Pour grigner, il vous suffit d'entailler la surface du pâton avec la lame d'un geste rapide et sans à-coup, l'incision devant être faite en biais par rapport à la surface du pain. La coupure doit être nette et précise, et profonde d'au moins un centimètre.
Pour bien grigner, il faut une lame très coupante. La grignette, la lame du boulanger, ou encore scarificateur... cet objet aux noms multiples est indispensable pour parfaire ce geste. Sa lame d'une grande finesse, souvent courbée, permet de réaliser des incisions avec précision et efficacité.
Les grignes ne s'ouvrent pas
Manque de force de la pâte ( mauvaise farine, mauvaise hydratation, mauvais pétrissage, autolyse trop longue, pointage trop court, mauvais façonnage…)
Après avoir mis votre pâton en forme, un dernier geste précis, rapide et assuré doit être réalisé juste avant d'enfourner votre pain. Appelé grignage, lamage, scarification... celui-ci est primordial. Il permet au pain de se développer et de gonfler parfaitement.
Pour faire de belles tranches d'un pain frais, il s'agit simplement de passer la lame du couteau sous l'eau bouillante pendant une seconde avant de trancher. La découpe en sera facilitée. Attention, il ne faut pas prolonger le passage sous l'eau car la lame ne doit pas être détrempée sinon elle rendra le pain humide.
En laissant refroidir le pain, la structure de la mie résistera mieux à un couteau aiguisé. Dans le même temps, elle perdra son aspect collant. Ensuite, le pain fraîchement cuit contient encore de l'humidité. Mieux vaut donc le couper lorsqu'il a refroidi.
On « pousse » les morceaux de viande sur sa fourchette avec un morceau de pain (et non avec le couteau) ; on ne doit pas écraser le fromage sur son pain mais le manger par morceaux, et le pain ne doit pas être coupé avec son couteau mais il faut le « rompre » avec ses mains.
Dans notre culture catholique occidentale, il est considéré comme très impoli d'utiliser un couteau pour couper son pain à table car ce dernier est sacré. Cela vient de la culture catholique qui définit le pain comme le corps du Christ qu'il faut donc traiter spécialement.
Il est adéquat pour les petites quantités de pâtes. Le sel est important en fin de pétrissage car il joue plusieurs rôles dans l'élaboration de la pâte et dans la cuisson.
En cause : un excès de fermentation avant blocage (dû à une pâte trop chaude, une température trop élevée, un pointage trop long…) ou un excès d'humidité (mauvais réglage de la ventilation et de l'hygrométrie en chambre de fermentation).
Un pétrissage mécanique intense sera responsable d'une mie particulièrement développée à alvéolage petit (type pain de mie), tandis qu'un pétrissage lent et court permettra l'obtention d'un alvéolage plus irrégulier, avec de grosses alvéoles.
Étape 3 : le pointage
Le laisser lever à température ambiante. La température idéale est entre 25 et 30 °C. Le pointage est terminé lorsque, comme le disent les livres, « la pâte a doublé de volume ».
Pourquoi le pain doit-il lever deux fois ? Selon la plupart des ressources de boulangerie, afin d'obtenir la meilleure texture et la meilleure saveur typiques du pain au levain, la pâte doit subir une seconde levée avant la cuisson.
Méthode 2 : avec de la levure ou du levain ajouté
La deuxième méthode d'autolyse consiste à ajouter la quantité nécessaire de levure ou de levain au mélange de farine et d'eau. Il est important de se rappeler que votre fermentation en vrac commence à ce stade, alors assurez-vous de l'inclure dans vos notes.
Fille, femme, ou femelle, d'apparence frêle qui est toute petite et grêle.
grigne n.f. Excroissance du pain après la cuisson.
Ainsi, pour 500g de farine, il faut l'équivalent d'environ 20g de levure fraîche, soit un demi-cube. Concernant la levure fraîche liquide, pour 500g de farine, un demi-pot de levure est nécessaire.
Une température de cuisson trop forte et/ou un déficit de buée peuvent provoquer un manque de développement et donc un resserrement de la mie. Mais attention, un four trop chaud peut induire une cuisson trop rapide de la périphérie des produits au détriment du coeur et conduire à une mie collante.
le pain est-il devenu trop compact? – La pâte ne renfermait pas assez de liquide. – La pâte contenait trop de farine de seigle et pas d'acide. – La quantité de levain-chef était trop faible.
On peut faire tourner une corbeille à pain ou placer des petits pains individuels à gauche de chaque convive. Le fait de mettre le pain à gauche dans une petite assiette se fait lorsque les repas sont importants et que la maitresse de maison a décidé de faire dresser une table dans la pure tradition du savoir vivre.
Choisir minimum 3 repas par semaine sur lesquels on se fixe un objectif. Plus on expérimente, plus on par- vient à corriger son schema alimen- taire. Eviter de prendre une 2ème bouchée avant d'avoir avalé la première. On ne se ressert pas, même pour les aliments basses calories.
Autrefois, les personnes aisées se servaient régulièrement de couverts en argent, sujets à l'oxydation. En coupant les feuilles, la lame du couteau était ternie par la vinaigrette, acide, utilisée pour l'assaisonnement. Cela pouvait aussi provoquer l'apparition d'un «jus» grisâtre peu appétissant.
Cependant, la baguette reste le type de pain le plus consommé par les français.
Il ne faut pas couper un pain quand il sort tout juste du four. Et ce pour deux raisons majeures : Il faut attendre que l'amidon de la mie du pain ait le temps de se structurer. Ce processus s'appelle la cristallisation.