Assurez-vous de ne jamais jouer avec votre chat de manière agressive. Veillez également à ne jamais le punir s'il adopte un tel comportement, car cela ne fera que l'encourager davantage. Donnez-lui plutôt des jouets attrayants et interactifs qu'il peut tapoter et poursuivre.
Vous pouvez aussi lancer un petit objet mou dans sa direction lorsqu'il fait une bêtise. Il risque de ne pas apprécier, et de s'éloigner tout de suite. Notre conseil : renouvelez la punition autant de fois que nécessaire, et gardez toujours à l'esprit que l'apprentissage prend du temps.
La patience, la régularité et la répétition sont les clés pour parvenir à dresser un chat. L'éducation peut prendre plusieurs formes. Vous pouvez apprendre à votre chat à retenir son nom ou à répondre à l'appel.
Si le chat est têtu, il reste possible de lui inculquer quelques limites. Interdisez à votre chaton de monter sur la table, griffer les fauteuils, voler des mets … Sachez dire un « non » ferme sans donner de punition corporelle, ou émettez un bruit sec qui traduit votre mécontentement.
Commencez par lui offrir un environnement calme et rassurant. Ne le sollicitez pas trop et stoppez l'activité quelques secondes s'il devient agressif. C'est à vous de poser des limites. Un traitement médicamenteux mis en place par votre vétérinaire peut aider votre chat à se stabiliser.
L'agressivité d'origine somatique ou comportementale
Une douleur, certaines maladies ou encore des troubles vasculaires cérébraux pourraient aussi rendre le chat plus agressif avec son maître. Si les symptômes ne sont pas évidents, une visite chez le vétérinaire permettra de valider ou non cette hypothèse.
Quelques idées de punition
Il est aisé d'effrayer un chat par le bruit : en froissant un sac plastique, en faisant claquer un torchon, en tapant dans ses mains, etc. Il est aussi possible de lui lancer un objet non dangereux, une petite balle par exemple, et d'accompagner cela d'un "NON" ou d'un "Pschitt !".
Selon le site spécialisé Wamiz, aucune raison ne justifierait d'attraper un chat par le cou. Ni pour le punir, ni pour le soigner ou le calmer. Le stress généré par un tel geste pourrait, toujours selon Wamiz, le rendre agressif avec le temps.
Un manque d'attention, de longues heures de solitude ou une maladie sous-jacente peuvent entraîner des miaulements intempestifs, des problèmes de propreté ou des comportements excessifs. Si l'attitude de votre chat ne s'améliore pas, consulter un vétérinaire pour vous assurer de sa bonne santé est important.
Vous pouvez répondre à ce besoin d'activité en proposant à votre chat plus de stimulations. Si vous vivez en appartement, prenez le temps de jouer avec lui et si possible de le sortir régulièrement. En votre absence, il doit pouvoir se dépenser avec des jeux conçus pour stimuler son instinct de chasseur.
Les phéromones
Son utilisation dans la gestion du stress du chat est démontrée depuis de nombreuses années. Sous forme de sprays à pulvériser ou de diffuseurs anti-stress électriques, les phéromones libérées dans son environnement vont faciliter la gestion de son stress en l'apaisant et le calmant.
Courrez, marchez, pédalez, dansez, sautillez ! Profitez-en pour étirer vos muscles qui doivent être bien engourdis et respirez à pleins poumons pour chasser vos toxines. Ainsi vous allez déclencher la production d'endorphines, véritables hormones du bien-être. Et plus vous bougerez, mieux vous vous sentirez.
Si les odeurs de lavande et de vanille vont tendance à calmer les chats, le romarin et le thym les pousse à griffer, c'est-à-dire à marquer leurs territoires. L'eucalyptus quant à elle, est utile pour lutter contre les coups de froid et aider votre chat à mieux respirer.
Si le chat continue à avoir des comportements agités et excessifs la nuit, il peut s'agir d'un trouble chez le chaton ou le chat âgé, soit une grave anxiété voire une dépression, en tous les cas la manifestation d'une souffrance qu'il faudra essayer de comprendre, éventuellement chez un comportementaliste.
Syndrome du tigre chez le chat : les symptômes
L'animal le mord et le griffe. On peut aussi constater une agression de prédation, à n'importe quel moment de la journée. Dans ce cas, le chat semble devenir fou, bondit sur son maître pour le mordre ou le griffer.
Il court comme un fou.
Ce comportement, observé notamment auprès des chats d'appartement, est tout simplement sa manière de se dépenser. Rien de grave, donc !
2. Plus souvent sur le dos que sur ses pattes. Si votre chat vous montre son ventre, il vous prouve une fois de plus qu'il se sent bien et en sécurité. Un peu comme les chiens, cet acte montre que c'est vous qui dominez le jeu même si parfois, cela peut être un moyen de se faire pardonner après une bêtise.
Chat dominant : les signes révélateurs
Un chat dominant présente des signes bien particuliers, dont les plus fréquents sont les suivants : La malpropreté. Des marquages urinaires fréquents, quel que soit l'endroit, ce qui inclut l'intérieur de l'habitation (ils ne doivent pas être confondus avec la malpropreté).
Il s'agit d'un comportement naturel chez le chat. Les chats griffent les murs ou les meubles afin de laisser des phéromones, pour s'étirer, pour faire leurs griffes… Il ne faut pas chercher à éliminer ce comportement mais à le reporter sur des griffoirs.