Les jeunes gens vident le contenu d'une cartouche de siphon à chantilly dans un ballon de baudruche avant d'aspirer le gaz par la bouche. Les effets "hilarants" sont alors immédiats et se dissipent après quelques minutes. Le protoxyde d'azote se trouve également dans les bombes de dépoussiérants pour ordinateurs.
Son usage détourné consiste à inhaler le gaz par le biais d'un ballon, après avoir « cracké » la cartouche pour l'ouvrir. Le produit, bon marché, est consommé par certains adolescents et jeunes adultes. Ils recherchent l'effet rapide, fugace, euphorisant et les distorsions sensorielles ressenties avec ce produit.
Dans les soirées étudiantes, il est souvent transféré dans des ballons de baudruche afin d'être aspiré par la bouche. L'effet recherché : une euphorie comparable à l'ivresse, des rires incontrôlables, des distorsions visuelles et auditives, des modifications de la voix...
Risque de brûlure par le froid
Le gaz libéré est extrêmement froid. L'inhalation qui peut être faite directement à la cartouche, expose à de graves risques de gelures du nez, des lèvres et des cordes vocales.
Assurez-vous de bien fermer l'embout du ballon pour que le gaz ne s'échappe pas. Inspirez ensuite de l'air, placez l'embout du ballon dans votre bouche, libérez-en le contenu lentement dans votre bouche, puis inhalez.
Inhalé à travers un ballon de baudruche, il provoque une euphorie, mais peut aussi générer des troubles de la santé. C'est un produit de plus en plus prisé dans les soirées étudiantes: le protoxyde d'azote, aussi appelé gaz hilarant, séduit les fêtards par la facilité avec laquelle on peut s'en procurer.
Détourné de son usage initial pour ses propriétés euphorisantes, il est transféré dans des ballons de baudruche afin d'être inhalé. Lorsqu'il est expulsé de son conteneur, le protoxyde d'azote devient un gaz très froid, incolore à l'odeur douceâtre.
Ils sont remplis d'un gaz hilarant (qui, une fois inhalé, provoque notamment des rires et un sentiment euphorique) que l'on appelle le protoxyde d'azote et son geste n'a rien d'anodin : il peut provoquer de nombreux effets secondaires dangereux, voire la mort dans certains cas.
L'hélium ou le gaz hilarant sont des produits légaux en France. Toutefois, leur consommation conduit à différents effets physiques mais également psychiques. Il semble, de ce fait, important de prendre les précautions nécessaires afin d'en limiter les risques.
Le protoxyde d'azote est utilisé en médecine depuis plus de 200 ans. Il peut être utilisé à la fois pour l'anesthésie et la sédation. En plus du sommeil, le protoxyde d'azote procure également un soulagement de la douleur.
La vitamine B12 joue un rôle essentiel dans le système nerveux. Le protoxyde d'azote inactive la B12 par un phénomène d'oxydation. Les symptômes sont une sensation d'engourdissement et des fourmillement au niveau des mains et des pieds.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant ou “proto”, est un gaz d'usage courant stocké notamment dans des cartouches pour siphon à chantilly ou des aérosols. Utilisé de façon détournée et abusive, il peut avoir des conséquences neurologiques très lourdes sur les consommateurs.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de « proto » et « gaz hilarant » par le grand public, est un gaz utilisé couramment dans les produits culinaires pour sa fonction de propulseur (dans les siphons de chantilly) et pour ses qualités anesthésiantes dans le milieu hospitalier.
Cette nouvelle drogue « le volet » sous forme de bonbon est vendue dans les boites de nuit de Dakar. C'est un protoxyde d'azote. Il permet aussi de transformer la voix à la manière de l'hélium mais est 100 fois plus dangereux et très addictif.
C'est une nouvelle drogue qui séduit de plus en plus d'adolescents. Le protoxyde d'azote, surnommé « gaz hilarant », voit sa consommation grimper en flèche. Dans certaines villes, les cartouches métalliques contenant le gaz se retrouvent par dizaines, voire par centaines, sur les parkings ou dans les parcs.
Le protoxyde d'azote est un gaz anesthésique utilisé depuis plus de 160 ans pour induire une anesthésie et maintenir les patients sous anesthésie pendant toute la durée d'une opération.
L'inhalation de protoxyde d'azote connaît depuis deux ans un véritable essor. Utilisé en cuisine pour les siphons à chantilly et en médecine comme analgésique, c'est son usage détourné qui l'a rendu populaire auprès des jeunes qui l'inhalent avec des ballons.
À petites doses, l'hélium est un gaz tout à fait inoffensif. Mais si tu en respires de trop grandes quantités, il finira par prendre la place de l'oxygène dans tes poumons. Résultat ? Un bel évanouissement !
Si vous éprouvez des difficultés à arrêter spontanément votre consommation de protoxyde d'azote vous pouvez en parler et être aidé. Appelez Drogues info service au 0 800 23 13 13 (appel anonyme et gratuit, 7j/7 de 8h à 2h).
En cas de consommations répétées, des troubles engageant le pronostic vital peuvent survenir : un risque d'asphyxie, des complications cardiovasculaires avec notamment des troubles du rythme cardiaque, des troubles psychiques (addiction) et des atteintes neurologiques pouvant être sévères.
Une des substances les plus consommées par les jeunes
Dans un cadre médical, le protoxyde d'azote est généralement utilisé mélangé à de l'oxygène pour ses propriétés anesthésiques et analgésiques. Il est également utilisé pur par certaines industries, ou en cuisine pour la confection de siphons.
DOMAINE D'APPLICATION. Le MEOPA est administré sur prescription médicale par des soignants (paramédicaux et médicaux) spécifiquement formés à l'administration du MEOPA. L'administration de MEOPA n'entraîne pas d'anesthésie générale.
Pour obtenir cet effet de voix de canard, il suf- fit d'inhaler de l'hélium puis de parler. L'hélium est un gaz inerte, monoatomique, de densité très faible (moins dense que l'air, d'où sa légè- reté), non inflammable et très abondant dans l'univers.
Les effets sur le cerveau
Or, le protoxyde d'azote empêche l'action du glutamate sur ses récepteurs. Résultat : “il y a une désinhibition de certains circuits qui interviennent dans la régulation des perceptions sensorielles, et leur excitation excessive provoque des troubles de sensations, voire des hallucinations“.
La consommation explose
Ces cartouches contiennent du protoxyde d'azote, un gaz hilarant anesthésiant utilisé en médecine. Pour les inhaler, les jeunes utilisent un siphon ou un ballon de baudruche. "Tu aspires puis tu expires plusieurs fois de suite et ça monte à la tête.