Quelques exemples : on est rentrés tard (ou rentré ), on est bien rentrés (ou rentré ). Si le mot on désigne un groupe de femmes, on peut accorder au féminin pluriel : on est rentrées à 2 heures .
On préfère largement utiliser le on à la place du nous à l'oral. - On est allés à la plage hier, j'en suis encore fatigué. - On est rentrés tard cette nuit. Dans un sens proche de l'ironie, on peut également se mettre à la place de tu et vous.
Rentrés au pluriel
Lorsque le mot vous désigne un groupe de personnes, on écrit vous êtes bien rentrées au féminin pluriel s'il s'agit d'un groupe de femmes et vous êtes bien rentrés avec un s dans les autres cas.
L'Académie française nous éclaire encore. Lorsque le pronom qualifie «un sujet dont on ignore le sexe ou le nombre», «des personnes indéterminées», l'usage veut que le participe ait un genre non marqué. C'est-à-dire un masculin singulier. Pour être correct, on préférera donc écrire: «On n'est pas sûr d'y arriver.»
Quelques exemples : on est arrivés à la conclusion que… (ou arrivé ), on est bien arrivés (ou arrivé ), on est arrivés à la maison (ou arrivé ). Si on parle d'un groupe de femmes, on peut accorder au féminin pluriel : on est arrivées à destination .
Le pronom on a la même valeur qu'un il, il commande donc un accord à la 3e personne du singulier.
On accorde en genre et en nombre si le référent est déterminé; sinon, le participe passé ou l'adjectif est invariable.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
En fait, les deux sont possibles, on peut écrire on est allés ou bien on est allé .
On écrit « on est parti » quand le pronom indéfini on désigne une personne ou un ensemble de personnes qu'on ne connaît pas, il est dans ce cas invariable et l'accord du verbe, de l'adjectif ou du participe passé qui l'accompagne est au masculin singulier. Le pronom on peut être remplacé par quelqu'un ou tout le monde.
trop bien ,même! Merci pour votre aide ! trop bien ,même!
On écrirait sans hésitation « nous sommes désolés » ou « elles sont désolées ». De la même manière, la version elliptique de cette formule d'excuse, très courante à l'oral ou sur internet, « désolé… », doit aussi s'accorder avec son sujet.
«On a été», «on est allés»: ne faites plus la faute!
Comment s'accorde le mot libre dans cette phrase : au singulier ou au pluriel ? Les deux sont possibles, on peut écrire vous êtes libre ou vous êtes libres , selon la ou les personne(s) à qui on s'adresse.
On écrit toujours au singulier certaines expressions comme sans foi ni loi ou sans tambour ni trompette, de même que sans commentaire, sans délai, sans difficulté, sans doute, sans effort, sans égard, sans encombre, sans regret, etc. On écrit au pluriel sans ambages et sans nouvelles.
Emploi des déterminants indéfinis chaque et tous pour exprimer la périodicité Pour exprimer la périodicité, on a souvent recours au déterminant indéfini chaque suivi d'un nom singulier (chaque jour), ou aux déterminants indéfinis tous ou toutes suivis du déterminant les et d'un nom pluriel (tous les jours).
Sur ce même principe, on écrit donne-m'en. C'est cette forme qu'il faut employer, même si la tentation peut être forte d'utiliser, par analogie avec donne-nous-en, les formes donne-moi-s-en ou donnes-en-moi.
Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle.
Si “on” a le même sens que “nous”, faites attention, son verbe est toujours au singulier. En revanche, l'adjectif attribut, le participe passé s'accordent en genre et en nombre en fonction des personnes qu'il désigne. S'il y a des pronoms disjoints, ils sont à la première personne du pluriel.
Exemple : Elles se sont disputé(?) toute la journée. => Elles ont disputé | qui ? => On doit donc accorder = Elles se sont disputées toute la journée.
On se conjugue au singulier (on est) mais peut être suivi d'un adjectif ou participe passé au pluriel. Pluriel quand on = nous : On en est sûrs (= nous en sommes sûrs). On s'est rencontrées (= nous nous sommes rencontrées).
Faut-il mettre un s au mot fier ou non, quand on écrit cette phrase ? Oui, on en met un, l'orthographe correcte est nous sommes fiers de toi .
On utilise le verbe rentrer pour dire que l'on rentre chez soi (que ce soit le lieu où l'on habite – maison, appartement – ou bien le pays dont l'on est originaire). au travail. Retourner, c'est aller de nouveau quelque part et la destination est différente de l'endroit où l'on se trouve au moment où l'on parle.