Par exemple, les énergies solaire, éolienne et hydraulique sont de plus en plus utilisées pour remplacer les combustibles fossiles. De plus, l'innovation dans le domaine des transports peut nous aider à passer des véhicules à essence aux véhicules électriques, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre.
Les technologies ajoutées, comme les filtres utilisés pour la désulfuration, sont conçues pour réduire les émissions de substances nocives qui sont des sous-produits de la production. Elles consistent donc à mettre en œuvre des technologies additives permettant de limiter les émissions polluantes.
D'un autre côté, l'innovation est aussi l'un des leviers les plus efficaces pour améliorer notre impact écologique. Par exemple, la France produit une énergie émettant très peu de gaz à effet de serre, notamment grâce à l'énergie nucléaire et dans une moindre mesure aux énergies renouvelables.
La pollution numérique désigne toutes les formes de pollution engendrées par le secteur informatique : émissions de gaz à effet de serre, contamination chimique, érosion de la biodiversité, production de déchets électroniques.
Si nous ramenons la consommation d'Internet en termes d'utilisateurs, ces derniers sont responsables de près de 50 % des émissions de gaz à effet de serre produites par Internet. Chacun des internautes produit 200 kilogrammes (kg) de gaz à effet de serre et consomme 3 000 litres d'eau par année.
L'innovation a d'autre part tendance à augmenter la pression sur l'environnement, par le développement des pratiques d'obsolescence programmée, notamment dans les NTIC, dont l'utilisation requiert de plus une forte consommation d'énergie.
Le progrès technique peut permettre à l'Homme de diminuer son besoin de capital naturel en fournissant un ensemble de « techniques de remplacement ». Exemples : La découverte de nouveaux gisements, la dépollution, l'histoire, les innovations dans le DD, etc.
En conclusion, [reprise de la question ]l'innovation peut aider à reculer les limites écologiques de la croissance économique grâce [reprise affirmation AEI n°1] aux innovations vertes dans le domaine des transports, de l'énergie ou du développement urbain [reprise affirmation AEI n°2] ainsi qu'en permettant de faire ...
L'innovation peut également nous aider à réduire notre empreinte carbone en développant des technologies propres et des sources d'énergie renouvelable. Par exemple, les énergies solaire, éolienne et hydraulique sont de plus en plus utilisées pour remplacer les combustibles fossiles.
Le téléviseur, le plus gros des pollueurs
Et la palme d'or des plus gros pollueurs parmi les équipements numériques revient à la télévision.
5 solutions pour lutter contre le réchauffement climatique :
Privilégier les transports moins polluants. Manger moins de viande, plus de légumes et consommer local. Réduire ses déchets. Lutter contre la pollution numérique.
Consommer local permet d'encourager l'économie locale, de réduire les émissions dues au transport et de manger des produits de saison. Consommer des produits issus de l'agriculture biologique (dans la mesure du possible…). Manger moins de viande. Acheter du poisson issu de pêcheries gérées.
Promotion, mise au point et utilisation de technologies écologiques. Réduction de la consommation de ressources. Augmentation de la réutilisation et du recyclage des ressources naturelles (et donc réduction de la production et de l'élimination de déchets). Éco-efficacité.
L'objectif de l'innovation verte est de générer – avec des ressources naturelles et énergétiques limitées – des produits durables à faible consommation d'énergie et/ou à qualité environnementale améliorée.
De nouvelles idées et technologies sont conçues et mises en œuvre, ce qui accroît la production avec les mêmes intrants. L'augmentation de la production de biens et services pousse les salaires et la rentabilité des entreprises à la hausse.
Selon Schumpeter, c'est l'entrepreneur innovateur qui est à l'origine de la dynamique économique. L'innovation engendre une augmentation du niveau de production et des changements qualitatifs tant au niveau des méthodes de production qu'au niveau de la consommation.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
Utilisation d'énergies renouvelables, innovations techniques pour consommer moins, recycler les déchets, ne plus polluer… l'économie qui prend soin de l'environnement est un nouveau modèle qui permet de répondre aux besoins de tous les humains dans l'immédiat, et tout en assurant l'avenir. C'est la green economy.
Les technologies ajoutées, comme les filtres utilisés pour la désulfuration, sont conçues pour réduire les émissions de substances nocives qui sont des sous-produits de la production. Elles consistent donc à mettre en œuvre des technologies additives permettant de limiter les émissions polluantes.
De son côté, Emmanuel Macron, en 2021, mettait en avant des solutions innovantes pour réduire nos émissions, avec l'annonce du développement d'avions bas-carbone, du secteur des véhicules électriques ou encore de l'utilisation de l'hydrogène vert.
Les innovations technologiques professionnelles rendent le travail plus flexible, c'est indéniable. Mais elles apportent aussi parfois de nouvelles méthodes de communication et de travail ce qui peut parfois augmenter la porosité entre vie pro et vie perso. Le télétravail, les messageries instantanées, etc.