Lors de l'atterrissage d'un avion, les pilotes freinent-ils immédiatement après avoir atterri ou at-il un peu cabré en premier ? Un pilote doit cabrer son avion avant de toucher le sol, sinon il tomberait avec une vitesse verticale de 750 pieds/minute, et doit l'amener au plus près de 0 pieds/minute.
Chaque ventilateur est alimenté par un petit moteur qui va extraire l'air chaud de l'intérieur des freins vers l'extérieur. Refroidir ainsi les freins va permettre de réduire le temps d'attente au sol de l'avion. Ce qui est très utile pour les avions court-courriers qui ont des temps de rotation courts.
Lorsqu'un avion s'apprête à atterrir, la poussée est réduite. La traînée augmente et permet à l'avion de ralentir. La portance baisse alors que la vélocité diminue.
Actuellement tous les avions "modernes" ont recours à l'hydraulique pour le circuit de freinage. Un réservoir de liquide hydraulique est soit unique pour les deux atterrisseurs soit réparti dans chaque maître-cylindre comme ci-dessus). Fonctionnement : Les pédales du palonnier peuvent pivoter autour d'un axe.
L'avion doit avoir une vitesse relative par rapport au vent pour décoller et se maintenir en l'air. S'arrêter, c'est avoir une vitesse relative de 1667 Km/h (donc supersonique) à l'équateur et nulle aux pôle (donc chute).
Les batteries entrent en jeu lorsque les moteurs sont défaillants. De nombreux systèmes permettant un atterrissage en toute sécurité, y compris dans une situation d'urgence, reposent sur l'alimentation électrique. Ce fût précisément le cas sur le vol 1549 du Commandant Sullenberger, après l'arrêt des deux moteurs.
Même sans moteur, un avion peut continuer de voler sur une distance plus ou moins longue en fonction de sa vitesse et de son altitude. Cette capacité à planer s'appelle la finesse. Plus la finesse est grande, plus sa capacité à planer est importante.
Ce qui apparaît sur une carte ou une surface plane comme une ligne droite n'est pas la distance la plus courte entre deux points.. C'est parce que la terre n'est pas plate., mais c'est une sphère. Donc, la distance la plus courte entre deux points sur une sphère est un arc plutôt qu'une trajectoire droite et constante.
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
Les technologies et conceptions aérodynamiques qui minimisent les effets perceptibles de la vitesse. En avion, c'est uniquement au décollage et à l'atterrissage qu'on ressent la vitesse. En réalité, on perçoit uniquement une poussée à l'accélération et à la décélération de l'appareil.
L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 65 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
Vitesse Maximale : La vitesse maximale d'un avion dépend du type d'avion. Les avions commerciaux de ligne ont généralement des vitesses maximales autour de Mach 0,85 à Mach 0,89, soit environ 1 040 à 1 125 kilomètres par heure (650 à 700 miles par heure).
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
Locution nominale. (Aéronautique, Militaire) Dispositif permettant, en cours de freinage à l'atterrissage, d'éviter tout blocage des roues d'un avion, et d'assurer ainsi une meilleure efficacité de ses freins.
Pour qu'un avion décolle, il est essentiel que ses ailes génèrent de la portance, un phénomène directement lié à la vitesse de l'air sur les ailes. Ainsi, théoriquement, un avion face à un vent fort pourrait décoller même à l'arrêt, comme le démontre certaines vidéos spectaculaires.
Le système ABS sur l'Airbus A320 perment de réduire la distance de freinage jusqu'à 40%. Dès que la vitesse d'une roue est 13% inférieure à la vitesse de l'avion, il réduit la pression de freinage dessus. Donc au maximum, la roue peut “rater” ou bloquer environ 13 tours sur 100.
Le Starfighter. Cet appareil sophistiqué pour l'époque va vite se voir attribuer des surnoms aussi peu flatteurs que " cercueil volant" ou "faiseur de veuves".
L'une des principales raisons pour lesquelles les avions ne font généralement pas marche arrière est liée à leur conception aérodynamique et à la configuration de leurs moteurs. Les avions sont conçus pour se déplacer efficacement dans l'air dans une direction spécifique, généralement vers l'avant.
Commençons par les forces. Il existe quatre forces qui agissent sur les objets qui volent. Il s'agit du poids, de la portance, de la poussée et de la traînée.
Ce n'est pas pour éviter de survoler l'océan, c'est parce que la terre est un globe, donc le chemin le plus court est un demi-cercle, qui est une ligne droite entre 2 points sur la sphère, mais qui apparaît courbé lorsqu'il est affiché sur une carte de projection Mercator.
En toute rigueur, la notion de ligne droite en mathématique, ne peut être courbe. Si on appliquait ce principe aux trajectoires qui relient deux points à la surface du globe, il faudrait traverser la terre ! Les avions ne semblent pas voler en ligne droite parce que la terre est ronde, pas plate.
C'est à la configuration de l'atmosphère que l'on doit ce décalage temporel. Il existe en haute atmosphère des vents d'ouest permanents qui accélèrent l'avion lorsqu'il va d'ouest en est, mais le ralentissent lorsqu'il vole à contre-courant.
L'idée étant de diminuer la charge de travail ainsi que la fatigue du pilote principal au sein de l'appareil mais aussi de son copilote. Enfin sur un aspect sécurité, c'est aussi en quoi une deuxième personne dans le cockpit reste indispensable.
L'atterrissage d'un avion se fait face au vent pour atterrir sur une distance plus courte. L'utilisation des pleins volets (et si installés les becs) permet de réduire la vitesse d'approche. La distance d'atterrissage augmente avec l'altitude et la température.
Lorsqu'elle tourne, cette spirale sert à identifier que le réacteur est en marche. Ce moyen visuel permet d'avertir les équipes au sol, souvent situées à proximité des avions, de s'en tenir éloigné pour éviter tout risque d'aspiration.