Une alimentation saine et des périodes de repos suffisantes constituent donc la meilleure manière pour maintenir en bonne santé nos vaisseaux sanguins et pour prévenir une crise cardiaque. Certains médicaments, tels que l'aspirine ou les médicaments anti-cholestérol, peuvent parfois avoir un effet bénéfique.
manque d'activité physique; stress; consommation de drogues à usage récréatif – comme la cocaïne ou l'amphétamine, qui peuvent causer le spasme d'une ou de plusieurs artères coronaires et entraîner une crise cardiaque.
Leurs symptômes peuvent comprendre un essoufflement; une pression ou une douleur à la mâchoire, dans le haut du dos, dans la partie inférieure du thorax ou dans la partie supérieure de l'abdomen; des étourdissements ou un évanouissement, ou encore une fatigue extrême.
Les symptômes de la crise cardiaque
Souvent, les douleurs irradient dans la mâchoire, le cou, le bras gauche, les épaules, voire dans toute la cage thoracique et la partie supérieure de l'abdomen.
Les statines réduisent le risque à long terme de faire un infarctus du myocarde (crise cardiaque).
La maladie concerne surtout les hommes de plus de 55 ans et les femmes de 65 à 70 ans. Mais l'infarctus peut survenir plus tôt si les facteurs de risque cardiovasculaire sont cumulés.
Une crise cardiaque survient quand l'apport en sang riche en oxygène est interrompu dans une partie du muscle cardiaque. Les crises cardiaques sont souvent causées par une obstruction des artères qui acheminent le sang au cœur.
L'accumulation de données sur le sujet nous montre que les jeunes adultes souffrent davantage de problèmes cardiaques par rapport aux décennies précédentes. Ce phénomène inquiétant s'expliquerait par la dégradation des habitudes de vie, notamment le manque d'exercice et une mauvaise alimentation.
Une fatigue inhabituelle, associée à des nausées, des palpitations, un essoufflement et des bouffées de chaleur, une sensation de malaise général et de mort imminente. Une perte de connaissance et un arrêt cardiaque et respiratoire, qui peut conduire à la mort subite par infarctus.
Associée à une douleur caractéristique, la prise de la tension montre une chute de la pression artérielle associée à une diminution de l'écart entre la pression maximale et minimale (par exemple la tension passe de 16/8 à 13/10). A l'auscultation cardiaque, les bruits du cœur sont sourds et rapides.
Les douleurs musculaires sont souvent localisées. Elles s'aggravent avec le mouvement, la toux ou la respiration profonde. Elles peuvent être reproduites par une pression sur la zone affectée. En revanche, les douleurs cardiaques peuvent se présenter comme une sensation de pression ou d'oppression.
L'infarctus du myocarde , aussi appelé crise cardiaque est la destruction d'une partie du muscle cardiaque (le myocarde ). L'infarctus se produit lorsque cette partie du cœur n'est plus irriguée par le sang. Il fait suite à l'obstruction d'une artère coronaire.
Infarctus du myocarde : peut-il durer plusieurs jours ? Les symptômes de l'infarctus du myocarde durent plus de 5 minutes et le repos et/ou les changements de position n'atténuent pas les douleurs. La douleur thoracique lors d'un malaise cardiaque peut durer plusieurs heures.
Certains patients décrivent ces symptômes comme une sensation de pression, d'autres évoquent une douleur lancinante ou comme un coup de poignard. Elle est le plus souvent ressentie du côté gauche de la poitrine, mais elle peut également donner l'impression que la douleur se diffuse au cou et dans le bras gauche.
Une douleur anormale au niveau du bras gauche (pouvant aller de l'épaule à la main), accompagnée de douleurs thoraciques et de sensations de décharge électrique, peut être le signe d'un infarctus du myocarde. En cas de douleur persistante, une consultation chez le médecin est vivement recommandée.
On peut ressentir une douleur vive, comme une décharge électrique ou un picotement aigu au niveau de la poitrine, extrêmement désagréable, que certains appellent une “pointe au cœur”. Il peut aussi s'agir d'un sentiment d'oppression, des difficultés à respirer, des palpitations cardiaques.
L'eau est la seule boisson indispensable ; il faudrait en boire au moins un litre et demi par jour, telle quelle ou sous forme de boissons chaudes. Limitez la consommation des graisses, surtout saturées (viennoiseries, pâtisseries, charcuteries, beurre, sauces, fromages, lait entier…).
Si vous ressentez une douleur thoracique ne nécessitant pas des soins urgents, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant. Pour soulager votre douleur avant la consultation, vous pouvez prendre un médicament antalgique : le paracétamol ou un anti-inflammatoire non stéroïdien ou « AINS » (ibuprofène, kétoprofène).
Cette enquête récoltait des données sur huit facteurs de risque majeurs et potentiellement modifiables de la crise cardiaque : le tabagisme, l'hypertension artérielle, le diabète, l'obésité, la faible consommation de fruits et légumes, la consommation d'alcool et le faible niveau d'activité physique.