Adeptes de la respiration, de la méditation ou du yoga, les respiriens se nourrissent d'air, de soleil, et de quelques tisanes et bouillons. Leur moteur ? Le prana. Une pratique qui fait de plus en plus d'adeptes, mais qui présente des risques bien réels pour la santé.
Le "respirianisme", ce "dangereux mouvement sectaire" qui prône le jeûne absolu. Les "respiriens" jurent bien vivre sans boire ni manger, ou à peine. Leur "secret" ? Ils se "nourriraient" de lumière.
Les fondements du pranisme
Devenir végétarienne ; devenir végétalien ; passer aux aliments crus, puis aux fruits, puis aux liquides et enfin au prana, tels sont ses principes. Pour ce faire, il faut remplacer la nourriture par de l'air et de la lumière, ainsi qu'une nourriture métaphysique.
L'inédie (parfois appelée respirianisme ou pranisme) désigne l'abstention totale de nourriture et de boisson, fondée sur la croyance qu'une personne pourrait vivre sans se nourrir (voire sans boire) pendant plusieurs semaines, mois ou années.
Grâce à sa chair fibreuse, le jacquier peut se substituer à la viande dans de nombreux plats et devient la nouvelle obsession des végétariens.
goinfre (n.m.) 1. personne qui mange beaucoup, avidement, malproprement.
Le prana représente l'énergie nécessaire à la vie de l'homme. Ses adeptes en font un moteur unique : plus besoin de manger ou de boire, ils se nourrissent uniquement de l'énergie du soleil et de l'air.
Le prana est présent dans l'air que nous respirons, dans la lumière que nous voyons, dans l'eau que nous buvons et dans les aliments que nous mangeons. Vous l'aurez sans doute remarqué, l'air est bien plus frais en montagne ou à la campagne.
Ils proclament se nourrir d'air et de lumière et de très peu, voire, ne pas du tout manger. Certains adeptes du courant « respirianiste » ne se seraient plus alimentés depuis près de 20 ans. Un mouvement alimentaire extrême, apparenté à une secte, qui inquiète et qui a déjà causé plusieurs décès.
Posez une main sur le ventre, l'autre sur la poitrine. Inspirez amplement, doucement et consciemment, en remplissant d'abord le bas du ventre, puis tout le ventre, le bas de la poitrine et le haut du buste. Expirez de la même façon, en vidant d'abord la poitrine, le haut du ventre puis le bas du ventre.
Adoptez un rythme régulier pour vos repas et diversifiez vos menus : un régime varié et équilibré est la clé pour avoir de l'énergie toute la journée. En parallèle, gardez à l'esprit qu'une bonne hygiène de vie passe aussi par une bonne hydratation : il est recommandé de boire 1,5 L d'eau par jour1.
La respiration au moyen du diaphragme (c'est-à-dire la partie basse du torse, près du ventre) vous permet d'inspirer et d'expirer plus d'air. Il est essentiel d'inspirer beaucoup d'air pour développer votre Chi.
La banane se distingue par sa richesse en potassium et en magnésium. Cette richesse minérale contribue à limiter les crampes et l'apparition de fatigue chez le sportif. Le magnésium participe également à l'adaptation au stress. C'est également l'un des fruits frais les plus énergétiques.
Les fruits secs et graines séchées, sans additifs, notamment les pistaches et les amandes, sont de véritables concentrés d'énergie. Les amandes séchées par exemple sont très riches en protéines, en lipides et en fibres, de quoi vous donner un bon coup de fouet !
Il est connu que manger trop tard ou grignoter le soir favorise la prise de poids, mais des chercheurs ont montré que cette mauvaise habitude serait qui plus est dangereuse pour l'organisme sur le long terme.
On peut manger plus de six œufs par semaine sans risques. FAUX. On conseille en général aux adultes en bonne santé de consommer 5 à 6 œufs par semaine, pas plus, les œufs étant une source alimentaire importante de cholestérol (186 mg par œuf).
Ça arrive à tout le monde. Mais quand ce comportement se répète régulièrement et qu'on se sent impuissante devant la nourriture, on parle alors d'hyperphagie boulimique. Il s'agit d'un trouble alimentaire.
Le Chi prend sa source dans les chakras, sept points alignés entre le sommet du crâne et l'extrémité de la moelle épinière, puis il circule par les méridiens et se propage dans chaque cellule de l'organisme. Si pour nous, le Chi demeure abstrait, pour les orientaux c'est une réalité tangible.
Osenseï employait le mot "ki" dans de nombreux sens. Pour lui la concentration était le ki. Parfois il s'en servait pour décrire la confiance, la vitalité, souvent la force de l'univers et la fonction de Dieu. Il n'existe pas de définition complète : il faut appréhender la réalité.
Quels cours pour apprendre le chi ? Le chi se développe grâce à des activités semblables à la méditation ou à la sophrologie. Pour cela, il est possible de prendre des cours avec un “coach”, qui vous enseignera l'importance du chi mais aussi et surtout les bonnes habitudes à prendre.
Pour la retrouver ou la trouver une première fois, il suffit de la réveiller, de la provoquer, et surtout de savoir où la chercher. De quoi recharger les batteries, gérer sa fatigue, redevenir énergique, pleine de vitalité et plus confiante. Un exercice parfait pour avoir une meilleure estime de soi.