Les sensations que tu as ressenti, les questions qui s'en sont suivies, ta quête de la recette parfaite etc. Et là, tu racontes un peu de toi, tout en introduisant ton sujet. Bien sûr ça marche aussi si tu veux juste partager un conseil ou une humeur.
Pour maîtriser le storytelling, c'est à dire attirer l'attention, susciter de l'émotion et convaincre une cible d'adhérer, il faut d'abord trouver la bonne histoire à raconter. Puis il faut ensuite travailler sa mise en scène en étant créatif.
Il est important de préparer le contenu de la storytelling, afin de ne pas manquer l'objectif premier qui est de fidéliser le prospect. Pour cela, il semble primordial de récolter un maximum d'informations sur les clients potentiels, de définir votre stratégie de contenu, votre stratégie internet.
En résumé, le storytelling est l'art de savoir raconter des histoires. Cette pratique doit vous permettre de convaincre votre public : ludique et éducative, son but est d'engager votre audience en créant un échange avec elle.
Le storytelling est une technique qui peut être utilisée constamment pour améliorer l'image d'une. Cependant, elle ne peut être utilisée pour toute une campagne de marketing. Il ne peut venir qu'appuyer de façon ponctuelle la campagne.
Le journaliste Patrice Bollon explique que le storytelling est né aux États-Unis dans les années 1990, gagnant le marketing, la gestion des entreprises et le monde politique. Il consiste en l'application de procédés narratifs dans la technique de communication pour renforcer l'adhésion du public au fond du discours.
Une bonne stratégie pour soit introduire ou conclure son storytelling, c'est de raconter pourquoi et comment le nom a été choisi. C'est justement lorsque que Élodie nous a expliqué son histoire que d'un coup, le nom de sa marque a prit tout son sens.
Mobilisez votre public. Commencez votre narration par une interpellation de votre public ou par un geste qui attire son attention. Posez-lui une question, même si elle n'est que rhétorique elle amène une conclusion, un retournement ou le contexte de l'histoire que vous vous apprêtez à raconter.
L'art du storytelling peut interférer avec la logique. Et cela s'explique par la science : lorsque nous sommes exposés à une histoire bien racontée, plusieures hormones s'activent dans notre cerveau, entre autres la dopamine, l'oxytocine et les endorphines.
Les sentiments que l'on éprouve reviennent facilement à la mémoire. Le contexte qui y est associé aussi. Les histoires et donc les émotions sont utiles pour que l'auditoire se souvienne du message grâce aux émotions ressenties. Quand on vous raconte une histoire, vous avez envie d'en connaître la fin.
Le storytelling : servir l'entreprise
Il constitue un moyen de communication avantageux permettant aux entreprises d'assurer le positionnement de leur marque, de leurs produits et services. Il se présente comme une technique de communication basée sur une structure narrative, tout comme les contes et les récits.
Au lieu d'énoncer un discours rationnel, avec une démonstration et des arguments chocs, le storytelling raconte une histoire qui joue avec les émotions, le vécu, le ressenti. Le brand content peut aussi consister à créer quelque chose, un contenu culturel qui informe, rend service, divertit.
Un outil particulièrement remarquable, c'est de lire, lire, lire. Ce que vous voulez, même les magazines, car cela stimule le cerveau. Cela fait faire des associations, vous parlez dans votre tête, cela stimule énormément de zones. C'est vraiment le sport le plus complet pour le cerveau.
Pour cela, les activités qui nécessitent l'utilisation de vocabulaire, de diverses connaissances, de logique, de mémoire sont appropriées. Plusieurs types de jeux permettent de faire travailler l'ensemble du cerveau : Scrabble, Bridge, Sudoku, mots croisés, échecs, jeux de cartes, etc.
Le striatum ventral, structure du cerveau que l'on savait impliquée dans le mouvement volontaire, vient de révéler un de ses nouveaux secrets : il se trouve être le centre de la motivation. Il s'active davantage lorsqu'on mêle activité physique et effort mental.
l'élément modificateur ; les péripéties ; l'élément rééquilibrant ; la situation finale.
Premier conseil : soyez authentique. Il ne s'agit pas de raconter une histoire fictionnelle mais de raconter qui vous êtes vraiment, de mettre en récit votre parcours. Si vous racontez des histoires dans le sens “je manipule”, ça peut se retourner vite contre vous.
Qu'est-ce qu'une bonne histoire ? Inventer et raconter une bonne histoire n'est pas qu'un don que les fées accordent à certains humains. C'est avant tout respecter les bonnes pratiques, les conventions qui donneront une forme identifiable, familière et accueillante à l'écoute.
Temps du récit
La plupart des récits ont comme temps de narration le passé simple (seulement à l'écrit) ou le passé composé (écrit et oral) ; le passé antérieur, variante du passé simple, peut notamment apparaître dans des subordonnées temporelles. Certains récits ont comme temps de narration le présent.
Il n'y a pas vraiment d'âge pour commencer les histoires du soir mais elles deviennent très utiles à partir de 2 ans.