Louisiane française (Nouvelle-France) La Louisiane fut une colonie française au sein de la Nouvelle-France de 1682 à 1762, alors que sa partie occidentale était cédée à l'Espagne au traité de Fontainebleau.
En 1803, la France organise la vente de la Louisiane aux États-Unis. C'est Napoléon Bonaparte qui fait ce choix, car il a conscience qu'il ne peut pas défendre cet immense territoire face aux Anglais et que sa vente posera des problèmes à l'Empire britannique.
La vente de la colonie française de Louisiane par Napoléon Bonaparte aux États-Unis d'Amérique marqua la fin d'une longue histoire qui s'étend sur trois siècles.
1762 : Traité de Fontainebleau, la France perd la partie occidentale de la Louisiane (rive ouest du Mississippi, ou droite en regardant dans le sens du courant) au profit de l'Espagne. 1763 : Traité de Paris, la France perd le Canada et l'est de la Louisiane au profit de l'Angleterre.
Défaite des Français dirigés par Louis-Joseph de Montcalm aux « Plaines d'Abraham », près de Québec. Par le traité de Fontainebleau, Louis XV cède secrètement la partie occidentale de la Louisiane à l'Espagne. Par le traité de Paris, Louis XV cède le reste de la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne.
C'est au XVIIe siècle que les Français commencent à s'établir au Canada et sous Louis XIV l'émigration s'intensifie. En 1663, durant la guerre de sept ans, le Québec tombe aux mains des Britanniques et à l'issue du traité de Paris, ces derniers héritent de toutes les possessions françaises sur le contient américain.
Avec le traité de Paris de 1763, la France cède cette fois à son ennemie la Nouvelle-France, principale implantation française en Amérique du Nord. Le roi George III la débaptise par la Proclamation royale du 7 octobre 1763 et elle devient officiellement « The Province of Quebec ».
La cession de la Louisiane française aux États-Unis, consentie et achevée, à la surprise générale, par Bonaparte en 1803, a souvent été jugée d'une manière négative ; or cette perception de la question correspond, partiellement au moins, à une idée reçue, une de plus sur l'oeuvre du Premier consul…
L'avait-on oublié" Il fut un temps où l'Amérique était française: cette possession baptisée «Louisiane» ne se limitait pas, loin de là, au petit Etat que l'on connaît aujourd'hui. Elle s'étendait du Canada au golfe du Mexique, des Rocheuses au Mississippi, soit l'équivalent d'un tiers des actuels Etats-Unis!
La Louisiane fut une colonie française au sein de la Nouvelle-France de 1682 à 1762, alors que sa partie occidentale était cédée à l'Espagne au traité de Fontainebleau.
Le territoire américain fut ensuite colonisé à partir du XVII e siècle par différentes puissances européennes (Espagne, Royaume-Uni, France (Nouvelle-France). Désireux de s'affranchir de la métropole britannique et de gouverner par eux-mêmes, les colons des Treize colonies proclamèrent leur indépendance en 1776.
La colonisation de l'Amérique du Nord par les Européens commença dès la fin du XVIe siècle. Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, elle était menée essentiellement par trois pays, l'Espagne, la France et l'Angleterre, mais également, dans une moindre mesure, par la Hollande et la Suède.
Face aux difficultés financières et la peur de voir tomber l'Alaska aux mains du rival britannique, le Tsar Alexandre II cède en 1867 tous ses territoires nord-américains aux États-Unis, pour la somme de sept millions de dollars.
La Nouvelle-France est déjà en mauvaise posture, parce qu'en 1713, Louis XIV avait cédé une partie de l'Acadie aux Britanniques par le traité d'Utrecht qui avait mis fin à la Guerre de Succession d'Espagne.
En 1604, les explorateurs français Pierre de Monts et Samuel de Champlain fondent le premier établissement européen au nord de la Floride – premièrement à l'île Sainte-Croix (aujourd'hui dans le Maine), puis à Port-Royal, en Acadie (aujourd'hui en Nouvelle-Écosse).
De l'empire français ne subsistent que les plus anciennes colonies qui sont graduellement devenues départements et territoires d'outre-mer (DOM-TOM) : Guyane, Guadeloupe, Réunion, Martinique, Polynésie française, Mayotte, Wallis et Futuna, Saint-Pierre et Miquelon, et Nouvelle-Calédonie.
La fin tragique de l'amérique française
Devant l'imminence d'un conflit, les anglais procèdent en 1754 à l'expulsion massive des colons français d'Acadie, une région passée sous leur contrôle quarante ans plus tôt. Cet épisode tragique est connu sous le nom pudique de « grand dérangement ».
Le 30 novembre 1803, il reprit officiellement possession de la colonie pour le compte de la France ; trois semaines plus tard, le 20 décembre 1803, il dut organiser une seconde cérémonie pour remettre le territoire aux États-Unis. Le 30 avril 1803, Napoléon avait, en effet, vendu la Louisiane au président Jefferson.
La Floride est cédée aux États-Unis par le traité d'Adams-Onís, signé le 22 février 1819, et constituée en territoire le 30 mars 1822 .
Trois ans avant l'établissement des premiers colons anglais à Jamestown (Virginie), seize années avant l'arrivée, en 1620, des pèlerins du Mayflower à Plymouth, ce sont des Français qui, à défaut de la découvrir, ont créé l'Amérique.
1682 : Le territoire devient possession française, grâce à René Robert Cavalier de la Salle, et porte le nom de Louisiane, en l'honneur du roi Louis XIV. 1762 : traité de Fontainebleau, pour éviter que le territoire passe aux mains des anglais, la France cède gracieusement la Louisiane à l'Espagne.
4 janvier : Samuel Colt vend des colt Walker modèle 1847 à l'armée américaine pour la première fois.
La Chine n'a pas été réellement colonisée par l' agression des puissances occidentales, même si elle a été dominée, militairement, économiquement et politiquement, et qu'elle a perdu une partie de son territoire entre le XVIème et le XXème siècle. On ne peut parler de semi-colonisation ou de colonisation de la Chine.
La colonisation par les paysans russes du vaste bassin de la Volga et de l'Oural prend son essor. Des paysans et fugitifs, les cosaques, s'installent sur les marges et s'organisent en « armée » tout en jouant les rôles de pionniers et de garde-frontières.
Or, les États-Unis et l'URSS sont tous deux opposés à la colonisation (l'URSS par anti-impérialisme, les États-Unis par attachement au droit des peuples à disposer d'eux-mêmes et par leur mémoire nationale de première colonie indépendante) et refusent explicitement d'aider les puissances coloniales à garder leurs ...