La croissance économique est souvent un facteur d'amélioration du niveau de vie. Ce fut ainsi le cas dans de nombreux pays pendant la période des Trente Glorieuses. La croissance enclenche le processus de développement et donc favorise une amélioration de l'IDH.
La croissance économique permet le développement dans la mesure où elle améliore le niveau de vie des individus qui peuvent mieux satisfaire leurs besoins et connaître une vie plus longue en meilleure santé ce qui leur permet de construire des projets.
La croissance économique, c'est à dire l'augmentation de la production de richesses, permet le développement d'un pays. Une forte croissance économique constitue un moyen incontournable pour augmenter le niveau de vie, ainsi que pour la protection sociale ; et agit donc sur le développement sur l'aspect qualitatif.
2) « La croissance économique est favorable au développement humain car elle permet de dégager des ressources qui peuvent être mises au service des populations, comme l'enseignement, la santé, la communication …
La croissance correspond à un accroissement durable de la production globale d'une économie. Le développement désigne l'ensemble des transformations économiques, démographiques et sociales qui généralement accompagnent la croissance. Ces mutations structurelles et qualitatives rendent la croissance irréversible.
D'une manière générale, une bonne gouvernance, à savoir une redistribution équitable des richesses et des ressources, des transferts raisonnés en faveur de l'éducation, de la santé, débouche sur des conditions de vie meilleures et sur une réduction renforcée de la pauvreté.
La croissance est le principal objectif économique
Par exemple, un accroissement de la richesse se traduit par une augmentation des recettes fiscales : TVA, impôt sur les sociétés, mais aussi impôt sur le revenu car le niveau des revenus distribués est aussi en hausse.
Les limites environnementales de la croissance
Mais ce n'est pas tout. Notre économie est en effet à la racine d'un appauvrissement de la biodiversité, l'épuisement des énergies fossiles, la surconsommation d'eau douce et des pénuries de métaux.
La croissance physique correspond à l'augmentation des dimensions corporelles. Le développement correspond à la croissance et à la maturation, des différentes fonctions et capacités fonctionnelles. Ces deux processus dépendent de facteurs génétiques, nutritionnels et environnementaux.
Pour les partisans de la thèse nataliste, les investissements démographiques augmentent la production par tête, la croissance démographique facilite les adaptations de la structure pro- fessionnelle et constitue, au surplus, un facteur de plein emploi.
Cette corrélation forte entre la productivité du travail et la croissance économique est d'autant plus importante dans les pays en développement où le travail est surtout manuel. Ainsi, une population en bonne santé voit son espérance de vie augmenter et son cycle de vie s'allonger.
La croissance économique, source d'enrichissement et de progrès, engendre en parallèle des externalités négatives : pollution, nuisances, gaspillages, réduction de la biodiversité, déforestation, épuisement des ressources non renouvelables (ex: pétrole, gaz naturel…).
Une activité physique régulière
Les apports alimentaires sont souvent très supérieurs en quantité aux besoins réels permettant d'assurer croissance et énergie. Le temps passé devant la télévision, la console de jeu ou l'ordinateur est important et ce depuis le plus jeune âge.
Le développement est une fin en soi, la croissance est un instrument subordonné au développement, d'autant qu'elle entraîne la destruction d'une dotation limitée en ressources naturelles non reproductibles et soulève donc la question de sa soutenabilité à long terme.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
La croissance économique et la protection environnementale peuvent être complémentaires. L'idée selon laquelle la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne pouvait se faire qu'au détriment de la croissance économique a longtemps prévalu dans les milieux d'affaires et décisionnels.
Six problématiques majeures sont traitées: (1) l'utilisation de terres par l'homme, (2) la modification de la composition de l'atmosphère, (3) la diminution des ressources en eau, (4) la perturbation du cycle de l'azote, (5) la perte de biodiversité, (6) l'épuisement de pêcheries.
Le développement économique s'attarde à la création de nouvelles entreprises, le maintien et la survie des entreprises existantes, la croissance optimale des entreprises, le développement de secteurs innovants ainsi que l'attraction d'investissements. La stagnation économique représente également un enjeu important.
1. Facteurs généraux : · Intrinsèques : génétiques, endocriniens ; · Extrinsèques : nutritionnels, socio-économiques, affectifs.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
close et les sources de la croissance. On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique.
L'entreprise a le choix entre 4 modalités de développement : stratégie de croissance interne, stratégie de croissance externe, stratégie de croissance conjointe et internationalisation.
Selon J. Tirole, il semblerait que la Croissance Économique mondiale soit face à 3 enjeux majeurs sur le long terme : Le climat, les inégalités et la démographie.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée. Le phénomène de croissance apparait avec la révolution agricole des XVIe et XVIIe siècles.