« La confession comprend deux choses : d'abord, on doit avouer ses péchés ; ensuite on doit de la bouche du confesseur recevoir l'absolution ou rémission des péchés comme si elle venait de Dieu lui-même, et croire sans aucun doute qu'ainsi les péchés sont réellement pardonnés devant Dieu. »
Dans le rite latin. Faites le signe de la croix en disant « Bénissez-moi, mon Père, car j'ai péché » et dites-lui depuis combien de temps vous ne vous êtes pas confessé(e). Il n'est pas nécessaire de vous souvenir du nombre exact nombre de fois, seule la fréquence des péchés importants doit entrer en ligne de compte.
Avant de se marier, puis régulièrement durant le mariage, le sacrement du pardon est une source de fraîcheur et de liberté à laquelle il est bon de recourir. Un entretien individuel avec un prêtre est prévu au cours de la préparation au mariage. N'hésitez pas à le solliciter pour recevoir le pardon de Dieu !
Pour se confesser il faut s'adresser à un prêtre. Renseignez-vous dans votre paroisse, celle-ci propose dans la semaine des temps où l'on peut le rencontrer. On peux aussi demander à se confesser en appelant ou en allant voir directement un prêtre.
“Esprit Saint, qui êtes la lumière de nos cœurs, éclairez ma conscience, montrez- moi mes péchés, faites que je les voie, comme je les verrai à l'heure de mon jugement, et comme les voyait Jésus, quand il mourait pour les réparer. Montrez-moi les défauts qui m'ont poussé à les commettre, pour que je les combatte.
« Mon Dieu, j'ai un très grand regret de Vous avoir offensé, parce-que Vous êtes infiniment bon, infiniment aimable et que le péché Vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de Votre sainte grâce, de ne plus Vous offenser et de faire pénitence. »
Action de confier, d'avouer à quelqu'un les fautes, les erreurs qu'on a à se reprocher. 3. Appartenance à telle ou telle religion : Être de confession orthodoxe.
1. Regret d'avoir offensé Dieu, avec la volonté de ne plus recommencer. 2. Mortifications que l'Église impose aux fidèles.
La liste, la voici: l'avarice, la paresse, la gourmandise, la colère, la luxure, l'envie, l'orgueil.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Le pardon de Dieu est toujours possible, si nous faisons une démarche vraiment sincère. En se reconnaissant pécheur, nous croyons que l'amour infini de Dieu est toujours le plus fort. Le dialogue avec un prêtre est le signe efficace de la réconciliation avec Dieu et avec nos frères.
Il s'agit d'abord de se mettre en vérité face à Dieu et de lui demander de nous montrer ce qui fait obstacle à l'amour en nous puis de rencontrer un prêtre. Le pénitent dit : « Bénissez-moi, mon père, parce que j'ai péché ». Le prêtre béni alors le fidèle et l'invite à entrer dans la confiance pour cette confession.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
Qu'est-ce que la confession ? Dans l'histoire de l'Église, la confession renvoie à la notion de réconciliation, dans le sens de se réconcilier avec Dieu lorsque l'on commet un péché (soit, briser l'alliance avec Dieu). La réconciliation permet donc de reconnaître son péché, faire acte de pénitence, et demander pardon.
se confier
Faire ses confidences à quelqu'un, lui faire part d'un secret : Se confier à sa mère. 2. Littéraire. S'en remettre à quelque chose ; se fier : Se confier au hasard.
La confession et son secret ont été inventés par les catholiques. Les chrétiens orthodoxes l'ont gardée, mais les protestants l'ont bannie du culte : « Les mauvaises actions sont regrettées directement auprès de Dieu, sans intermédiaire humain. Ainsi il n'y a pas de problème de secret dévoilé !
Concrètement : sur la croix, faites le signe de croix et dites-le “Je crois en Dieu”, récitez un “Notre Père”, 3 “Je vous salue Marie” (pour les 3 vertus théologales) et 1 “Gloire au Père”, méditez 5 mystères sur les 5 dizaines : 1 “Notre Père”, 10 “Je vous salue Marie”, 1 “Gloire au Père” et la “prière de Fatima”.
Les trois actes de prière, ceux de foi, d'espérance et de charité, furent énoncés par le pape Benoît XIII le 15 janvier 1728 dans l'optique d'accorder l'indulgence plénière aux fidèles, et confirmés de nouveau par le décret de la Sacrée Congrégation des Indulgences sous le pontificat du pape Benoît XIV le 28 janvier ...
La demande adéquate n'est jamais une demande de supplication, mais une prière de gratitude. La gratitude est l'affirmation la plus puissante que nous puissions faire. Elle déclare à l'univers tout entier que nous sommes reconnaissant pour tout ce qui se trouve dans notre vie et pour la personne que nous sommes.
Les donateurs bilatéraux et multi- latéraux, ainsi que les acteurs multilatéraux et régionaux, réconnaissent aujourd'hui d'avantage l'importance de la réconciliation dans la prévention des conflits, le développe- ment humain, la sécurité humaine, l'élimi- nation de la pauvreté et la consolidation de la paix.
Il est appelé sacrement de la confession puisque l'aveu, la confession des péchés devant le prêtre est un élément essentiel de ce sacrement. Dans un sens profond ce sacrement est aussi une “confession”, reconnaissance et louange de la sainteté de Dieu et de sa miséricorde envers l'homme pécheur.
Un sacrement réservé aux membres de l'Église catholique
Bien que l'Église reconnaisse le baptême de la plupart des confessions chrétiennes, le sacrement de réconciliation n'est reconnu qu'au sein de l'Église catholique (la principale exception étant l'Église orthodoxe).
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.