Nous devons nous réveiller. Nous le disions au début, ce doit être “l'ère de la dignité”, celle où nous devons tou-te-s nous souvenir de notre valeur, de notre force, de notre droit à avoir une vie meilleure. Nous devons nous rappeler que nous méritons ce que nous souhaitons et ce dont nous avons besoin.
Du principe du droit à la dignité découlent d'autres droits : le principe de la primauté de la personne humaine, du respect de l'être humain dès le commencement de sa vie (ce qui pose la question du moment où commence la vie), l'inviolabilité de l'intégrité, l'absence de patrimonialité du corps humain, et l'intégrité ...
Attitude empreinte de réserve, de gravité, inspirée par la noblesse des sentiments ou par le désir de respectabilité ; sentiment que quelqu'un a de sa valeur : Refuser par dignité de répondre à des insultes par des insultes.
La dignité ne doit pas se perdre, l'amour ne se supplie, ni ne s'implore, et nous ne devons pas perdre notre dignité par amour. Que nous le croyons ou pas, la dignité est ce fil fragile et délicat que nous compromettons souvent, qui peut se casser et même découdre les liens de nos relations affectives.
Une personne ne perd jamais sa dignité.
Il peut bien sûr y avoir des atteintes à la dignité, comme l'exploitation, le meurtre ou l'abandon, mais toujours une personne conservera sa dignité fondamentale, qui fonde ses droits humains.
Elle mérite un respect inconditionnel, indépendamment de son âge, de son sexe, de son état de santé physique ou mentale, de sa condition sociale, de sa religion ou de son origine ethnique.
Ainsi, la dignité de la personne humaine est imprescriptible et la limite à la liberté devient ce qui ne nuit pas à l'humanité d'autrui. La liberté individuelle s'envisage alors sous le ciel de la dignité comme le devoir de chacun à un certain conformisme à la nature humaine.
Les atteintes à la personne peuvent être divisées en deux catégories : Les atteintes au corps d'autrui : violences, viol, torture, homicide, harcèlement moral et sexuel… Les atteintes à la dignité et à l'honneur d'autrui : diffamation et autres atteintes à la vie privée, discrimination, abus de faiblesse…
La dignité humaine comprend le respect physique et le respect psychologique des êtres humains, ainsi que le respect de l'intégrité morale. La dignité humaine est la première des quatre valeurs universelles de l'Union Européenne qui sont la dignité humaine, la liberté, l'égalité et la solidarité.
Le terme dignité vient du latin dignitas, qualité qui attire la considération, l'estime et le prestige. Reconnaître la dignité d'un être c'est juger qu'il mérite d'être honoré, c'est le distinguer des autres en le gratifiant d'admiration, d'hommages. La dignité est donc a priori ce qui inspire le respect et l'honneur.
D'abord, le respect de la dignité d'une personne implique de traiter la personne avec égard et considération, quels que soient notamment son âge, son origine ethnique, son état de santé physique ou mentale ou sa condition sociale.
Le principe de dignité permet de poser juridiquement la valeur des êtres humains. Il indique comment doivent être traitées ou pas certaines personnes. Dignement pour un être humain signifie « humainement ». Un être humain, ni plus (comme un Dieu), ni moins (comme un animal ou comme une chose).
La dignité est une exigence morale étroitement liée à l'autonomie et donc à l'usage de la liberté : imposer son respect de l'extérieur ne permet pas de rendre les hommes plus moraux.
grandeur, honneur, honorabilité, respectabilité.
La preuve de la vérité des faits doit être totale, parfaite, complète et liée aux imputations diffamatoires dans toute leur portée, pour que la juridiction répressive prononce la relaxe. Toute preuve régulièrement signifiée par les parties est acceptable par le tribunal.
Elle se définit par la nature des propos tenus dont l'objectif est d'en atteindre à la dignité d'autrui.
Le respect de l'intégrité physique assure la protection du corps humain et de la vie humaine. La protection du corps humain est assurée notamment par les lois « Bioéthique » de 1994 (réformées en 2004), qui ont introduit dans le Code civil les articles 16 et suivants du Code civil.
C'est la dignité qui donne de la visibilité et de la respectabilité à un dignitaire, pendant un bref moment ou une vie durant. La dignité commune à tous les Hommes est celle qui élève tout individu au rang de personne humaine.
Origine du concept
L'étymologie latine du mot dignité se réfère au mot féminin latin « dignitas », dont les traductions sont très nombreuses. Dignitas provient du verbe impersonnel « decet » et renvoie à la notion de convenance et de décence.
Le terme de respect est plus exigeant que la protection qui le concrétise. Le respect est un devoir social en amont de la protection qui s'actualise en présence d'une atteinte ou d'un risque d'atteinte. Il se destine en outre à l'humain in se et per se indépendamment de l'existence d'un sujet de droit.
Elle est le premier facteur du développement économique et humain. Elle est plus large que l'instruction. Ainsi, une entreprise, une communauté et un pays progressent et se développent proportionnellement à l'effort durable qu'ils consentent en faveur de l'éducation et de la recherche.
Femme désigne l'être humain de sexe féminin ; le terme s'emploie généralement quand il s'agit d'une adulte. Exemple : La femme est réputée pour être plus sensible et plus pacifique que l'homme. Femme signifie "épouse, qui est mariée à un homme".
Car c'est le mépris qui vous tient à l'écart de tout droit, qui fait que le monde dédaigne ce que vous vivez et qui vous empêche d'être reconnu digne et capable de responsabilité. Le plus grand malheur de la pauvreté extrême est d'être comme un mort-vivant tout au long de son existence24 ».