Dans le golfe du Bengale, les populations sont fortement exposées aux crues. Elles construisent des digues de boue pour se protéger face aux inondations.
Le gouvernement, des ONG, la communauté internationale ont mis en place des politiques et des actions assez efficaces de prévention et de prévision : meilleure information des populations, systèmes d'alerte plus performants permettant de mieux gérer les phases d'urgence, aménagements de digues, préservation de la ...
Le Bangladesh fait partie des pays les plus vulnérables face aux changements du climat. Les populations côtières sont régulièrement soumises aux inondations, cyclones et autres sécheresses.
Des infrastructures résilientes sont construites. Des programmes d'eau potable et d'assainissement résistants au changement climatique seront mis en place dans les zones les plus exposées aux effets du changement climatique, comme les zones côtières et les zones sujettes aux inondations ou aux sécheresses.
Au sud, avec la montée des eaux, les champs sont inondés. Les paysans perdent leurs cultures et leurs maisons. De plus la salinité de l'eau augmente avec les cyclones et cette eau salée n'est pas bonne pour les cultures. L'eau potable se fait donc rare et il manque d'eau douce pour les irrigations au nord comme au sud.
Pour protéger les populations des risques, plusieurs mesures sont mises en œuvre : On édifie des digues pour faire face aux inondations. On reboise pour lutter contre la désertification. Face aux séismes ou aux cyclones, on adopte des normes parasismiques ou paracycloniques pour la construction des bâtiments.
Vous préparez une chronique sur les réfugiés climatiques au Bangladesh, pays pauvre et très densément peuplé. Les deux tiers des terres du pays sont situées à moins de 5 mètres au-dessus du niveau de la mer : le Bangladesh est donc fortement vulnérable face au changement climatique.
SOLIDARITÉS INTERNATIONAL intervient dans la zone depuis plus de dix ans, pour y améliorer la qualité de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène, réduire les risques de catastrophes et renforcer la sécurité alimentaire ainsi que les moyens d'existence des populations locales et réfugiées.
L'augmentation de la température de l'air et de l'eau entraîne une élévation du niveau des mers et renforce l'intensité des tempêtes, des vents, des sécheresses et des incendies qui durent plus longtemps, ainsi que des précipitations et des inondations.
Les risques liés aux inondations augmentent pour plusieurs raisons : L'urbanisation : de nombreuses constructions ont été implantées en zone inondable.
Deux raisons expliquent cette situation: au cours des années 1990, des accords mondiaux commerciaux (les accords multi-fibres) ont organisé le transfert de la production textile de l'Europe et des Etats-Unis vers l'Asie.
La très grande majorité des habitants du Bangladesh sont des Bengalis, mais le terme pour désigner tous les habitants du pays est Bangladais, de quelque origine qu'ils soient.
Cyclone, inondation, érosion des berges fluviales… Au Bangladesh, bien des fermiers ont dû quitter leurs villages côtiers pour refaire leur vie à côté d'une grande ville. Ces migrants climatiques se retrouvent entassés dans un bidonville près de la capitale, Dacca.
Se mettre à l'abri et protéger ses biens pendant une inondation. Apprenez à reconnaître les premiers signaux d'une crue et réagissez dès les premières alertes : garez votre véhicule hors de portée de la montée des eaux. surélevez les meubles et l'électroménager.
Le milieu naturel
Le Bangladesh appartient, pour l'essentiel, à la vaste zone deltaïque où se déversent les eaux du Gange, du Brahmapoutre, de la Tista (qui draine le Sikkim) et de la Surma-Meghna (qui draine le plateau de Shillong). C'est la partie vive de ce delta, presque totalement inondée pendant les mois d'été.
À l'horizon 2050, l'Afrique subsaharienne pourrait enregistrer jusqu'à 86 millions de migrants climatiques internes ; l'Asie de l'Est et Pacifique, 49 millions ; l'Asie du Sud, 40 millions ; l'Afrique du Nord, 19 millions ; l'Amérique latine, 17 millions ; et l'Europe de l'Est et Asie centrale, 5 millions.
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
La multiplication des ouragans et la dégradation des milieux contraignent des millions de Bangladais à quitter leurs terres. Ils exigent réparation des Occidentaux et ont déjà commencé à construire des abris de secours pour les populations.
Le Royaume-Uni accueille la plus forte diaspora bangladaise d'Europe, ses membres étant installés principalement à Londres ainsi qu'à Birmingham ; elle compterait près d'un demi-million de membres. Contrairement à celle des pays du Golfe, l'immigration bangladaise au Royaume-Uni est de nature permanente.
Il se pourrait que la plupart des pays soient concernés au sein de leurs frontières, certains en raison de la chaleur, d'autres en raison de risques d'épidémies, ou de la montée de la mer ou d'inondations récurrentes ; que les pays soient riches ou pauvres.
Le Bangladesh est aussi l'un des pays les plus exposés aux risques de catastrophe naturelle au monde. Ces risques sont divers : cyclones, inondations, séismes, entre autres. La situation humanitaire du pays est également aggravée actuellement par la pandémie de COVID-19.
La République populaire du Bangladesh, un pays de l'Asie du Sud-Est, tente de réduire la pauvreté que subit sa population depuis plusieurs années. En effet, celle-ci étant frappée régulièrement par des catastrophes naturelles, il est difficile de maintenir les infrastructures et terres agricoles en bonne qualité.
Dans cet État, 80 % des précipitations tombent pendant les 5 mois de la mousson (de juin à octobre), alors que 20 % seulement des terres sont protégées des inondations et équipées de drainage et d'irrigation.