On a tous remarqué que l'eau dans une casserole s'évapore plus vite lorsqu'on la chauffe. Quand la pression atmosphérique de l'air est faible, l'air pousse moins fort sur la surface de l'eau. Les molécules d'eau auront alors plus de facilité à s'arracher de la surface de l'eau pour se retrouver à l'état de vapeur.
Mais pour s'évaporer, un liquide n'a pas forcément besoin d'être en ébullition : il suffit en effet que ses molécules bougent suffisamment. Lorsque la température grimpe, celles-ci se retrouvent en mouvement. Les plus rapides d'entre elles atteignent la surface du liquide et peuvent alors «s'envoler».
La réduction d'une sauce est un procédé chimique consistant à faire évaporer l'eau contenue dans une préparation liquide, pour épaissir une sauce. Pour procéder dans les règles de l'art, placez la casserole de sauce sur le feu, et entamez une cuisson à feu doux, tout en remuant avec une spatule en bois.
A température ambiante, il existe donc une certaine agitation (thermique) des molécules d'eau, agitation qui provoque l'éjection de plusieurs d'entre elles du liquide. Une fois éjectées, les molécules peuvent être renvoyées vers le liquide ou s'en éloigner, suivant les chocs qu'elles subissent avec les molécules d'air.
L'évaporation est favorisée en augmentant la température. Il n'est pas nécessaire de chauffer, mais cela augmente beaucoup la vitesse d'évaporation. Par exemple, la température apporté par le soleil fait évaporer une partie de l'eau de mer.
Dans la rue, dans la classe, l'eau s'évapore à toute température comprise entre 0 °C et 100 °C. L'évaporation d'une flaque d'eau est plus rapide si l'air est sec et s'il y a du vent, qu'après l'orage, quand l'air est humide.
Lorsque l'on fait évaporer une solution salée, il est certain que seule l'eau part à l'état vapeur. Le sel, dissous, reste dans la solution liquide jusqu'à ce que la solution soit saturée ; à partir de ce moment le sel solide cristallise, et on obtient au final du sel solide seul.
L'action du soleil permet l'évaporation de l'eau de mer et la transpiration des végétaux. Cette vapeur d'eau monte dans l'atmosphère, où il fait plus froid. La vapeur se retransforme en fines gouttelettes.
Ainsi, même quand la température passe en dessous de 0°C, l'eau passe directement de l'état solide à l'état liquide. C'est ce qu'on appelle la sublimation. En résumé, l'eau ne gèle à 0°c et ne bout à 100°C que dans le cadre d'une pression atmosphérique… normale.
On a tous remarqué que l'eau dans une casserole s'évapore plus vite lorsqu'on la chauffe. Quand la pression atmosphérique de l'air est faible, l'air pousse moins fort sur la surface de l'eau. Les molécules d'eau auront alors plus de facilité à s'arracher de la surface de l'eau pour se retrouver à l'état de vapeur.
La vapeur d'eau est un gaz qui se forme lorsque l'eau passe de l'état liquide à l'état gazeux. Au niveau moléculaire, cela se produit lorsque des molécules H2O parviennent à se séparer des liaisons qui les retiennent ensemble (c. -à-d., les liaisons hydrogène).
On parle d'évaporation quand le nombre de molécules qui quittent la surface de l'eau est supérieur au nombre de molécules qui réintègrent la surface de l'eau.
Les molécules d'eau froides ont-elles peu d'énergie, en tout cas pas assez pour quitter le liquide. Ainsi l'eau chaude perd sa chaleur plus rapidement. Autrement dit elle perd son énergie plus vite que l'eau froide et atteint son point de congélation en premier.
Elle va simplement remonter à la surface par gravité : l'eau bout. Ces bulles ne contiennent évidemment que de l'eau sous forme gazeuse (et non pas de l'air). Cette formation de bulle constitue le moyen qu'a l'eau pour évacuer la grande quantité de chaleur apportée par votre plaque chauffante.
Le couvercle de la casserole bloque la sortie, pour ainsi dire, empêchant la plupart des molécules de s'enfuir et les renvoyant, avec toute leur énergie de chaleur, directement dans la casserole. Ainsi, l'eau atteint son point d'ébullition plus rapidement.
Les grands déserts des côtes orientales des continents, jouxtant les eaux froides et poissonneuses des océans tropicaux (Atacama au Chili et sa prolongation au Pérou ; Sahara mauritanien ; Namibie…), sont des régions du monde où il ne pleut quasiment jamais.
Nous savons tous que l'eau laissée au contact de l'atmosphère finit par s'évaporer et ceci bien sûr sans qu'elle ait eu besoin de bouillir. De même nous avons tous constaté qu'au-dessus de la casserole il apparaissait des fumerolles de condensation avant que l'eau soit en ébullition.
Leur principe est simple. La distillation consiste à évaporer l'eau de mer, soit en utilisant la chaleur des rayons solaires, soit en la chauffant dans une chaudière. Seules les molécules d'eau s'échappent, laissant en dépôt les sels dissous et toutes les autres substances contenues dans l'eau de mer.
Pour récupérer le sel dissous dans l'eau, on fait évaporer l'eau. La chaleur accélère l'évaporation. On peut utiliser une plaque chauffante ou poser le mélange sur un radiateur. On utilise cette technique pour séparer un mélange homogène.
Le sel augmente au contraire le point d'ébullition. L'eau salée mettra plus de temps à bouillir. En effet, en se dissolvant dans l'eau, le sel se décompose en ions chlorure et en ions sodium qui génèrent des liaisons avec les molécules d'eau.
On peut apercevoir ce phénomène notamment la nuit ou au petit matin. Ceci car l'évaporation se manifeste principalement quand l'eau du bassin est plus chaude que l'air ambiant.
En Hiver vous pouvez perdre environ 5000 litres en 6 mois environ.
L'eau ne peut pas s'envoler de la planète ; la molécule d'eau est trop lourde pour échapper à la gravité de la planète.