Assurez-vous de conserver d'autres priorités en dehors du travail : famille, amis, loisirs, exercice... Cela aussi vous aidera à faire abstraction du travail. Vous voudrez en effet consacrer du temps à ces activités, ce qui implique de ne plus penser au travail.
Un bon moyen d'arreter de penser au travail est d'évacuer les tensions accumulées, avant de rentrer chez vous. Une séance de squash, une demi-heure de natation ou le simple fait de descendre une station de métro plus tôt pour marcher vous aidera à souffler.
Que pouvez-vous faire alors pour vous sentir mieux dans votre poste ? Proposer de nouveaux projets à votre hiérarchie, changer quelque chose dans la façon de travailler de votre équipe, ou peut-être essayer de progresser personnellement (communication, mode de management).
Certaines situations comme le burn-out ou le bore-out peuvent parfaitement justifier l'envie de ne pas ou de ne plus travailler. Ce sont tous deux des formes d'épuisement professionnel causé pour le premier par une surcharge de travail et pour le second par un manque de travail.
Penser à son travail ponctuellement lorsque l'on est chez soi ou en vacances, cela n'a rien d'anormal. Mais si l'on y pense tout le temps, ce n'est pas bon signe. Cela signifie que l'on ne parvient pas à se déconnecter et que la frontière entre la vie professionnelle et la vie privée n'existe plus.
DESSINER, GRIBOUILLER, CHANTER !
Ce sont ces moments de « flux », c'est-à-dire les instants où vous êtes tellement absorbé. e. par ce que vous faites que vous oubliez tout ce qui vous entoure.
En effet, les causes d'un mal-être au travail peuvent être très nombreuses : l'ambiance avec ses collègues, les relations avec son manager ou les clients de l'entreprise, la nature des tâches à accomplir, les horaires etc. Souvent on sait que cela ne va pas, mais on a dû mal à identifier la cause exact.
Une des raisons principales d'un mal-être au travail peut être la question de la perte de sens, le brown-out, de notre travail : on ne sait plus bien à quoi sert notre travail. On trouve que notre travail n'a plus de sens par exemple si : on n'est fier de ce qu'on fait dans nos journées.
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Si votre activité vous le permet, mettez vos écouteurs afin de créer une bulle sonore qui vous permettra de vous isoler des conversations et des mouvements dans votre espace de travail. C'est également un excellent moyen pour faire comprendre physiquement que vous avez besoin d'être seul(e) et/ou concentré(e).
La rupture conventionnelle consistant à passer un accord avec son employeur. Vous allez proposer à votre patron de mettre un terme à votre contrat de travail en CDI et d'un commun accord, vous signez avec lui, à l'amiable la rupture du contrat. C'est alors ce qu'on appelle la rupture conventionnelle d'un contrat.
Faire le vide dans sa tête signifie essayer de se débarrasser de toutes les pensées parasites et préoccupations qui occupent notre esprit, afin de se concentrer sur l'instant présent et de se détendre.
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. «Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces», explique-t-il.
Le manque de reconnaissance, l'absence de perspective d'évolution et les mauvaises conditions de travail (2) sont les principales causes de cette souffrance professionnelle. Autre phénomène identifié, celui du présentéisme. Complexe, sournois et banal, il encourage l'épuisement professionnel.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
Fatigue psychique et émotionnelle, anxiété, stress, angoisses, humeur triste, hypersensibilité, irritabilité, absence d'émotions, culpabilité, variabilité de l'humeur, tensions psychiques et musculaires, troubles de l'adaptation, ruminations, tachypsychie, perte de l'humour, interprétations négatives des événements, ...
Manque d'enthousiasme au travail
Vous manquez d'enthousiasme et prenez vos distances sur le plan émotionnel, puis vous vous levez chaque matin sans envie d'aller travailler. Le manque de reconnaissance dans votre travail peut vous rendre encore plus vulnérable au burn out du fait d'une dévalorisation.