En Inde, les défunts sont enroulés dans un linceul, placés sur un brancard surplombant un bûcher fait d'environ un tiers de tonne de bois. Les défunts sont recouverts de fleurs, et sont brûlés. Les fleurs préférées consistent en des œillets d'Inde, en raison de leur caractère sacré.
La crémation hindoue et la période de deuil hindou
Dans l'hindouisme, il est pensé que le corps peut empêcher l'âme d'entreprendre son prochain voyage. Pour cette raison, les funérailles sont célébrées rapidement.
Un rite funéraire demeure commun quel que soit le courant bouddhiste : le corps de l'être cher est placé dans la position de Bouddha au moment de sa mort : sur le côté droit, main droite sous la joue et main gauche sur la cuisse gauche (position du lion allongé). Aucune toilette rituelle n'existe à proprement parler.
Le deuil. Après l'enterrement, une tradition veut que les proches du défunt suivent un jeûne : à La Réunion, cela signifie ne pas manger de viande pendant quelque temps. Cette période varie d'une personne à une autre : elle est plus longue pour une personne très proche du défunt comme son conjoint ou ses enfants.
Les rituels peuvent être des offrandes, des purifications (ablutions, jeûne), la récitation de mantras ou de prières. Les hindous pratiquants effectuent des rituels tous les jours, au lever et au coucher du soleil (souvent devant un autel, qui comprend une bougie et des offrandes devant les images des déités).
Il symbolise la paix et la pureté. En Inde, le blanc est la couleur du deuil. Lors d'un enterrement, chacun doit venir habillé de blanc, et les veuves revêtent également cette couleur tout le long de leur deuil.
Sati est le nom d'un personnage féminin dans le Mahabharata, celui de la veuve qui s'immole sur un bûcher funéraire selon un rite hindou, et celui de cette coutume funéraire hindoue pratiquée quelquefois au sein de la caste guerrière dans le monde indien.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures. Les photos ou lettres sont quant à elles autorisées car elles ne ralentissent pas la décomposition naturelle du corps.
En effet, en vertu de l'article 225-17 du code pénal, toute ouverture de cercueil sans autorisation est en principe constitutive d'une violation de sépulture et punie. L'ouverture d'un cercueil exige donc au préalable une autorisation judiciaire ou suppose une exhumation faite plus de cinq ans après le décès.
Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.
Un orchestre joue devant l'immeuble ou la maison avant d'accompagner la famille au cimetière ou au crématorium. Que le cadavre soit dans son domicile ou à l'hôpital, l'agence de pompes funèbres fera le déplacement pour le chercher dans le but de le préparer pour l'inhumation ou la crémation.
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
Le cercueil est installé sur deux chevalets, dans la salle centrale de la maison à proximité d'un autel. Sur le cercueil, sont placés un bol de riz et un œuf bouilli. Avant d'enterrer le défunt, la famille, les proches et amis du défunt viennent lui dire adieu, en brûlant en son hommage un bâton d'encens.
Une concession funéraire est un emplacement dans un cimetière dont on achète l'usage (et non le terrain). Ainsi, au moment du décès, le défunt a déjà un lieu où reposer. Pour une inhumation, la concession sera un caveau ou une tombe. Pour une crémation, elle sera une place dans un columbarium ou une cavurne.
Le prêtre commence un rituel qui dure plusieurs heures, la mariée arrive accompagnée de sa famille et de sa sœur (la tholi). L'union des deux époux est scellée par le prêtre suite à une bénédiction orale.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
Rosa Isabel Cespede Callaca, une Péruvienne de 36 ans, s'est réveillée et a donné des coups sur la paroi de son cercueil au milieu de la cérémonie d'enterrement. Son cercueil a alors été ouvert. "Elle a ouvert les yeux et elle transpirait.
"Les premières heures suivant le décès, le corps a une odeur de viande froide. Cette odeur va évoluer et tendre vers une odeur caractéristique de certains fromages forts comme l'Époisses ou le Maroilles", compare notre interlocuteur.
Le processus d'apparition des lividités cadavériques débute dès la mort de l'individu. En effet : La pompe cardiaque fait mouvoir le sang dans l'organisme et son arrêt en entraîne la stagnation. Après la mort, des ouvertures se forment dans la paroi des vaisseaux sanguins, constituées de cellules endothéliales.
Un cercueil de bonne qualité peut durer jusqu'à plus de 50 ans. D'un autre côté, les bois tendres comme le pin sont moins résistants et sélectionnés généralement pour une crémation.
Ne portez jamais de couleurs vives à un enterrement. Les couleurs primaires, comme le bleu, le rouge et le jaune, pourraient être interprétées comme un manque de respect et froisser la famille du défunt. Dans certaines cultures, le rouge est un signe de fête.
Le rite de la sati, tristement célèbre, a fait l'objet d'un débat au moins depuis le temps où les Britanniques se sont établis en Inde. Ce rite, bien entendu, est celui où l'épouse se brûle sur le bûcher de son mari lorsqu'elle devient veuve.
Le bindi ne se porte pas sur une partie du corps anodine, en effet la zone entre les sourcils fait partie des centre névralgique dus corps humain. Appliquer sur cette zone des bijoux stimule l'énergie du corps.
« Tilak » (cette marque rouge étant aussi nommée tika, bindi ou pottu) signifie littéralement signe, un signe associé par certains indianistes à la couleur du sang : on suppose en effet que les hommes de l'Inde antique marquaient de leur propre sang le front de leur femme, comme un symbole de propriété.