excusez-vous sincèrement Les gens sont généralement compréhensifs lorsqu'une erreur est commise. Si vous pensez que des excuses verbales sont nécessaires, faites-les sincèrement. Communiquez immédiatement avec la ou les personnes concernées et dites-leur que vous êtes désolé de ce qui s'est passé. Soyez bref et précis.
S'accepter
Se punir pour une erreur signifie dans la plupart des cas que nous aurions pu mieux gérer une situation donnée. Il est inutile de faire semblant de rien et d'essayer de se convaincre que nous n'avons pas tort. Accepter notre vulnérabilité et apprendre à aimer nos faiblesses s'avère beaucoup plus efficaces.
Pour comprendre de quoi il est question, un petit détour par l'énergétique chinoise est éclairant : la culpabilité est rattachée à « poumon – gros intestin », c'est à dire à la tristesse, à l'élément métal, à la peau et aux voies respiratoires.
Le pervers narcissique se montre violent. Il ne reconnaît jamais ses torts. Il utilise les mots pour manipuler. Le pervers narcissique ne ressent aucune empathie.
La culpabilité est un ressenti émotionnel, très fréquent, qui survient lorsque l'on se juge soi-même responsable d'une entorse à nos propres valeurs. C'est un mélange de honte, de tristesse, de mépris et de colère, où le regard de l'autre et le regard qu'on porte sur soi jouent pour beaucoup.
Assumer sa responsabilité pour s'excuser
On ne s'excuse pas pour faire le procès de l'autre. La meilleure façon de bien s'excuser reste d'assumer sa responsabilité. Mieux vaut reconnaître ses torts et exprimer ses remords plutôt que d'adopter une posture défensive.
Les erreurs engendrent des émotions négatives, comme l'angoisse et la honte. Il est logique de vouloir les éviter. Si vous avez commis une grosse erreur de calcul dans votre budget de l'année prochaine par exemple et que votre patron le signale, vous vous effondrez.
Tout au long de nos études, nous entendons qu'il faut faire évoluer notre rapport individuel à l'erreur : « Il ne faut pas avoir peur de se tromper », « Tu sais, c'est normal de faire des erreurs », « C'est comme ça qu'on apprend ». Il en est de même dans le monde du travail.
L'erreur est humaine et la plupart d'entre nous sommes passés par là à un moment ou à un autre. Notre cerveau traite en permanence des milliers d'informations. Entre ce que nous voyons, ressentons, entendons et pensons chaque jour, il se met en mode automatique pour la plupart des tâches que nous accomplissons.
Assumer ses erreurs, c'est commencer à prendre conscience que l'on maîtrise sa vie. C'est admettre que l'on a une prise sur les événements, et que l'on peut agir sur les victoires, comme sur les défaites. Et même, que l'on peut transformer ces défaites en victoires.
L'erreur est une étape primordiale et nécessaire pour tout apprentissage et à tout âge de la vie. Elle permet de favoriser l'autonomie ainsi que la confiance en soi. « Un enfant qui se trompe deviendra un adulte qui se fait confiance ».
Essayez d'exprimer vos préoccupations d'une manière qui est ferme et directe, mais qui montre aussi que vous appréciez la personne. Par exemple, vous pourriez dire quelque chose comme : "Je suis vraiment heureux/se de parler avec toi, mais j'aimerais que tu arrêtes de me toucher autant, car cela me met mal à l'aise".
Une seule solution s'impose alors : admettre vos torts et faire amende honorable. Même si cela n'a rien d'évident. Tout le monde en a conscience : il est important de savoir admettre ses torts et faire preuve d'humilité.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Le poumon et le gros intestin : la tristesse
Ces organes sont liés à la mélancolie, à la tristesse et à l'affliction. Les poumons régulent la respiration et l'intestin s'occupe de la digestion, de l'absorption des nutriments et de l'immunité de l'organisme.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
En médecine énergétique chinoise, les maux de rein seraient reliés à la plus humaine des émotions : la peur.