Passer à l'action. Fréquentez des gens avec qui vous vous sentez bien. L'un des moyens les plus simples d'arrêter de tant vous soucier de ce que les gens pensent de vous est de vous entourer au maximum de gens positifs qui vous soutiendront.
Apprenez donc à avoir confiance en votre propre jugement. Agissez selon vos propres valeurs, en suivant votre système de pensée. Ne donnez pas plus de valeur à ce que pensent les autres qu'à ce que vous, vous pensez. Il est impossible de plaire à tout le monde, par contre il est primordial de se plaire à soi même!
Demandez-vous si la personne défend vos intérêts et veut vous aider ou bien elle veut simplement vous insulter. Par exemple, un excellent camarade peut dire « ces derniers temps, vous avez l'air d'être dans les nuages et vous n'êtes pas comme d'habitude ». Vous pouvez donner de l'importance à un tel jugement.
Ce que les autres pensent de vous, c'est leur réalité, pas la vôtre. Ils connaissent votre nom, mais pas votre histoire. Ils n'ont pas vécu à votre place. La seule chose que les autres savent de vous, c'est ce que vous leur avez raconté ou ce qu'ils ont pu deviner, mais ils ne connaissent ni vos anges, ni vos démons.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Souvent, les personnes qui ont une faible estime de soi se replient sur elles-mêmes et repoussent les autres, car elles croient qu'elles ne méritent pas d'avoir des relations constructives.
Le plus important est de ne pas vous laisser démoraliser par les choses négatives. Vous pouvez vous soucier de ce que les gens pensent de vous, ne pas changer, vous accepter comme vous êtes et être quand même heureux ! Apprendre à ne pas s'en faire prend du temps. Ne pensez pas y arriver du jour au lendemain !
C'est comme le respect, si tu ne te respecte pas alors peu de gens le feront. Il faut s'aimer suffisamment pour se faire passer en premier, apprendre à reconnaître ses besoins pour y répondre et arrêter de faire passer les autres avant soi.
Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
Posez votre main sur votre cœur, sous le nombril, ou sur n'importe quelle autre partie du corps où vous ressentez l'inquiétude. C'est une façon d'apporter un signal de bienveillance au cerveau. Le toucher est également un sens qui aide à réduire la rumination mentale et les pensées négatives.
Je-m'en-foutiste : Définition simple et facile du dictionnaire.
Une façon sure de faire peur aux gens est de dire de manière décontractée et en public des choses qui peuvent paraitre bizarres ou troublantes pour une personne normale. Vous pouvez essayer en parlant directement aux gens ou en laissant les autres entendre votre conversation.
Oser en parler avec les personnes concernées par ce sentiment de rejet, soit en leur parlant de vive voix, soit en leur écrivant une lettre. "L'idée est de prendre le témoignage de tous sans critique ni jugement et pouvoir faire du tri", précise-t-elle.
Parfois encore, il n'y a pas de rejet réel, ou d'intention de rejeter, mais simplement de l'indifférence ou de la distraction : mais les personnes hypersensibles ne le supportent pas. Car il y a aussi cela : la question de notre vulnérabilité à la non-reconnaissance et la non-acceptation par les autres.
Posez des questions inquisitrices.
Vous ne pouvez pas parler de vous-même si vous posez des questions bien pensées. Cela exigera donc que l'autre personne soit le point focal. Cela amène l'idée de « voir ce que vous pouvez en apprendre et non dire » à un tout autre niveau X Source de recherche .
Je m'en fous, je m'en moque.” Une autre façon un peu différente cette fois de dire qu'on s'en moque, que quelque chose ne nous touche pas, eh bien, on peut dire “ça m'est égal”. Ça, c'est plus courant, c'est presque soutenu.
L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui. L'égocentrique jalouse le succès des autres. L'égocentrique est toujours en demande de compliments.
Ça m'est égal : niveau courant. Je m'en fiche et je m'en contre fiche (« contre » donne un peu plus d'emphase) : niveau familier. Je m'en fous : niveau très familier, vulgaire.