S'autoriser à être heureux, passe aussi par l'accueil d'une souffrance, le lâcher prise et la reconnaissance d'une difficulté, reconnaissance méritant de la compassion de vous même pour vous-même.
Bien souvent, on trouve un événement traumatisant à la base de cette phobie. Cet événement est souvent lié à une honte ou une humiliation en lien avec un moment où une joie a été contrariée, bafouée, moquée de façon suffisamment forte pour que le sujet refuse ensuite tout accès à la gaieté dans sa vie relationnelle.
Pour atteindre le bonheur, il faut donc parvenir à équilibrer tout ce qui a de l'importance pour nous. Il peut par exemple s'agir du bien-être personnel, mais aussi du bien-être en couple ou encore au travail.
Il peut exister diverses causes à cette humeur changeante. Ces causes peuvent être actuelles (un changement récent dans votre rythme de vie, un évènement relatif à la vie de famille ou au travail), mais elles peuvent également être plus anciennes et resurgir aujourd'hui de façon inconsciente.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
Si vous êtes conscient que vous refusez d'être heureux, c'est probablement qu'un traumatisme vous empêche de profiter de la vie. Il est donc important que vous preniez le temps de découvrir la cause de ce traumatisme… peut-être même le savez-vous déjà. Dans ce cas, il vous sera peut-être nécessaire de consulter un.
La notion de bonheur est intimement liée au désir. Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L'être humain heureux accomplit les objectifs qu'il s'est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même.
Loin d'être extérieur à soi, le bonheur vient de nous-mêmes. Il se trouve dans le plaisir de vivre, dans le désir et l'envie d'exister", explique Moussa Nabati, psychanalyste. Il ne suffit donc pas d'être jeune, riche et bien portant pour être heureux.
QU'EST-CE QUE L'ÉTAT « HEUREUX » ? Vivre heureux, vivre dans le bonheur signifie que l'on vit en état de pleine satisfaction. On se sent bien, on se sent libre, on se sent joyeux, on ressent un plaisir et bien-être inexplicable et on arbore durant toute la journée un sourire indécollable de notre visage !
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
La peur de l'échec, du changement, de sortir de sa zone de confort ; Des conflits internes ; La peur de ne pas être à la hauteur des attentes des autres.
Une éducation trop rigide, l'absence de communication et d'expression des sentiments, la banalisation des affects ou au contraire leur trop grande démonstration/dramatisation peuvent conduire à se représenter le monde d'une façon menaçante et pénible au quotidien.
Personnalité : il existe un autre obstacle qui fait que les gens ont l'impression de ne pas être une personne heureuse : leur personnalité. Certaines personnes sont plus enclines au pessimisme qu'à l'optimisme, ce qui peut les rendre plus susceptibles de se sentir malheureuses dans la vie.
De manière générale, créer du lien social reste primordial pour être bien dans sa vie. Difficile d'être heureux sans les autres… Sachez vous entourer d'amis sincères pour partager les bons moments et avoir du soutien dans les moments difficiles. De votre côté, montrez-vous présent lorsque la situation l'exige.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
C'est souvent le signe de la fin d'un cycle.
L'idée qu'une mue sert à changer d'état, de situation, et que c'est une étape naturelle de la vie. Pourquoi pas se demander alors « vers quoi ai-je envie d'aller ? », « à quoi ma vie pourrait ressembler si je faisais peau neuve ? »