C'est un système américain, l'Europe a développé un système équivalent appelé Galileo. Le principe est assez simple, votre appareil GPS calcule la distance qu'il y a entre lui et un premier satellite. Avec cette seule information, la position possible de l'appareil est une sphère centrée autour du satellite.
Le principe de fonctionnement repose sur l'intersection de signaux électromagnétiques émis par les satellites géostationnaires. L'utilisateur capte les signaux satellitaires définissant des segments satellites-usagers dont l'intersection géométrique permet la localisation.
Galileo est capable d'avoir une précision métrique, là où le GPS, plus ancien (il a été mis en place entre 1973 et 1995, mais ses satellites sont en fait remplacés au fil des ans), donne une localisation à dix mètres près (le GPS est plus fin dans le cas d'un usage militaire).
Il faudra vérifier que votre téléphone embarque une puce GNSS, seul récepteur capable de traiter des données venant de plusieurs constellations de satellites (GPS, Galileo etc..). On peut également utiliser une application comme GPS Test pour vérifier la compatibilité de son smartphone.
Le système européen Galileo est actif depuis 2016, et on apprend dans un communiqué qu'une grosse mise à jour de la flotte satellite est prévue d'ici 2025, avec de nouveaux appareils envoyés en orbite.
Dans les faits, le GPS américain public offre une localisation précise à 4 à 5 mètres et cela peut fortement varier en fonction que l'on capte un bon signal ou non. À l'heure actuelle et même s'il n'est pas encore totalement terminé, c'est Galileo qui offre la plus grande précision.
Si vous voulez donc savoir un peu plus sur les informations données par Galileo, vous pourrez passer sur GPSTest. Cette application marque avec la bannière de l'Union les satellites utilisés par Galileo. Outre cela, elle donne également des informations sur l'intensité du signal, les fréquences, etc.
Et GLONASS et Galileo sont 2 autres GNSS, l'un russe et l'autre européen. Il y a aussi Beidou le Chinois et QZSS le Japonnais. Initialement introduite comme une nouvelle fonctionnalité haut de gamme, de plus en plus de montres GPS sont aussi compatibles GLONASS et Galiléo.
Si vous voulez donc savoir un peu plus sur les informations données par Galileo, vous pourrez passer sur GPSTest. Cette application marque avec la bannière de l'Union les satellites utilisés par Galileo. Outre cela, elle donne également des informations sur l'intensité du signal, les fréquences, etc.
Une précision jusqu'à un mètre
Avec ses 24 satellites actuellement opérationnels, Galileo se veut beaucoup plus précis. Précision entre 1 et 2 mètres grâce à des horloges atomiques sur chaque satellite, alors que la précision du GPS est de 5 à 10 mètres. Les appareils de Galileo sont plus récents et donc plus précis.
Comme les systèmes américain GPS, russe GLONASS et chinois Beidou, il permet à un utilisateur muni d'un terminal de réception d'obtenir sa position. La précision attendue pour le service de base, gratuit, est de 4 m horizontalement et de 8 m en altitude.
Le développement du système et les services de Galileo
Les partenaires du programme Galileo sont la Commission européenne, qui le gère et le finance, et l'Agence spatiale européenne, qui le conçoit et le développe. Le coût pour l'Europe du programme Galileo est de l'ordre de 10 milliards d'euros d'ici 2020.
Aucune géolocalisation possible si votre GPS est éteint ? Mais bien sûr que non ! Votre téléphone continue à se connecter aux antennes relais de téléphonie mobile, et ce même lorsque le GPS est éteint.
C'est un système américain, l'Europe a développé un système équivalent appelé Galileo. Le principe est assez simple, votre appareil GPS calcule la distance qu'il y a entre lui et un premier satellite. Avec cette seule information, la position possible de l'appareil est une sphère centrée autour du satellite.
Le téléphone connait donc le temps mis par les signaux pour venir du satellite (temps de transmission). Et comme il connait la vitesse du signal, ce sont des ondes qui se déplacent à la vitesse de la lumière, le téléphone calcule alors la distance qui le sépare du satellite.
Jean Maréchal : Le déploiement de Galileo touche à sa fin. Un prochain lancement est prévu le 2 décembre 2021, puis encore deux en 2022.
Galileo pour Android - Télécharge l'APK à partir d'Uptodown.
Le récepteur GPS peut alors calculer sa distance au satellite en utilisant la formule : D= (T_{arrivee}-T_{depart} )\times c où c est la vitesse de la lumière et vaut environ 300 000 km/s. Une erreur d'une nanoseconde ( 10-9 s) sur la mesure du temps de parcours entraîne une erreur de 30 cm.
Dans tous les cas, il est possible de vérifier si son smartphone est compatible ou non avec Galileo en se rendant sur le site Internet du GPS européen. Vous y trouverez la liste complète des smartphones compatibles. Celle-ci est régulièrement mise à jour.
Le réseau GPS
Les satellites envoient l'heure d'émission par ondes (micro onde) qui se déplacent à la vitesse de la lumière. Connaissant cette vitesse et le décalage entre l'heure d'émission et celle de la réception, on détermine la distance entre le récepteur et le satellite.
Conçu pour durer, le Galaxy XCover 5 est un smartphone durci pour les professionnels et les baroudeurs avec une certification militaire MIL-STD 810H et une étanchéité aux normes IP68 (étanche à l'immersion). Il est également équipé d'un bel écran HD+ de 5,3 pouces, d'un appareil photo 16 Mpx et d'une batterie amovible.
Le Système de positionnement mondial (GPS, Global Positioning System) est un utilitaire qui appartient aux Etats-Unis et qui assure des services de positionnement, de navigation et de référence temporelle, dits « services PNT » (positioning, navigation, and timing).
Galileo est un système mondial de navigation et de positionnement par satellite développé par l'Union européenne (UE) et l'Agence spatiale européenne (ESA pour European Space Agency), et financé par des fonds publics.
La transmission en temps réel nécessite un terminal équipé d'un moyen de télécommunication de type GSM / GPRS, UMTS, LTE, radio ou satellite lui permettant d'envoyer les positions à des intervalles plus ou moins réguliers. Cela permet à la plateforme de visualiser la position du terminal au sein d'une carte.