La bientraitance est une culture inspirant les ac- tions individuelles et les relations collectives au sein d'un établissement ou d'un service. Elle vise à promouvoir le bien-être de l'usager en gardant présent à l'esprit le ris- que de maltraitance.
Le concept de bientraitance
La bientraitance n'est pas seulement l'absence de maltraitance mais une démarche active que la Haute autorité de santé définit comme « une manière d'être, d'agir et de dire soucieuse de l'autre, réactive à ses besoins, respectueuse de ses choix et de ses refus ».
Les 5 principes fondamentaux que nous avons évoqués (le respect, la non-malfaisance, la bienveillance, l'autonomie et la continuité de la prise en charge) constituent une base essentielle pour assurer une prise en charge de qualité et respectueuse des personnes accueillies.
La bientraitance a pour finalité le bien-être de la personne vulnérable, dans le respect de son histoire, sa dignité et sa singularité. La bientraitance n'est pas seulement le contraire de la maltraitance des personnes âgées et vulnérables, mais une manière d'être, d'agir et de dire.
La bientraitance est une culture inspirant les ac- tions individuelles et les relations collectives au sein d'un établissement ou d'un service. Elle vise à promouvoir le bien-être de l'usager en gardant présent à l'esprit le ris- que de maltraitance.
Respect de la personne, quelles que soient ses déficiences, respect de ses capacités restantes et il en reste toujours, respect de ses choix et de ses souhaits, qu'il faut aller chercher, sont des préalables à toute bientraitance.
La bientraitance est une démarche collective pour identifier l'accompagnement le meilleur possible pour l'usager, dans le respect de ses choix et dans l'adaptation la plus juste à ses besoins.
Ce comité est chargé de promouvoir la Bientraitance par une gestion des risques de maltraitance au sein de l'établissement.
– La bienveillance implique une volonté de faire du bien sans attendre de retour. – La bientraitance implique le respect des droits et de la dignité des personnes vulnérables.
C'est avec l'opération pouponnière déclenchée par Simone Veil en 1980 qu'émerge le concept de bientraitance.
Quels sont les piliers de l'Humanitude ? La relation avec autrui est fondée sur 4 piliers : la verticalité, le regard, le toucher et la parole.
La bientraitance est une culture inspirant les actions individuelles et les relations collectives au sein d'un établissement ou d'un service. Elle vise à promouvoir le bien-être de l'usager en gardant présent à l'esprit le risque de maltraitance.
bonté, charité, complaisance, compréhension, cordialité, générosité, gentillesse, indulgence, magnanimité, obligeance, sympathie, tolérance.
Les formations à la bientraitance permettent de prendre un temps pour réfléchir à sa pratique professionnelle, revoir ses réflexes et ajuster certains gestes.
La bientraitance peut être de type physique, moral, financier, sexuel ou psychoaffective. L'ANESM (2008) définit la bientraitance en tant que démarche collective pour identifier l'accompagnement le meilleur possible pour l'usager, dans le respect de ses choix et dans l'adaptation la plus juste à ses besoins.
La bientraitance est une démarche guidant les actions individuelles et les relations collectives. Elle trouve sa place au sein d'un établissement, d'un service ou à domicile. Elle vise à promouvoir le bien-être de l'usager en gardant présent à l'esprit le risque de maltraitance.
Il vaut mieux garder la tête froide et prendre des décisions lors d'un moment de calme. S'occuper d'un proche âgé difficile peut véritablement s'avérer être un parcours du combattant au quotidien, il faut donc savoir demander du soutien et de l'aide à ses proches, surtout si la fratrie comprend plusieurs enfants.
La prise en charge des seniors permet de maintenir le lien entre les générations. En effet, les jeunes ont beaucoup à apprendre des personnes d'âge mûr et ces dernières, par le biais de la personne qui s'occupe d'elles, pourront lutter contre l'isolement et profiter d'une vie sociale plus riche et plus épanouie.
Elle peut être le fait de membres de la famille, du voisinage ou de professionnels mais aussi de dysfonctionnements organisationnels ou managériaux survenant au sein de l'établissement ou du service. La maltraitance peut être le fait de violences ou de négligences et n'est pas nécessairement volontaire.
C'est un processus d'adaptation, d'ajustement aux besoins de l'enfant. C'est ce qui lui permettra de tisser des liens et invitera les adultes autour de lui à être reliés entre eux. C'est un changement de regard du professionnel sur l'enfant et sa famille.
Une personne qui a fait l'expérience d'un contact avec un établissement de santé a parfois pu avoir le sentiment d'avoir été abandonnée, mal ou pas informée, d'avoir été insuffisamment écoutée. Il s'agit de la maltraitance « ordinaire ».