Il faut écraser méticuleusement ton prod', de préférence sur une surface propre, rigide et bien lisse (miroir, vaisselle,…) puis l'écraser jusqu'à obtenir une poudre la plus fine possible. Plus ta poudre sera fine, moins tu risqueras que des grains restent bloqués dans les poils du nez et t'abîment les muqueuses.
Sniffer à moindres risques – Information de base
En utilisant ta propre paille ou le dos de ta main que tu auras pris soin de bien nettoyer, tu réduis les risques de contracter des bactéries ou des virus transmis par le sang, comme l'hépatite B et l'hépatite C.
Les produits anesthésiants médicaux tels que l'éther, le chloroforme, et l'oxyde nitreux font également l'objet d'abus. L'oxyde nitreux, que l'on appelle communément gaz hilarant, est d'ailleurs sniffé beaucoup plus fréquemment que tout autre gaz.
Le paracétamol ne provoque pas d'effet psychotrope, alors que c'est généralement le but recherché à travers ces paris. Toutefois, dans certains médicaments, il est associé à la codéine qui, elle, est susceptible de déclencher, aux doses thérapeutiques, euphorie, dysphonie, sédation, somnolence...
Inhaler lentement la poudre par le nez, puis expirer par la bouche. Après avoir sniffé les drogues, rincer l'intérieur du nez en sniffant quelques gouttes d'eau stérile afin de réduire l'irritation et d'aider à faire passer les résidus de drogues dans les voies nasales. Cela réduit aussi les risques de lésions nasales.
Elle peut ainsi être « ingérée, le plus souvent sous forme de parachute (dans une boulette de papier à cigarette), diluées dans une boisson, sniffée, injectée ou pluggée (insérée dans l'anus à l'aide d'une seringue sans aiguille) », détaille Drogues Info Service.
Le fait de fumer du Tramadol (inhalation après combustion), est une pratique rare voire inexistante, puisqu'elle ne permet pas à la molécule de passer par le foie. Elle n'entraîne donc pas d'effet particulier.
Le surdosage peut être à l'origine de lésions du foie, d'inflammation du cerveau, d'un coma, voire d'un décès, notamment chez les populations plus à risque telles que les jeunes enfants, les personnes âgées et dans certaines situations (maladie du foie ou des reins, alcoolisme chronique, malnutrition chronique, jeûne, ...
Utilisé à bon escient, le paracétamol est un médicament sûr et efficace. Cependant en cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles dans certains cas.
Le tabac à sniffer se présente sous forme d'une fine poudre. En une prise qu'on répand sur la main, qu'on inspire par une narine puis par l'autre, on propulse ces particules de tabac dans notre organisme. Le tabac à sniffer et à mâcher est autorisé en Suisse et dans l'Union européenne.
Médicaments psychoactifs et dépendance
Les médicaments concernés sont nombreux : psychotropes, opiacés, barbituriques, amphétamines, benzodiazépines. Sont également utilisés des analgésiques, des anorexigènes, des stimulants, des sirops antitussifs, des antalgiques et des laxatifs.
Toucher son nez ou s'essuyer le nez fréquemment peut aussi être le signe que la personne consomme de la drogue. Après une période prolongée de consommation importante, le drogué pourrait souffrir de saignements du nez et autres dégâts nasaux internes X Source de recherche .
La poudre très finement préparée est inhalée au moyen d'une paille ou d'un billet de banque enroulé. Après avoir sniffé, les utilisateurs éprouvent un effet euphorisant rapide (entre 2 et 3 mn). Cet effet est bref (30 à 60 minutes).
Le fait de sniffer de la cocaïne provoque l'occlusion des vaisseaux des narines. Au moment où les effets de la drogue diminuent, le nez commence à couler. Les tissus se détruisent peu à peu et la cloison nasale peut se perforer. Il arrive que le sujet perde une partie de son odorat.
Il est recommandé de ne pas partager une paille avec quelqu'un d'autre lors d'un "sniff". Il peut y avoir un risque de transmission des hépatites et, éventuellement, du VIH en cas de saignement.
Il ne faut jamais prendre plus de 4 cachets de 1000 mg par jour : le surdosage peut effectivement entraîner des complications au niveau du foie. A partir de 7 grammes, la dose devient toxique et peut entraîner la mort si 10 cachets de 1000 mg sont potentiellement pris en moins de 24 heures.
L'ibuprophène (Advil, Nurofen, etc.) est plus efficace contre certains types de douleurs, comme les rages de dents et les entorses, que le paracétamol et présente un peu moins d'effets secondaires que l'aspirine.
Par contre le Doliprane au coucher devrait faciliter votre endormissement du fait qu'il peut diminuer la température du corps, condition indispensable à l'apparition du sommeil.
Un tarif qui lui vaut son surnom de « drogue du pauvre ». Lyrica est le nom commercial de la prégabaline, un psychotrope prescrit pour traiter l'épilepsie ou les troubles anxieux. Depuis quelques années, il est utilisé comme une drogue, un usage détourné qui s'avère être dangereux.
Puissant analgésique, le Tramadol est un antalgique dérivé des opiacés, généralement utilisé pour soulager la douleur après une lourde opération ou dans le cas de phénomènes chroniques. A terme, il pourrait procurer une forte dépendance et une défonce comparable à un shoot d'héroïne à moindre frais.
La MDMA est souvent appelée "drogue de l'amour" parce qu'elle possède un effet stimulant. "On va se sentir à l'aise, on a envie d'aller vers les autres, de faire des câlins aux autres.
Le chemsex — mot-valise combinant « chemical » (produits chimiques en anglais) et sexe — ou sexe sous drogue est le fait de combiner la pratique du sexe et la prise de drogue. Cela peut déboucher sur des conduites à risques. On le dénomme Party'n' Play (PnP) aux États‐Unis ou Wired play en Australie.
Quelles drogues sont consommées dans le chemsex ? Les « chemsexeurs » consomment souvent des drogues stimulantes et euphorisantes : cathinones (4-MEC, 3-MMC, …), cocaïne, méthamphétamine, ecstasy/MDMA. Ils consomment aussi parfois de la kétamine et du GHB.