De la productivité des firmes à leur compétitivité. L'idée est simple en fait : la hausse de la productivité des firmes améliore leur compétitivité, c'est-à-dire leur capacité à gagner des parts de marché, et donc celle du pays, ce qui accroit sa capacité à exporter.
Pour les pays développés, l'amélioration d'une compétitivité structurelle est nécessaire pour stimuler leur croissance. Grâce à la montée en gamme, aux innovations, à la hausse de productivité, le système productif national en sera d'autant plus performant et efficace.
La compétitivité-prix dépend du prix à la sortie du pays, qui dépend lui-même du coût salarial* et du comportement de marge**, du taux de change et des coûts d'accès aux marchés. La compétitivité hors prix, également appelée compétitivité structurelle, est la capacité à imposer ses produits indépendamment de leur prix.
La compétitivité d'une firme se mesure à sa capacité à accroître ses parts de marché. Dans le cas de la compétitivité-prix, une firme est compétitive au niveau des prix lorsque, pour un produit identique, elle a les prix les moins élevés et gagne ainsi des parts de marché.
Les gains de productivité permettent de dégager de quoi financer des investissements privés (Q3) et publics (Q4). Ces investissements sont à leur tour facteur de hausse de la productivité : achats d'équipements de haute technologie, infrastructures, dépenses de recherche, d'éducation…
De la productivité des firmes à leur compétitivité. L'idée est simple en fait : la hausse de la productivité des firmes améliore leur compétitivité, c'est-à-dire leur capacité à gagner des parts de marché, et donc celle du pays, ce qui accroit sa capacité à exporter.
Les caractéristiques d'un produit donné peuvent être très importantes dans la détermination de sa position concurrentielle sur le marché et ceci est d'autant plus vraie quand le produit est différencié. Par conséquent, étant donné la diversité des préférences des consommateurs, les Dotation en ressources (terre, etc.)
Source de la productivité des firmes ? Sa valeur ajoutée et les facteurs de production qu'elle mobilise. Sources de la compétitivité-prix d'un pays ? La productivité de ses firmes avant tout + son différentiel d'inflation et son taux de change.
L'Union européenne définit la compétitivité comme la capacité d'un pays à améliorer durablement le niveau de vie de ses habitants, et à leur procurer un haut niveau d'emploi et de cohésion sociale, dans un environnement de qualité.
Plus largement, la compétitivité-prix est liée à l'évolution des coûts unitaires de production (coût du travail, prix de l'énergie, coût du capital, prix des consommations intermédiaires, etc.) nets de gains de productivité.
1 Les facteurs de la compétitivité
La compétitivité d'une économie dépend notamment de la qualité de la production, de la main-d'œuvre et des infrastructures, la capacité d'investissement, le coût salarial ou encore le dynamisme des petites et moyennes entreprises.
Les stratégies de localisation des FMN peuvent aussi chercher à augmenter la compétitivité hors-prix et à s'approcher des marchés. Une implantation dans des pays où la main-d'œuvre est particulièrement qualifiée et la recherche-développement importante permet d'améliorer la compétitivité hors-prix.
De quels facteurs dépend la compétitivité des entreprises ? La compétitivité-prix dépend des coûts de production des produits et du taux de change de la monnaie. La compétitivité-prix se définit comme la capacité des entreprises à offrir un bien à un prix inférieur à ceux de ses concurrents avec une qualité identique.
une hausse de la durée effective du travail permettrait d'alléger les coûts des entreprises et de renforcer leur compétitivité Une évolution des règles applicables au temps de travail paraît constituer un levier important de renforcement de la compétitivité des entreprises .
L'objectif des gains de productivité est essentiellement de faire baisser les coûts de production. Ainsi cela va amener des effets positifs d'abord pour l'entreprise. En effet, celle-ci pourra donc diminuer son prix de vente pour être plus compétitive et gagner des parts de marché.
La compétitivité traduit plus généralement la capacité d'une économie ou d'une entreprise à faire face à la concurrence étrangère. Mais le calcul de l'indice de compétitivité d'un pays se fonde uniquement sur les prix : c'est le rapport entre l'indice prix des importations et l'indice des prix à la production.
Même en se restreignant au commerce de produits manufacturés, des indicateurs différents sont en pratique utilisés pour mesurer la compétitivité : prix de production ou prix de gros, indices de prix à la consommation, déflateurs du PIB, prix d'exportation, coûts unitaires de main-d'œuvre et taux de change.
Ne pas se souvenir qu'il existe deux grands types de compétitivité, prix et structurelle. Croire que la compétitivité d'une économie nationale peut se résumer à celle des entreprises résidentes.
L'amélioration de la productivité permet à l'entreprise d'accroître ses revenus. Si les salariés produisent par exemple avec le même nombre d'heures de travail une quantité de biens supérieure, l'entreprise réalise un gain, appelé gain de productivité.
Pour améliorer la productivité, on peut jouer sur trois leviers : le progrès techniques (avec différentes formes d'innovation), la substitutions de facteurs de production ou la combinaison de facteurs complémentaires. L'amélioration de la productivité passe par l'investissement.
Les origines de la perte de compétitivité-prix
L'urgence serait alors à la baisse du coût du travail, notamment par la flexibilisation du marché de l'emploi (qui pèse sur les salaires) et par la baisse des dépenses publiques (qui permet de réduire les cotisations).
Il repose implicitement sur plusieurs hypothèses : – la compétitivité du produit résiderait dans son coût et dans un prix le plus bas possible. Le coût de la main-d'œuvre serait prédominant dans le prix de revient ; – La main-d'œuvre est censée avoir la même productivité partout dans le monde.
Elles produisent ainsi les différents éléments nécessaires à la production d'un bien dans différents pays pour profiter des avantages spécifiques des pays d'accueil (coût du travail, qualification de la main d'œuvre, etc.) et aussi pour réaliser des économies d'échelle.