Essayez d'échapper à la routine en diversifiant vos entraînements: faites les parfois courts mais intensifs, ou bien longs pour l'endurance. Jouez avec la vitesse: la sollicitation entraîne le progrès. Faites des unités intensives ciblées, comme par exemple un entraînement fractionné.
Utiliser les consignes spécifiques : pressing important, beaucoup de mouvements, intensité élevée, puissance…, Conserver de la lucidité pour le dernier geste notamment dans le dernier quart d'heure du match de football. Avoir des joueurs bien dans leur corps (et leur esprit) sur la durée de la saison.
Faites un entrainement par intervalles
Même si les joueurs de football parcourent en moyenne 10 kilomètres par match, ils ne courent pas au même rythme tout au long de la rencontre. Il s'agit plutôt d'une combinaison de sprints, de courses modérées, de marche et de rétropédalage.
Pour travailler son souffle, le premier exercice consiste à s'allonger sur le dos, jambes repliées avec les talons près des fesses. Il faut alors inspirer et expirer lentement jusqu'à ressentir la régularité de sa propre respiration. A cet instant, il faut introduire un "fff" sans serrer la gorge.
Pour gagner en vitesse, faites des exercices de musculation ou de fractionné. Pensez aux courses de cotes. Plus que briser la routine, elles vous feront progresser pour votre retour sur plat. Votre organisme sera alors plus à même de supporter une charge de travail supérieure et vous pourrez gagner en rapidité.
Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.
Pour devenir rapide comme Flash, il est donc possible de faire un programme d'entraînement avec une séance « force » et une séance « pliométrie » par semaine. Ensuite, à vous de faire évoluer votre programme d'entraînement en adaptant les exercices ou le tempo d'exécution.
Si vous courez le 100 m, retenez votre respiration lorsque le starter dit : « Prêts » avant le départ. Au coup de feu, expirez en poussant sur le bloc de départ. Entrainez-vous à courir sur 120 m ou 200 m. Si vous affrontez d'autres coureurs, serrez-leur la main après la course.
Les muscles de la jambe sont bien entendu les plus sollicités lors de la course à pied. Plus particulièrement les quadriceps, les ischio-jambiers, les fessiers et les mollets. Trois exercices efficaces vont permettre de tous les muscler : les squats, les fentes et le leg curl.
Aller trop vite en footing est une des causes principales du « je ne progresse pas ». Car la différence entre l'endurance fondamentale et une allure plus rapide de 15 ou 30″/km est très importante ! En particulier pour les coureurs peu expérimentés en longue distance, ces allures vont générer une vraie fatigue.
Comment évaluer son niveau ? Une solution simple et rapide pour évaluer son niveau en course à pied consiste à déterminer sa VMA. Elle correspond à la Vitesse Maximale Aérobie et elle s'exprime en kilomètre par heure (Km/h). Pour faire simple, il est possible de tenir en moyenne pendant 6 minutes cette vitesse.
Balancez vos bras quand vous courez.
Pliez vos bras à 90 degrés au niveau des coudes et gardez-les près de votre corps durant la course. Balancez-les d'avant en arrière pour vous aider à équilibrer votre corps quand vous courez et pour avoir plus d'élan X Source de recherche .
Si vous devez courir, baissez-vous et retombez sur la pointe des pieds pour réduire le bruit. Si vous portez des tennis ou toute autre chaussure à semelle rigide, marchez sur les bords extérieurs de vos pieds.
Apprenez à bien respirer. Pendant l'effort, respirez le plus naturellement possible en inspirant par le nez et la bouche en même temps (expiration par la bouche). Plus l'intensité de l'exercice augmentera, plus le rythme de vos inspirations va s'accélérer pour faire jeu égal avec celui des expirations.
Cela signifie que les coureurs âgés produisent moins de force, se propulsent moins loin et vont moins vite, en moyenne. La différence principale en terme de technique de course est que les coureurs plus âgés utilisaient moins les muscles de leurs mollets.
Travailler la vitesse de base et ton endurance (mediocre). +1 endurance très moyenne. Les coureurs qui font un kilomètre en 3 minutes cours les 10km largement sous les 40 minutes. Donc tu peux t'envoyer des footings et des footings et puis encore des footings.
Les grands avantages de la course lente:
Lors d'une course lente, votre corps « brûle » d'abord les lipides de votre corps. Si vous avez un objectif de réduction de poids, c'est donc l'idéal; Bienfaits cardiaques: la vitesse du coeur augmente de manière limitée en course et diminue après celui-ci.
Faire les exercices différemment
Autre variation dans les exercices, le rest-pause pour augmenter votre résistance et votre endurance : 5 répétions, 20 secondes pauses, puis 4 répétitions et 30 secondes de pause, puis encore 3 reps. Le tout dans la même série et sans changer de poids.
OBJECTIF. Courir un 20km en 1h30, soit 13,5 km/h ou 4 minutes 27 secondes par km. Vous courez régulièrement et vous avez déjà participé à différents types de courses ou compétitions.
Une étude de l'université de l'Iowa, publiée lundi dans le Journal of the American College of Cardiology, a constaté qu'entre courir un peu ou longtemps, il n'y a pas de différences en bénéfices pour la santé. Courir 20 minutes ou 1 heure ? Les auteurs de l'étude sont formels.
Dans l'absolu, la dose optimale de course à pied se situe autour de 50 km par semaine couverts en 4 (si vous comptabilisez moins de 2 ans de pratique) voire 5 séances hebdomadaires (plus de 2 ans de pratique).