"L'hygiène de vie est très importante pour diminuer les bouffées de chaleur. En adoptant une alimentation équilibrée, limitée en sucre, et en évitant l'alcool, le tabac et les boissons excitantes comme le café, il est possible de réduire ses symptômes.
En dehors des raisons hormonales, les bouffées de chaleur peuvent aussi subvenir en cas : d'allergies?; d'intolérances alimentaires?; de mauvaise alimentation et hygiène de vie (aliments épicés, caféine, alcool, sel, tabac, etc.).
Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans et en général aux alentours de 50 ans. La ménopause est un phénomène naturel. Elle survient lorsque les ovaires arrêtent leur sécrétion hormonale (œstrogènes et progestérone ) et la formation d'un ovule chaque mois.
Symptômes. L'excès de sucre n'est pas bon pour nous et ceci pour un certain nombre de raisons. Il peut favoriser les palpitations cardiaques, les bouffées de chaleur et les douleurs articulaires, de même que déclencher des crises de panique et causer de l'anxiété.
La sauge sclarée. L'huile essentielle de sauge sclarée est oestrogène-like. "Elle agit ainsi sur les troubles féminins, les bouffées de chaleur. Elle a aussi le pouvoir de réguler les troubles de sommeil et de l'anxiété.
Elles peuvent disparaître spontanément, au bout de 4 ou 5 ans en moyenne, mais l'on estime que la moitié des femmes souffrant de réelles bouffées de chaleur les gardent très longtemps, jusqu'à une dizaine d'années si elles ne sont pas traitées.
Aliments à éviter
"Comme ils sont difficiles à digérer, certains aliments favorisent les bouffées de chaleur. C'est notamment le cas des graisses cuites (produits gras, charcuteries, viandes...)", prévient Raphaël Gruman.
Une supplémentation en acide folique (Vitamine B9) diminue les bouffées de chaleur pendant la ménopause. Il a été montré qu'une alimentation riche en folates pourrait diminuer le risque de cancer du sein chez les femmes ménopausées. →La vitamine B6 ou pyridoxine est apportée par l'alimentation.
Bien dormir est essentiel. Car outre un malaise temporaire, les bouffées de chaleur sont souvent responsables d'insomnie et de fatigue, notamment lorsqu'elles surviennent en pleine nuit.
En faire pendant la ménopause, même de façon modérée, permet de limiter les excès de transpiration dus au dérèglement hormonal. Privilégiez des activités douces comme le yoga, le pilates, la danse, mais aussi la natation, l'aquagym ou le vélo, à pratiquer au minimum 3 fois par semaine pour des résultats visibles !
Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l'igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l'achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier.
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
Par ailleurs, chez la femme, lors de la deuxième moitié du cycle hormonal (c'est-à-dire après l'ovulation), la température du corps est légèrement supérieure à celle de la première partie de cycle, ce qui peut également expliquer la sensation d'avoir plus chaud que d'habitude", indique le Pr Krempf.
Les bouffées de chaleur sont principalement dues à un déséquilibre hormonal. Elles se manifestent également la nuit, nommées sueurs nocturnes, de manière incontrôlable et variable. Les signes cliniques varient d'un individu à l'autre.
Aubépine, la plante ménopause pour soulager les symptômes
Très utilisée pour lutter contre les troubles du sommeil ou l'anxiété, l'aubépine est une plante médicinale qui provient de la famille des rosacées. Elle est préconisée aussi pour soulager les bouffées de chaleur et l'irritabilité dues à la ménopause.
La pastèque et le melon sont des fruits très riches en eau, peu caloriques et peu sucrés. Leur intérêt à la ménopause ? Outre le fait qu'ils soient peu caloriques "ils participent à l'hydratation. Plus l'hydratation est importante et moins le risque de bouffées de chaleurs est important.
Des femmes qui maigrissent à la ménopause, ça existe. Mais à condition de respecter une certaine hygiène alimentaire pour diminuer le ventre gonflé à la ménopause et de pratiquer une activité physique régulière pour garder une certaine forme et maintenir le tissu musculaire à son top niveau.
On considère que le métabolisme de base, c'est-à-dire l'énergie dépensée au repos, diminue de 200 calories par jour à la ménopause. Il faut donc moins manger pour que les besoins en calories soient couverts. Au sujet de l'hormonothérapie, elle a un effet variable sur le poids et la répartition du tissu adipeux.