Une suite (vn)est dite géométrique lorsqu'il existe un nombre réel non nul q tel que, pour tout entier naturel n, vn+1=q×vn. Le nombre réel q est appelé la raison de la suite (vn).
Soit (un) une suite géométrique de raison q et de premier terme u1 = a, a étant un réel non nul. On a donc un = aqn−1. Pour trouver la raison d'une suite géométrique, si l'on connaît le premier et le dernier de n termes consécutifs, il faut extraire la racine (n−1)ième du quotient du dernier terme par le premier.
Le terme général d'une suite arithmétique (Un) est donné par la formule suivante: Un = Up + (n-p)×r (où Up est le terme initial). Cas particulier si U0 est le terme initial, alors Un=U0+nr. Toute suite arithmétique est caractérisée par sa raison r et son premier terme.
Une suite est géométrique si le quotient de deux termes consécutifs est constant. Ce quotient constant s'appelle la raison de la suite.
Une suite arithmétique est une suite qui pour chaque terme ajoute le même nombre réel au terme précédent. Une suite géométrique est une suite qui pour chaque terme multiplie le même nombre au terme précédent.
Une suite (un) est géométrique de raison q si, pour tout entier naturel n, on a un+1=qun. u n + 1 = q u n . Cette expression utilise la récurrence. Elle signifie que l'on multiplie toujours un terme de la suite par le même réel pour obtenir le suivant.
La somme des n premiers termes d'une suite géométrique de raison q et de premier terme a est donnée par la formule : a(1-qⁿ)/(1-q).
Une suite géométrique est une suite telle que chaque terme se déduit du précédent par la multiplication par un réel constant (également appelé la raison de la suite). Pour montrer qu'une suite (Vn) est géométrique, on montre qu'il existe un réel q constant tel que, pour tout entier n, V_{n + 1} = q \times V_n.
Définition 4 On appelle séries géométriques les séries de terme général Un = qn. Le terme q se nomme la raison de la série. lorsque q = 1 alors Sn = (n + 1) donc la suite (Sn) diverge. lorsque q = −1 alors Sn prend alternativement les valeurs 1 et 0 donc (Sn) diverge.
Exemple : Considérons une suite numérique (un) où le rapport entre un terme et son précédent reste constant et égale à 2. Si le premier terme est égal à 5, les premiers termes successifs sont : u0 = 5, u1 = 10, u2 = 20, u3 = 40. Une telle suite est appelée une suite géométrique de raison 2 et de premier terme 5.
La raison d'une suite arithmétique, dont le premier terme u1 est égal à a , est donnée par la formule : r=un−an−1 r = u n - a n - 1 . Ce résultat signifie que, pour déterminer la raison, il faut retrancher au dernier terme le premier, puis diviser le résultat obtenu par le nombre de termes diminué de 1.
Tu dois savoir qu'il y a 2 types de suites que l'on utilise souvent : les suites géométriques et les suites arithmétiques.
Soit S = up + up+1 + … + un une somme de termes consécutifs d'une suite. Le nombre de termes de cette somme est n – p + 1. Le premier terme de cette somme est up.
Le terme u0 est placé sur l'axe des abscisses. Pour placer les termes u1, u2 … sur l'axe des abscisses, on utilise la droite ∆ ; elle permet de reporter sur l'axe des abscisses des valeurs portées sur l'axe des ordonnées. À partir de la valeur de u0, on a construit dans l'ordre les points B, B', C, C', D, D'…
Une suite est une liste d'éléments placés dans un ordre déterminé. Lorsqu'une série d'éléments est placée sous forme de liste ordonnée, on parle de suite.
→ U10 = U1 + 9 x 5
Plus généralement, exprimer Un en fonction de U1 et n.
Par définition, une suite arithmétique est une suite où chacun des termes est égal à la somme du terme précédent et d'un nombre fixe. Par exemple, la suite. 3,5,7,9,...
L'arithmétique est une branche des mathématiques qui étudie les propriétés et les règles de calcul entre les nombres. Elle traite, entre autres, des opérations traditionnelles telles l'addition, la soustraction, la multiplication et la division.
Démonstration : somme des termes d'une suite arithmétique
On considère une suite arithmétique (un) de premier terme u0 et de raison r. (0 ⩽ p ⩽ n), on a : up + un−p = u0 + un. Soit Sn = u0 + u1 + u2 + … + un la somme des n + 1 premiers termes de la suite (un).
Georg Cantor est un mathématicien allemand, né le 3 mars 1845 à Saint-Pétersbourg (Empire russe) et mort le 6 janvier 1918 à Halle (Empire allemand). Il est connu pour être le créateur de la théorie des ensembles.
Ou bien : u100 = u1 + (100 1) ⇥ (2) = 3 + 99 ⇥ (2) = 3 198 = 195.
Les suites de la forme un+1 = aun + b (a, b réels) peuvent se transformer en suites géométriques. Il est alors assez simple de donner des résultats de calculs. Une suite arithmético-géométrique (Un) est une suite qui à partir d'un premier terme a0, donne pour chaque terme consécutif et par la relation de récurrence : .
Exemple : Montrons que la suite (Un) définie par Un = 5n + 3 est arithmétique. Un+1 - Un = [5(n + 1) + 3] - [5n +3]. Un+1 - Un = [5n + 5 + 3] - [5n +3].
Le terme général d'une suite, parfois appelé terme de rang 𝑛 et noté 𝑇 , est une expression algébrique qui relie le terme à son rang dans la suite. On considère le terme général 𝑇 = 3 𝑛 + 4 . Par conséquent, les trois premiers termes sont 7, 10 et 13.