ce n'est pas une question de point de vue mais de grammaire. Si le sujet est féminin, c'est : "Je suis allée."
Le verbe s'accorde normalement avec son sujet, pour le trouver on pose la question « Qui est-ce qui a(s) raison ? » : toi. On accorde donc à la deuxième personne du singulier : C'est toi qui as raison.
adv. Adverbe qui marque l'opposition entre deux choses liées ou entre deux aspects d'une même chose. Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
On écrit toujours « j'ai fait ».
On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ».
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)...
Sinon / si non. Au sens de « autrement, sans quoi », sinon s'écrit toujours en un seul mot : il faut laisser sécher la colle, sinon la réparation ne sera pas solide ; obéis, sinon gare !
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Si Muriel et Marcel suivent les conseils de Victor, ils réussiront leur mission.
L'imparfait du subjonctif peut équivaloir à un conditionnel présent, dans une proposition de même sens que celle commençant par même si (langue littéraire).