Une seconde solution possible est de pratiquer un sport ou des techniques de relaxation avant de prendre le volant. Le conducteur, reposé et libéré de ses soucis, pourra alors prendre la route bien plus en confiance.
Afin d'éviter de céder à la panique, il faut se faire à l'idée que l'anxiété va revenir en étant dans la voiture. Ainsi pour pouvoir la combattre, vous pourrez commencer par travailler sur votre respiration, en inspirant lentement par le nez et en expirant par le ventre plutôt que par le thorax.
Peur de conduire et stress post-traumatique
Le fait d'avoir assisté à un accident par exemple peut créer un blocage très fort envers tout ce qui concerne les véhicules. On appelle ce phénomène le stress post-traumatique, c'est-à-dire une angoisse qui se développe après un événement marquant.
Se faire accompagner par un proche de confiance en cas de peur de conduire seul, afin de reprendre de l'assurance et contrôler ses anxiétés. Faire des exercices de respiration et de relaxation, précieux alliés pour apprendre à gérer son stress dans différentes situations, en particulier au volant.
Utilisez le pied gauche pour la pédale d'embrayage et le pied droit pour le frein et l'accélérateur. Observez le bras de vitesses et notez où elles se situent les unes par rapport aux autres. Habituellement, la première vitesse (1) est en haut à gauche et les autres s'alternent jusqu'à la cinquième.
On appelle "amaxophobie" la peur de conduire. Une phobie bien spécifique, qui se traduit généralement par des crises d'angoisse à l'idée de devoir prendre le volant, et dont les causes sont multiples.
L'amaxophobie est la peur de conduire une voiture. Elle se manifeste par une grande anxiété au moment de prendre le volant, seul ou accompagné, la nuit, le jour, sur l'autoroute, après un accident...
Cela peut être dû à un stress post-traumatique suite à un accident violent, un manque de confiance en soi, une peur terrifiante de conduire après un permis récent… Quoi qu'il en soit, il s'agit bien d'une phobie de la conduite, car les sujets concernés reconnaissent l'incohérence et la démesure de leur crainte.
Pour rester calme, écoutez de la musique relaxante, respirez et ne répondez pas à une réaction de colère. Essayez d'éviter de partir à la dernière minute pour ne pas avoir à rouler vite, et mettez-vous à la place de l'autre personne si elle commet une erreur, au lieu de vous énerver.
Votre moniteur est stressé
Il intervient à la moindre hésitation. Il ne vous laisse pas le temps de réagir même quand il n'y a pas de danger immédiat. Il vous aide systématiquement avec le volant. C'est bien de temps en temps mais le faire systématiquement est un frein à votre apprentissage.
Pour trouver la bonne position du siège, le conducteur peut appuyer sur la pédale de gauche (ou pédale d'embrayage) à fond. La jambe du conducteur doit être légèrement fléchie. L'automobiliste ne doit utiliser sa jambe gauche que pour la pédale d'embrayage.
La cause la plus classique concerne les personnes ayant vécu un accident, on parle alors de phobie "post-traumatique". Mais chez certains conducteurs, la peur survient sans raison évidente. "Il peut s'agir de troubles anxieux, en rapport avec la survenue d'attaques de panique ou d'idées obsédantes.
Vous arrivez au début de la voie d'accélération : regardez vers l'arrière gauche, grâce à vos rétroviseurs pour analyser le trafic. accélérez pour atteindre une allure aussi proche que possible de celle des véhicules qui sont sur la voie de droite. Actionnez ensuite votre clignotant gauche.
Certaines personnes n'aiment guère conduire; d'autres redoutent cette activité, souvent en raison d'un mauvais souvenir. Dans des cas extrêmes, la peur prend la forme d'une véritable phobie. Ces personnes ont l'impression que quelque chose de grave va leur arriver, que leur vie est en danger.
1) Avec le pied gauche, on appuie à fond sur l'embrayage donc on débraye à fond, sans lâcher le frein. 2) On passe la 1ère vitesse. 3) S'il y a le frein à main, on l'enlève maintenant.
En plus de serrer le frein à main à fond, il est vivement conseillé d'enclencher une vitesse après avoir éteint le contact. Sur les véhicules dotés d'une boîte manuelle, les conducteurs pourront choisir entre la première vitesse ou la marche arrière en tenant compte du sens de stationnement dans la pente.