En lien avec votre idée principale, vous identifierez les arguments qui soutiennent votre idée. Ces arguments doivent être convaincants, pertinents et cohérents. Ils forment avec votre idée, votre thèse. Une manière d'organiser ses idées autour de l'hypothèse est d'utiliser une carte conceptuelle (mindmap).
- une introduction : tout développement structuré doit commencer par une introduction qui a notamment pour objectif de présenter et de délimiter le sujet, d'indiquer les problèmes soulevés, de présenter la logique de l'argumentation suivie dans le cadre de la problématique retenue et d'annoncer le plan proposé.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
Le thème : c'est le sujet abordé par le texte. La thèse : c'est le point de vue de l'auteur sur le sujet, son opinion. Le raisonnement : c'est l'enchaînement logique des idées. Les arguments : ce sont les preuves avancées par l'auteur pour justifier sa thèse.
la cause : car, en effet, parce que… ; la conséquence : donc, c'est pourquoi, aussi (+ sujet inversé), si bien que… ; l'opposition : mais, or, pourtant, toutefois, en revanche, bien que… ; l'addition : et, de plus, d'abord, puis, ensuite…
Une sous-partie fait une quinzaine de lignes et repose toujours sur des exemples précis et/ou des citations tirés de l'œuvre. Utilisez des connecteurs logiques : « en premier lieu », «toutefois », « de plus », etc. Les citations sont entre guillemets et doivent s'intégrer parfaitement à vos phrases.
La structure Je commence par une courte introduction (contenant un rappel de la situation, un rappel du sujet, la thèse et l'annonce du plan). J'achève par une phrase de conclusion (qui reprend brièvement l'argumentation). À chaque argument doit correspondre un nouveau paragraphe.
Philippe Breton distingue quatre grandes familles d'arguments : les arguments d'autorité, les arguments de communauté, les arguments de cadrage et les arguments d'analogie.
Le type de plan le plus connu est le plan dialectique (celui‑ci mime un dialogue , établit un débat sur la question) : thèse ; antithèse ; synthèse.
Le but de l'introduction est claire: amorcer le sujet, présenter ses enjeux et montrer qu'il existe un débat, un paradoxe, un problème philosophique réel autour du sujet, pour aboutir à un plan qui se proposera d'argumenter autour de ce débat et de le résoudre dans la mesure du possible.
Le paragraphe doit toujours rappeler et faire un lien avec ce qui a été fait avant, dans les paragraphes précédents, pour montrer que la dissertation suit un enchaînement logique. Une juxtaposition d'idées sans lien entre elles n'est pas une dissertation.
En règle générale, un argument solide doit être étayé par des preuves solides, logiques et cohérentes. Les contre-arguments doivent également être étayés par des preuves et être logiques. L'objectif est de créer un dialogue constructif et de trouver la vérité en examinant tous les points de vue.
Le développement doit permettre au lecteur de prendre position par rapport à ton idée directrice. Présente les idées principales que tu as dégagées dans tes notes de lecture. Explique, précise ou illustre-les par des idées secondaires. Chaque paragraphe comprend une seule idée principale.
Régles à respecter : accroche du sujet, définition des termes du sujet, présentation de la problématique, annonce du plan. Rédiger le développement : Le style doit être précis, les phrases courtes. Espacer les parties et sous-parties auxquelles vous donnerez un titre.
Il faut rechercher la thèse que l'on souhaite défendre, c'est-à-dire l'idée générale de l'argumentaire. Cette thèse devra être démontrée par plusieurs arguments. Enfin, ces arguments devront être illustrés par des exemples concrets, comme des citations de texte ou des situations réelles.
Une argumentation est jugée bonne ou mauvaise selon que les prémisses sont acceptables (logiquement ou consensuellement) et qu'elles sont jugées suffisantes pour soutenir la conclusion.
Dans les cas les plus simples, l'auteur affirme d'une manière ou d'une autre qu'il a l'intention de persuader son public, de soutenir une idée, ou au contraire de s'y opposer. Il est alors très probable que le texte contiendra des arguments.
L'ensemble d'une argumentation (exposé du thème et de la thèse, arguments, exemples) est structuré de manière cohérente : l'interlocuteur doit pouvoir saisir les articulations logiques, comprendre le déroulement du raisonnement.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
1) L'introduction : présente le thème et la thèse en quelques phrases. 2) Des paragraphes : pour développer un argument et son exemple. 3) La conclusion : qui reprend brièvement les arguments qui ont été avancés dans l'argumentation pour finir le texte. ➢ Pour donner mon avis personnel j'utilise la modalisation.
De manière générale, un texte comporte une introduction, un développement et une conclusion. Voici ce qui caractérise chacun : L'introduction informe le lecteur du sujet, des aspects qui en sont traités et donne un aperçu du plan que l'on va suivre dans le développement.
Développement : Divisé en plusieurs parties (idéalement trois), chaque partie doit explorer un aspect spécifique du texte (thèmes, figures de style, structure, etc.), appuyé par des citations. Conclusion : Résumez vos principaux points d'analyse et répondez à la problématique posée en introduction.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.