Pensée positive : habituez votre enfant à penser qu'il a la force d'atteindre ses objectifs. Il y a des mots qui stimulent, qui donnent de l'allant et qui préparent au succès. « Je sais que tu peux le faire », « j'ai confiance en toi », « tu vas y arriver ». Des mots qui aident votre enfant à « penser » sa réussite.
L'enfant a besoin d'apprendre à penser positivement
L'encourager, c'est déjà contribuer à son épanouissement. Il faut néanmoins éviter les fausses pensées positives. Autrement dit, si vous lui prétendez qu'il est et sera toujours le meilleur quoi qu'il fasse, vous l'exposez à des désillusions futures.
Il faut s'expliquer et écouter, bref il faut qu'il y ait un échange. Pour se faire obéir des adolescents, il faut parfois punir. Le choix de la punition est important. L'ado doit comprendre ses erreurs mais il ne doit pas se sentir humilié ou encore infantilisé.
Selon la discipline positive, il faut entrer en lien avec l'enfant avant de le corriger. Cela nécessite d'avoir une écoute de qualité, de valider ce qu'il ressent, mais aussi parfois, de prendre soi-même le temps de gérer ses émotions.
Trop souvent, l'éducation bienveillante part dans un excès de laisser-faire, de laxisme, qui en fait n'est pas bon pour les enfants, qui souffrent de ne pas avoir de cadre. Car c'est important à rappeler : le cadre est sécurisant pour les enfants.
Commencez par quelques minutes par jour à écouter de la musique, à lire, à méditer, à prendre une marche, à faire un peu de stretching entre deux tâches. Tous les moyens sont bons pour montrer à votre mental que vous voulez prendre du temps pour vous dans le but de rester calme et patient avec vos enfants.
Rester calme, mais ferme face à l'insolence
Faites-lui entendre que vous saisissez ce qu'il ressent, sa colère ou sa frustration en lui disant par exemple : « je vois que tu es énervé ». Dialoguez avec votre enfant pour tirer la situation au clair tout en faisant preuve de fermeté.
Il est normal qu'un tout-petit désobéisse de temps à autre, car son cerveau en développement rend difficile le contrôle de ses gestes, de ses émotions et de ses pensées. De plus, le jeune enfant est motivé par le plaisir, c'est pourquoi il fait ce qu'il a envie de faire plutôt que ce qui lui est demandé.
Employez plutôt la technique très efficace du 1, 2, 3 (on ne demande les choses que 3 fois, la dernière sonnant la sanction). Elle permet de préparer l'enfant et de lui laisser le temps de se mettre en mouvement. Vous lui donnez comme ça une petite chance d'obéir.
Être gentil, être tolérant, et être très optimiste sont des éléments clés pour développer un état d'esprit positif. Car ils nous aident à apaiser nos propres émotions et surtout à nous détacher, à refuser de subir ce qu'on ne peut pas contrôler.
« Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur ! » « Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. » « Il n'existe rien de constant si ce n'est le changement. » « Quand la vie te donne une centaine de raisons de pleurer, montre-lui que tu en as mille de sourires. »
Si votre enfant de moins de 16 ans est positif à la Covid, vous pouvez bénéficier d'un arrêt de travail, même si vous êtes complètement vacciné(e). Rendez-vous sur declare.ameli.fr pour en faire la demande.
Pour obtenir l'attention de votre enfant, mettez-vous à sa hauteur et regardez-le dans les yeux pour lui parler. Il est parfois nécessaire de lui toucher l'épaule ou la main pour avoir toute son attention. Vous pouvez ensuite exprimer clairement votre demande et dire, par exemple: « Amélie, regarde-moi.
Dans l'enfance, un trouble d'opposition / provocation apparaît habituellement pour l'une des raisons suivantes: L'enfant n'est pas reconnu par ses parents dans ses besoins, dans son individualité et dans sa recherche d'autonomie. L'enfant et ses parents n'ont pas réussi à établir un lien de confiance mutuelle.
Le manque de respect au travail peut être lié à des émotions comme la colère, la tristesse, mais également la joie ou la peur. En effet, la colère conduit une personne à ne pas se sentir respectée. La tristesse traduit un état de manque.
Des clés pour avoir plus de patience
Écoutez avec amour ce qu'ils veulent vous dire et cherchez une manière de leur expliquer les choses avec douceur. Être cohérent dans ses actions. Les enfants n'apprendront pas vraiment de ce qu'on leur dira être correct ou non, mais plutôt de ce que nous ferons.
Elle conduit aussi à faire confiance ou à laisser de la liberté sans avoir posé le cadre, au risque que l'autre en profite ou nous trahisse, ce qui conduit toujours à une réaction forte (méfiance, jugement, rigidité, violence).
La parentalité positive invite le parent à se mettre à la place de l'enfant pour mieux le comprendre. Cette approche amène le parent à éduquer son tout-petit en le guidant plutôt qu'en le contrôlant. Les pratiques parentales positives encouragent la réparation et la collaboration plutôt que la punition.
les limites mises en place ne sont pas claires pour l'enfant, l'enfant ne vit pas les limites comme une orientation fiable mais réagit par peur d'être puni, les limites sont mises en place par les parents avec beaucoup de pression, l'enfant n'apprend pas à coopérer.