Evitez les répétitions de trois manières : 1- en utilisant un pronom personnel ; 2- en changeant la construction de la phrase ; 3- en utilisant un synonyme ou un équivalent. Ex : Tu m'as prêté un livre. Ce livre était passionnant. 1- Tu m'as prêté un livre.
Si l'enfant fait une phrase sans utiliser le pronom « je », reformulez sa phrase en accentuant le « je » (ex.: «JE veux une chaise.») Ne demandez pas à l'enfant de répéter. Le bon modèle s'enregistrera dans son cerveau au fur et à mesure qu'il l'entendra. Vous pouvez aussi utiliser le geste pour aider l'enfant.
Dans un travail de rédaction de mémoire, nous conseillons plutôt l'usage du « nous » impersonnel, même s'il n'y a qu'un auteur, plutôt que le « je », réservé au cas où l'auteur veut fortement marquer son choix. L'usage du « je » se répand de plus en plus mais doit être effectué avec l'accord du directeur de mémoire.
La répétition. Le même mot, ou la même expression, est repris plusieurs fois sans modification. La répétition peut être considérée comme une faute de style, mais elle peut aussi véhiculer et mettre en valeur une idée. Elle crée un rythme, et renforce l'idée, la sensation, l'émotion.
Le mot « il y a » : -il peut être supprimé en changeant la phrase et en utilisant un verbe plus précis. Dans cette pièce, il y avait un coffre. Dans cette pièce, se trouvait un coffre. Dans cette pièce, un coffre était posé.
En maintenant le dialogue, la répétition accomplit trois fonctions : elle signale l'attention qu'on prête à ce que dit l'autre ; elle constate l'usage de l'interlocuteur à cette occasion, et elle ratifie ce que l'interlocuteur a dit.
Psittaciste, subst.,rare. Personne qui pratique le psittacisme, qui répète sans réfléchir. Pascal (...) n'aura pas été un janséniste pour rire, un psittaciste, un simple ergoteur (Bremond, Hist.
Si vous faites souvent répéter les personnes autour de vous ou si vous avez besoin d'être plus attentif pour comprendre, cela est souvent signe d'une baisse d'audition.
Définitions linguistiques
Une anaphore consiste à répéter un ou des mot(s) identique(s) au début ou à la fin de vers ou de phrase. L'anaphore en rhétorique est distinct de l'anaphore grammaticale, qui est un procédé de la langue consistant à utiliser un élément discursif (pronom, adverbe, adjectif, etc. )
La répétition
C'est une figure d'insistance consistant à répéter un mot, une expression, un groupe de mots ou un ensemble de mots. L'opération consiste donc à ajouter des éléments identiques, « les uns sur les autres ».
Anaphore. Une anaphore est une figure de style qui consiste à répéter un même terme ou expression au début d'un vers, d'une phrase ou d'une proposition. La répétition permet d'insister sur l'idée.
Bénéficier de, entraîner, éprouver, exercer, jouer, jouir de, se heurter à, mystifier, obtenir, porter, remporter, se procurer, recevoir, être tenu de. Attention, n'oubliez pas de respecter le temps de conjugaison de la phrase.
Pour indiquer l'existence de quelque chose, les équivalents de il y a sont il existe , il se trouve , plus rarement il est . Pour décrire ce qui est apparent, on peut employer on observe , on voit , on perçoit .
« Parfois » et non « des fois »
C'est un faux adverbe de temps. A l'oral, on l'utilise, à tort, pour remplacer un vrai adverbe de temps : « parfois ». Exemple : « Des fois, il neige jusqu'en mai… » → A la place, on doit dire : « Parfois, il neige jusqu'en mai… »
« C'est pour ça », c'est plus familier, c'est moins joli que « c'est pour cela », mais ces deux expressions sont les mêmes : c'est pour ça, c'est pour cela. C'est pareil : ce qui vient après est expliqué par ce qui vient avant.
On est loin de la définition de l'anaphore comme « figure de style qui consiste à attaquer chaque phrase par le même mot ou le même syntagme ». La répétition apparaît comme un phénomène qui se déploie bien au-delà du syntagme, bien au-delà de l'anaphore.
Donc, à la Comédie-Française, aujourd'hui, la toute dernière répétition ne s'appelle plus la Générale, mais la Couturière, et ce nom est assez ancien également.
Un pléonasme est une figure de style désignant l'emploi de deux mots ayant le même sens et donnant une information identique au sein d'une phrase. Ce terme est originaire du latin « pleonasmus » et du grec ancien « πλεονασμός » ou « pleonasmos » signifiant « être en excès, être en surplus ».
Nous est employé, au lieu de Je ou Moi, comme pluriel de modestie, par un auteur ou un orateur en parlant de lui-même. Il s'agit d'un élément important ; nous y reviendrons. Dans ces emplois, l'accord de l'adjectif ou du participe se fait toujours au singulier.
Les pronoms Nous/Vous peuvent commuter avec Moi/Je, c'est-à-dire désigner le locuteur. Le verbe, bien sûr, se met au pluriel, alors que le participe passé et/ou l'adjectif se mettent au singulier. On trouve cet emploi: - par courtoisie (c'est le vous de politesse):