En fonction de votre dossier, le médecin conseil a besoin de connaître votre état de santé . Cette convocation est un échange et vous pouvez apporter les résultats des examens qui vous ont été prescrits. (radios, bilans sanguins ...). Vous retrouverez l'adresse de votre caisse dans Adresses et contacts.
Pour conclure, le travailleur en arrêt de travail peut être convoqué par le médecin-conseil de la sécurité sociale pour vérifier le bien-fondé de cette décision. La convocation est envoyée par courrier et doit contenir la sanction en cas de refus de l'employé de se soumettre au contrôle médical.
La finalité d'une convocation chez le médecin-conseil est de vérifier que le salarié est réellement dans l'incapacité de travailler afin d'éviter toute forme d'abus. Demandez conseil à un spécialiste en droit du travail pour savoir comment entrer en contact avec un médecin-conseil.
Convocation du médecin conseil
Ainsi, dans le cadre du contrôle d'un arrêt de travail, vous pouvez être convoqué par le médecin conseil de votre assurance maladie. L'assuré a l'obligation de se soumettre aux contrôles du service médical de la CPAM.
Simple et pratique, la prise de rendez-vous peut être réalisée depuis le compte ameli de l'assuré. Sur la page d'accueil, dans la section « Mon agenda », il faut cliquer sur « Prendre un rendez-vous » et choisir un des motifs proposés. L'assuré doit ensuite sélectionner une agence ainsi qu'un créneau horaire.
En fonction de votre dossier, le médecin conseil a besoin de connaître votre état de santé . Cette convocation est un échange et vous pouvez apporter les résultats des examens qui vous ont été prescrits.
En fonction des conséquences de votre maladie sur votre état de santé, le médecin du travail peut vous déclarer inapte, partiellement ou totalement, à reprendre votre emploi initial. Toutefois, il peut vous déclarer capable d'exercer d'autres fonctions dans l'entreprise adaptées à vos capacités physiques.
Il s'agit de vérifier que vous êtes à votre domicile pendant les heures d'interdiction de sortie (contrôle administratif) et que votre état de santé justifie l'arrêt de travail prescrit (contrôle médical). Ces contrôles peuvent se dérouler sur place ou être effectués sur dossier.
Qui a le dernier mot du médecin conseil et du médecin du travail ? Comme évoqué précédemment, c'est le médecin-conseil de la CPAM qui est chargé d'assurer le contrôle médical. Autrement dit, il doit vérifier que l'état de santé du salarié mentionné sur l'arrêt maladie est réel.
Puis-je subir un contrôle d'arrêt maladie le week-end ? Les samedi et dimanche, ainsi que les jours fériés, ne font l'objet d'aucun traitement particulier. Vous pourrez donc très bien être contrôlé à votre domicile ces jours-ci, sauf bien sûr en dehors des heures de sortie autorisées.
Vous avez reçu une lettre de convocation pour une visite chez le médecin–conseil. Comme beaucoup de personnes dans votre cas, vous vous posez peut-être des questions sur ce rendez-vous médical : pourquoi suis-je convoqué ? Comment cela va-t-il se passer ? Va-t-on tenir compte de ma situation personnelle ?
L'avis d'inaptitude oblige l'employeur à rechercher un reclassement pour le salarié. Néanmoins, il peut procéder à son licenciement s'il est en mesure de justifier : de son impossibilité à lui proposer un emploi compatible avec son état de santé, ou du refus par le salarié de l'emploi proposé.
Qui décide de l'incapacité de travail ? C'est le médecin conseil de l'Assurance maladie qui évalue l'incapacité. Il examine à son tour l'assuré et peut demander l'avis d'un médecin expert.
Le médecin-conseil vous communique pour qui il agit et quelle est sa mission. Le rendez-vous a lieu la plupart du temps à son cabinet. Vous pouvez vous faire assister à vos frais par le médecin de votre choix. Dans certains cas, ce coût peut être pris en charge par votre assurance protection juridique.
Assurez-vous donc d'avoir un bon dossier, conservez vous-même les informations importantes et demandez à votre médecin traitant de préparer une lettre avec des pièces jointes avant de vous rendre à un examen de contrôle.
L'employeur peut demander un contrôle à la Sécurité sociale. votre régime complémentaire (mutuelle) peut également procéder à des vérifications, y compris par voie d'enquête, en application du contrat qui vous lie à l'assureur.
C'est en principe le médecin traitant qui est habilité à constater l'incapacité de travail au sens des dispositions de la Sécurité sociale (art. L. 321-1 C.
Une décision prise par le médecin conseil
La mise en invalidité est une décision prise, par le médecin conseil, suite à une maladie ou un accident non professionnel, ou après une usure prématurée de l'organisme (article L. 341-3 du Code de la Sécurité sociale).
Dans un délai de 10 jours francs à compter de la réception de l'information de suspension des indemnités journalières, le patient peut demander à son organisme de prise en charge de saisir le service du contrôle médical pour examen de sa situation.
Un arrêt maladie en « sortie autorisée » impose au salarié d'être présent à son domicile entre 9h et 11h puis 14h et 16h. A l'opposé, l'arrêt portant la mention « sorties autorisées sans restriction d'horaire » autorise le salarié, comme son nom l'indique, à sortir librement de chez lui, à toute heure de la journée.
Sortie libre mais contrôlée.
Parfois, il arrive que le médecin ne limite pas vos heures de sortie et vous autorise à profiter pleinement de vos journées durant votre arrêt maladie. Cependant, s'agissant d'une dérogation, le médecin doit inscrire sur votre arrêt médical pourquoi il vous autorise à sortir librement.
Vous êtes en droit de contester un arrêt de travail ou de dénoncer un arrêt maladie abusif. Pour cela, il suffit de mandater un organisme indépendant tel que Mediverif. En envoyant sur place un médecin contrôleur, nous vous aidons à gérer l'absence d'un salarié.
Le montant de l'indemnité légale de licenciement pour inaptitude non professionnelle est de 4 500 euros. ✔ Le salarié a 12 ans d'ancienneté et perçoit 2 500 euros brut par mois ➞ Le calcul est le suivant : [(2 500 x 1/4) x 10] + [(2 500 x 1/3) x 2] = 7 916,67.
Il existe deux sortes d'inaptitude : L'inaptitude totale : le salarié est obligé de quitter son poste, soit pour un autre poste dans l'entreprise, soit de façon définitive si l'employeur ne peut pas le reclasser. L'inaptitude partielle : le salarié est partiellement apte et nécessite un aménagement de poste.
L'employeur peut licencier le salarié pour : Inaptitude d'origine non professionnelle, c'est-à-dire à la suite d'un arrêt maladie ordinaire. Inaptitude d'origine professionnelle, c'est-à-dire lorsqu'elle est liée à un accident de travail ou une maladie professionnelle.