« Un bon dénouement doit briller par sa clarté, jusqu'au dernier mot. La narration doit se terminer d'elle-même, sans artifices. Vous pouvez réserver une certaine surprise à votre personnage ou explorer un détail laissé de côté afin de surprendre et satisfaire votre lecteur.
Écris la fin de l'histoire en utilisant les mêmes personnages et le même lieu que le début. Ici, il faut que tu racontes l'histoire de Tom qui se trouve dans sa chambre. Utilise des connecteurs de temps pour indiquer les moments auxquels les actions se passent (tout à coup, enfin, puis, ensuite, après, plus tard…).
La fin de roman ouverte
Tu peux au contraire ne pas donner de fin bien définie. Laisser flous les contours de l'histoire, de la problématique du héros afin que le lecteur lui-même tire ses conclusions, ou aucune conclusion.
Une conclusion comprend généralement : un retour sur la problématique énoncée en introduction ; une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ; une perspective d'ouverture sur le sujet.
La nouvelle s'achève en points de suspension, sans brutalité, en dehors d'un cadre précis. L'auteur laisse alors le choix de l'interprétation au lecteur. Ce n'est pas un format aisé lorsque l'on débute car les lecteurs sont alors d'autant plus exigeants sur le style et la structure du récit.
Rédiger une nouvelle réaliste
Le lieu où se situe l'action est réel. La psychologie des personnages est détaillée. Le lecteur suit le cheminement des pensées des personnages. Les dialogues imitent la façon de parler des personnages en fonction de leur milieu social (langage soutenu, langage familier, argot, etc.).
La fin – la chute – se doit d'être surprenante, inattendue, en quelques lignes, voire quelques mots.» Ainsi, la chute doit être forte, percutante, tranchante comme un couperet, une fin qui en trois mot vous fait revenir sur tout ce que vous avez lu en le voyant sous un nouveau jour.
Bouleversement, changement complet et dans un sens opposé d'une situation, d'un comportement : Le retournement d'une situation.
Un renversement (ou retournement) de situation est, au niveau de tout récit comportant une mise en scène, un bouleversement inattendu dans l'intrigue ou un dialogue. Cette technique narrative s'applique aussi bien en dramaturgie au théâtre qu'au cinéma.
Un retournement final ou twist final (de l'anglais twist ending) est une structure narrative utilisée le plus souvent au cinéma dans laquelle une fin inattendue amène le spectateur à voir l'histoire sous un angle différent et le pousse vers une nouvelle interprétation de l'ensemble.
Le plus simple est de suivre un personnage qui va avoir des émotions. L'idée est que le lecteur puisse se substituer au protagoniste de l'histoire et ressentir ce que le héros vit et agit. Le premier écueil est de multiplier les personnages.
Qu'est-ce qu'une bonne histoire ? Inventer et raconter une bonne histoire n'est pas qu'un don que les fées accordent à certains humains. C'est avant tout respecter les bonnes pratiques, les conventions qui donneront une forme identifiable, familière et accueillante à l'écoute.
Le début doit donc préciser les trois dimensions du récit : quand, où, et qui. Pour captiver le lecteur, il est conseillé d'entrer directement dans le vif du sujet avec une première péripétie qui présente le contexte de l'histoire (son intrigue, ses personnages, etc;). Mais, veillez à ne pas aller trop vite non plus !
Un cliffhanger, littéralement « personne suspendue au rebord de la falaise », est, dans la terminologie anglophone des œuvres de fiction, un type de fin ouverte, laissée en suspens, afin de créer une forte attente ; plus généralement, c'est aussi tout récit ou situation suscitant une grande angoisse.
pour conclure, en conséquence, en définitive.
Une bonne conclusion se doit de récapituler ce qui a été dit et surtout dégagé durant tout le développement. Il faut y donner des réponses claires et synthétiques au problème posé : elle doit ainsi absolument répondre à la problématique posée dans l'introduction.