Une bonne manière d'aborder la peur des monstres et de lui faire prendre conscience qu'à la fin de l'histoire, le personnage principal auquel il pourra s'identifier, n'a plus peur de personne. Il se sentira alors moins seul, et plus fort face à ses craintes, qu'il finira par dominer de lui-même.
Zoom sur… la peur des monstres
Le rassurer, tout en lui disant que c'est le fruit de son imaginaire et que les monstres n'existent pas. Vous pouvez vérifier une fois sous le lit, avec lui, mais pas plus. Si vous le faites à chaque fois, vous lui donnez raison d'avoir peur.
Le monstre peut provoquer en nous-même un sentiment de terreur, notamment entretenu par l'idée qu'il peut se cacher derrière une apparence humaine (ex : le loup-garou).
Une recette simple
tout simplement !! Un peu d'eau dans un spray ajouté à une histoire à la hauteur de l'imagination de ton enfant et le tour est joué. Tu peux lui dire par exemple que les monstres n'aiment pas être mouillés, ou que c'est une potion magique qui les fait fuir.
De 0 à 8 mois : l'enfant ressent une angoisse de séparation (peur des étrangers ou peur de l'abandon) et a peur des chutes et des bruits. De 8 mois à 1 an : l'enfant ressent une peur des bruits (aspirateur ou téléphone). De 1 à 2 ans : l'enfant ressent une peur des monstres et du noir.
Tokophobie - Le Monstre est vivant.
Dans le cas de la peur, cela passe par la libération des hormones du stress : la noradrénaline et l'adrénaline. Une fois relâchées dans le cerveau et dans le sang, elles entraînent la modification des paramètres physiologiques du corps, le préparant à agir.
Vers 2 ans, l'enfant prend conscience qu'aller se coucher correspond à un moment de séparation d'avec ses parents. La peur du « noir » va alors se développer. Elle correspond en fait à la peur d'être seul, « abandonné », livré à lui-même avec son imaginaire. C'est en effet la période où l'imaginaire se met en place.
Dans nos livres, dans les films ou bien sous notre lit, les monstres hantent notre imagination. Bien souvent repoussants et dangereux, ils ne sont pourtant pas totalement rejetés. Nous aimons nos monstres comme s'ils faisaient partie de nous. Il y a même une certaine pulsion à les sortir selon nos désirs.
La génétique. Avoir un parent anxieux augmente les chances qu'un enfant soit anxieux. Certains tout-petits héritent d'un tempérament anxieux. Cela signifie donc que leur anxiété peut être plus intense que la moyenne et qu'il est plus difficile pour eux de se calmer.
Pour l'enfant, le moment du coucher est souvent vécu comme une séparation d'avec ses parents. Il peut alors ressentir un peu d'anxiété et ne pas vouloir dormir seul dans son lit. Il est cependant important que le tout-petit apprenne à gérer cette anxiété et comprenne qu'il est capable de dormir seul.
nyctophobie , subst. fém., pathol. ,,Crainte morbide de la nuit ou de l'obscurité`` (Méd.
Qu'est-ce que la phobie scolaire ? La principale définition utilisée est celle du Dr Ajuriaguerra, neuropsychiatre, en 1974 : « il s'agit de jeunes qui, pour des raisons irrationnelles, refusent de se rendre à l'école et résistent avec des réactions d'anxiété très vives ou d'angoisse si on les force à y aller ».
La pantophobie est la peur de tout. Cette phobie très particulière est principalement associée à des attitudes mélancoliques qui enferment le sujet dans la remémoration continuelle du passé (avec la phrase récurrente : "c'était beaucoup mieux avant !").
L'arachnophobie désigne la peur des araignées, des scorpions et des acariens. Attention, il ne faut pas confondre dégoût ou crainte avec phobie.
Arrêter de juger nos pensées et nos émotions. Juste les laisser être là, les accepter, les laisser vivre. Ne plus se dire “telle sensation est négative, telle émotion est positive”. Il ne faut plus avoir peur de nos émotions et de nos angoisses.
Dans le cerveau, l'amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur. Des circuits neuronaux spécifiques dans ces noyaux interviennent soit dans l'apprentissage de la peur, soit dans son expression.
L'amygdale, une centrale d'alerte
Que se passe-t-il dans notre cerveau quand nous avons peur? Au centre du processus se trouvent les amygdales. Il s'agit de «petites structures cérébrales en forme d'amande – ce qui leur a valu leur nom car en grec, amugdálê signifie “amande”, rappelle Ron Stoop.
Katagélophobie : c'est le petit nom de la peur du ridicule.
L'anthophobie. Pour rester dans le domaine végétal, l'anthophobie est la peur des fleurs. Certaines personnes n'aiment pas les fleurs, mais de là à en en voir peur ? Cette phobie est rare, mais elle concerne suffisamment de personnes pour avoir un nom.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales. L'individu est particulièrement angoissé à l'idée de parler en public.
hardie. Audacieux, qui ose, intrépide. Une personne hardie n'a pas peur du danger ni de l'inconnu. Exemple : Thomas est un garçon plutôt réservé et un peu craintif.
1. Qui est hardi au point d'accomplir des actions dangereuses : Un garçon téméraire. 2. Qui est inspiré par une audace extrême : Une entreprise téméraire.