La première solution est évidemment de réduire les émissions de gaz à effets de serre, mais d'autres solutions scientifiques pourraient venir en soutien. Pour ce faire, les scientifiques cherchent des solutions, et l'une d'entre elles se trouve être la géo-ingénierie.
Selon la communauté scientifique internationale, le réchauffement climatique causé par l'homme est la principale cause de la fonte des calottes glaciaires et de la régression des glaciers dans le monde.
Pomper l'eau issue de la fonte des glaces pour la rejeter sur la calotte glaciaire grâce à des canons à neige, suggère une étude parue mercredi. Cette zone de l'Antarctique contient suffisamment d'eau gelée pour faire monter le nouveau des océans de la planète d'environ six mètres.
Renforcer les capacités en énergies renouvelables
Le diesel est la principale source d'énergie pour les communautés arctiques. Le WWF-Canada travaille à diversifier l'approvisionnement par des sources d'énergie à faible impact sur les habitats, telles que l'éolien et le solaire.
Contrairement à l'océan Antarctique, le continent Antarctique est effectivement protégé par un instrument international appelé Protocole de Madrid, signé en 1991. Cette protection est le fruit de la mobilisation citoyenne et des associations de défense de l'environnement.
Pour cela, les scientifiques prévoient d'installer sur des bouées des pompes alimentées par des éoliennes pour aspirer l'eau plus froide des profondeurs et la projeter à la surface de la banquise. Elle gèlerait alors rapidement et permettrait d'épaissir la taille de la calotte glaciaire d'un mètre supplémentaire.
Ne pas monter le chauffage trop haut. Eviter de laisser couler l'eau du robinet. Acheter des produits respectueux de l'environnement. Quelles sont les solutions face à la montée du niveau de la mer ?
Un glacier à une épaisseur de plusieurs dizaines voire centaines de mètres, il mettra donc beaucoup de temps à fondre car la surface exposée au soleil et à la terre (il fond aussi par dessous) est relativement faible comparée à sa masse contrairement à une banale plaque de neige de quelques mètres d'épaisseur.
La suie, du fait de sa couleur, absorbe la chaleur du soleil et réchauffe l'atmosphère. Quand elle se dépose sur la surface des glaciers, elle fait fondre la glace en dessous. Bien que l'impact de la suie provenant des foyers ouverts soit plus marqué en Asie du Sud-Est, ces particules voyagent.
Lorsque l'eau de fonte s'accumule à la surface plutôt que de couler, elle forme des mares de fonte. Lorsque le temps se refroidit, l'eau de fonte se recongèle souvent. L'eau de fonte peut s'accumuler ou fondre sous la surface de la glace.
Parce qu'ils concentrent près de 70 % de l' eau douce de la planète, sous forme solide, les glaciers sont d'une importance capitale pour le maintien de la vie sur terre.
On en retrouve plusieurs à travers la planète mais les deux principales sont celles qui recouvrent l'Antarctique et le Groenland, situé dans la région Arctique. On les appelle les «inlandsis». Ces deux zones du monde sont d'ailleurs celles où se concentre l'essentiel des glaces de notre monde.
Un chaos climatique prévisible
Des milliards de tonnes d'eau issues de la fonte des glaces, en particulier au Groenland, risquent d'affaiblir les courants océaniques qui, actuellement, transportent l'eau froide vers le sud tout en repoussant les eaux tropicales vers le nord.
Dans le passé, le petit âge glaciaire fut une période allant d'environ 1550 à 1850 où le monde a connu des températures relativement fraîches comparées à maintenant, entraînant une extension des glaciers.
La neige éternelle, appelée aussi neige permanente est la couverture neigeuse des sommets qui ne font pas, même pendant l'été. À force de s'accumuler et de s'entasser, cette neige devient compacte et se soude pour se transformer en une masse de glace.
La glace fond et ne se reforme pas. C'est un fait que nous entendons souvent dès lors que nous abordons la question du changement climatique et de la glace qui, en un sens, permet d'assurer une certaine unité.
Par contre, la fonte d'un glaçon suspendu au-dessus du verre fera monter le niveau d'eau dans le verre. Ainsi, on estime ainsi que la fonte des glaciers continentaux Antarctique élèverait le niveau de la mer de 70 mètres, en enlevant la partie océanique des glaciers.
La Chine continentale, le Bangladesh, l'Inde, le Vietnam, l'Indonésie et la Thaïlande sont les pays qui abritent le plus grand nombre d'habitants qui seront sous le niveau annuel moyen des inondations côtières d'ici 2050.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
Résultant de la congélation d'eau de mer, la banquise est formée de glace salée, ce qui la distingue des icebergs, formés de glace continentale (eau douce des glaciers polaires). Son extension et sa répartition varient selon les océans (Arctique et Antarctique) et les années.
Le glacier est formé sur la terre ferme (sur les continents), alors que la banquise flotte sur l'eau (dans les océans). Un glacier est différent d'une banquise. Le glacier est formé sur la terre ferme (sur les continents), alors que la banquise flotte sur l'eau (dans les océans).