Pour battre les cartes, chaque salle de poker en ligne utilise un Générateur de Nombres Aléatoires (GNA ou RNG en anglais), basé sur l'utilisation d'algorithmes, c'est à dire des instructions mathématiques permettant de faire fonctionner un programme.
« Le plus gros problème pour moi, c'est que beaucoup de joueurs ne changent pas leur jeu pour s'adapter à leurs adversaires. Ils regardent leurs cartes et jouent toujours de la même manière, que le joueur en face soit agressif ou super serré. Gardez la tête froide.
Bet (miser), raise (relancer), call (payer, suivre), check (parole), fold (passer) : Les différentes options du joueur à son tour de parole.
Le poker est un jeu populaire assez facile à apprendre, mais difficile à maitriser. Il s'agit d'un jeu de cartes, mais également de stratégie et vous devez sans cesse analyser le comportement de vos adversaires pour décider quand vous devez vous coucher ou bluffer ou pour déterminer quand un autre joueur bluffe.
Pour calculer votre capital, prenez votre nombre total de sorties et multipliez ce nombre par 4 sur le flop (ou par 2 au tour). Ceci vous donnera votre chance de gagner le pot en pourcentage. Ainsi, par exemple, si vous avez un tirage au sort, vous avez 9 retraits sur le flop.
Quinte Flush Royale (Royal Flush) : la plus forte main possible du poker. Une quinte flush royale combine une quinte à l'As et une couleur. Elle est composée de : As, Roi, Dame, Valet, 10, tous de la même couleur. Si deux joueurs ont une quinte royale, ils se partageront le pot.
« Faire tapis »
Lorsqu'un joueur « fait tapis » cela veut dire qu'il mise l'ensemble des jetons qu'il lui reste, on dit aussi qu'il est all-in (de l'anglais, qui peut se traduire par « tout mettre » ou « je mets tout »).
Limper, c'est une action qui ne peut se produire qu'avant le flop. Si un joueur décide d'aller voir le flop en investissant le moins d'argent possible alors il paye juste le montant de la big blind. Ce qui s'appelle un limp dans notre jargon.
Un bon joueur doit tout d'abord comprendre le jeu et ses stratégies de base. Connaître toutes les cotes du poker (ou « odds ») par cœur et avoir un bon niveau de raisonnement logique et mathématique rapide permet d'éviter de se perdre dans les montants des pots ou tapis. Etre bon, c'est aussi « avoir son style ».
Passer pro du poker exige certains renoncements : à des revenus fixes, aux crédits (les banques vous demanderont de très grosses garanties ou vous les refuseront tout simplement), et surtout à une vie sociale “normale” (isolement, le fait que les meilleures tables sont disponibles le week-end, vie nocturne…).
Une range au poker correspond à un ensemble de mains. Comme vous le savez, il existe 4 possibilités pour chaque carte du jeu. Cela signifie qu'une combinaison de deux cartes (AK par exemple) consiste en 16 mains possibles, vous calculez cela en faisant simplement 4*4 (quatre as fois quatre rois).
"S'il faut livrer bataille, il vaut toujours mieux attaquer d'abord et prendre l'initiative ; mais si l'attaque vise la partie la moins vulnérable de l'armée ennemie, sans chercher d'abord les faiblesses, alors le résultat sera catastrophique."
La plupart du temps, la meilleure façon de contrôler la taille du pot est de simplement suivre, ou check-call. Lorsque des joueurs décents s'en occupent, la taille du pot va augmenter exponentiellement.
Idéalement, il faudrait tenter le all-in lorsque vous avez un beau jeu : en heads-up la valeur des mains est quand même moins haute que pour les parties multijoueurs puisque forcément il y a moins de chances de combinaison.
Ces mains-là, IL NE FAUT JAMAIS LES JOUER à moins d'être un champion : tout ce qui est 10-2, 9-4, J-3, K-4, etc, etc.... Toutes ces mains qui ne donnent pas une bonne espérance de gain, même si les deux cartes sont de la même couleur. Avec, par exemple, Q-7, que va-t-il se passer?
La réalité du bluff
Pour gagner au poker, vous devez avoir une part d'imprévisible dans votre jeu. Miser avec rien et ne pas miser quand vous avez un jeu fort. Un joueur qui ne bluffe jamais, ne sera jamais relancé. Un joueur qui bluffe trop, le fera jusqu'à ce qu'il ait tout perdu.
– Full (un Brelan + une Paire) : rappelons que la figure obtenue est trois dés identiques plus deux autres dés de même valeur.
Connaître les « outs »
Un joueur de poker efficace connaît l'importance des « outs » : c'est le nombre de cartes qui vont améliorer votre main. Comment faire ? Comptez vos outs, multipliez par 2, ajouter 2 et vous obtiendrez le pourcentage de chances de tirer une combinaison intéressante.
"Le comptage de cartes est une stratégie de black jack, qui consiste à évaluer l'intérêt des cartes restantes à jouer. Cette technique, si vous utilisez seulement votre cerveau pour garder le décompte des cartes, n'est pas considérer comme étant de la triche au black jack."
Pour calculer votre équité, prenez votre nombre total d'outs (cartes améliorantes), et multipliez ce nombre par 4 au flop (ou 2 à la turn). Cela vous donnera votre chance de remporter le pot en un pourcentage. Ainsi, si par exemple vous avez un tirage couleur, vous avez 9 outs au flop.
Ce tableau montre la seule stratégie inexploitable en push or fold. Si on push moins que Nash, vilain gagnera les blinds plus souvent et va pouvoir moins nous payer profitablement. Si on push plus que Nash, on risque trop de jetons pour gagner les blindes et vilain va pouvoir nous exploiter en en payant plus.
3000 euros c'est limite pour vivre du poker. N'oublie pas que, vu que tu ne cotises à rien, tu vas devoir tout payer toi même avec cet argent : ton assurance santé, ta prévoyance maladie, ta retraite, tes congés payés, etc...
Bankroll effective = 2 à 5 BI
Le poker en tant qu'obsession est le moment où vous avez besoin d'une bankroll légitime. Dès que vous jouez une fois par semaine ou plus, vous allez avoir besoin d'être capable de couvrir les mauvaises périodes que vous subirez.