Le calcul de mètres carrés est simple, il suffit de multiplier la largeur en mètre par la longueur (L x l). La surface est égale = longueur x largeur. 5 mètres de largeur x 5 mètres de longueur = 25 mètres carrés.
Une fois que vous avez déterminé les dimensions exactes du garage, vous pouvez calculer sa superficie totale en multipliant simplement la longueur par la largeur. Par exemple, si le garage mesure 12 mètres de large sur 4 mètres de longueur, sa superficie sera égale à 48m² (12 x 4 = 48).
Dans la mesure où le garage est un espace de stationnement des véhicules, il ne crée pas de surface de plancher. En revanche, il entraine la création d'emprise au sol et de surface taxable. Encore deux notions à comprendre. Attention tout de même au fait qu'on parle bien des aires aménagées en vue de stationner.
Étant donné qu'il est réservé au stationnement de véhicules, le garage ne fait pas partie de la surface habitable. Comme les caves et les combles non aménagés, ces espaces n'entrent pas dans le calcul de la surface habitable puisqu'ils ne remplissent pas les conditions fixées par le Code de la construction.
La surface habitable inclut toutes les pièces fermées comme les chambres, salons, cuisines, salles de bains, couloirs et même les placards. Les espaces avec une hauteur sous plafond inférieure à 1,80 mètre et les extérieurs comme les balcons ou terrasses ne sont pas comptabilisés.
Est-ce que le couloir compte dans la surface habitable ? Le couloir entre bien dans le total de la surface habitable. Par contre, on exclut les balcons, terrasses, vérandas, caves, parkings et greniers.
Quelles sont les pièces à déclarer pour le calcul de l'impôt de taxe foncière ? La taxe foncière est calculée sur la valeur cadastrale du bien. Celle-ci dépend du nombre de pièces principales du logement ainsi que des annexes (couloirs, placards, garages…).
Les garages et parkings sont soumis à la taxe foncière sur les propriétés bâties. Le montant de cette taxe dépend de la valeur cadastrale et des taux d'imposition locaux. Les garages peuvent également être assujettis à la taxe d'aménagement et à la taxe d'habitation.
Les garages, remises et parkings privatifs situés à une distance inférieure à un kilomètre des logements, sont considérés, bien que non meublés, comme des dépendances de l'habitation. Les dépendances de la résidence principale bénéficient de la suppression de la taxe d'habitation pour ces logements.
Garage : qu'est-ce que c'est ? Un garage est un espace utilisé pour ranger une ou plusieurs voitures. Il peut faire partie intégrante d'une habitation ou bien être placé à l'extérieur de celle-ci, dans une construction annexe.
Les garages fermés et couverts disposent d'une surface taxable. Celle-ci va nous servir dans le calcul du montant de l'impôt. Cette donnée va être multipliée par la valeur annuelle au m². La valeur au mètre carré est revalorisée chaque année au 1er janvier.
Définir les dimensions selon l'usage
À titre de repère, notez que, pour un garage simple, la taille minimale est d'environ 12 pi (3,65 m) sur 22 pi (6,7 m), tandis que pour un garage double, on augmente la largeur à 20 pi (5,5 m).
Si vous transformez un garage de plus de 5 m² de surface close et couverte en une pièce de vie, vous devez déposer une déclaration préalable de travaux (DP). Vous pouvez effectuer vos démarches pour remplir la DP sur internet ou en utilisant un formulaire.
Aussi appelée “surface loi Boutin”, la surface habitable est définie par l'article R. 111-2 du Code de construction et de l'habitation. Elle représente la surface de plancher construite d'un logement, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons, escaliers, embrasures de portes et fenêtres.
Buanderies, débarras, séchoirs ou encore celliers font partie des surfaces prises en compte dans le calcul de la surface habitable dès lors que ces pièces sont intérieures au logement, c'est-à-dire qu'il n'est pas besoin de passer par l'extérieur pour y accéder, et que leur hauteur est supérieure à 1,80 mètre.
Un garage ou une place de parking servant à abriter les véhicules réservés à l'usage privatif sont considérés comme des dépendances. Ils entrent donc dans le calcul de cet impôt dû par les propriétaires et les locataires.
Le fisc indique en effet que garages et parkings doivent « être réservés à l'usage privatif » pour être soumis à la taxe d'habitation (source : BOI-IF-TH-10-10-10 §180). Ainsi, un garage dont l'usage est exclusivement professionnel n'est pas pris en compte dans le calcul de la taxe.
Attention : Un garage est par définition un espace non habitable. Dans le cadre d'une demande de construction de garage, les métrages utilisés ne concernent donc pas la surface de plancher qui correspond à la surface habitable, mais la surface d'emprise au sol.
Les garages et emplacements de stationnement constituent, en règle générale, des dépendances imposables à la taxe d'habitation, même lorsqu'ils ne sont pas contigus à l'habitation du contribuable et même si leurs occupants n'habitent pas dans l'immeuble collectif ou l'ensemble immobilier dont dépendent ces locaux.
Par conséquent, toute opération de construction qui se traduit par un agrandissement de l'habitation ou de la surface habitable modifie la base de calcul de la taxe foncière. C'est ainsi le cas pour l'aménagement des combles ou la surélévation d'une maison individuelle par exemple.
Ainsi, quand on ajoute les taxes et débours, pour un parking de 10 000 €, les frais de notaire maximum seraient de 2 200 € dans l'ancien, 1 700 € dans le neuf. Pour un parking vendu entre 15 001 et 30 000 €, les frais de notaire atteindraient au maximum 3 900 € dans l'ancien, 2 100 € dans l'immobilier neuf.
La taxe foncière sur les propriétés bâties est établie pour l'année entière, d'après la situation au 1er janvier de l'année d'imposition (ainsi, si vous êtes propriétaire au 1er janvier, vous êtes redevable de la taxe foncière pour l'année entière, même si vous vendez le bien au cours de l'année).
Comment déterminer la surface habitable à déclarer aux impôts ? Seule la surface habitable de votre logement est à déclarer aux impôts. Le calcul de la surface habitable est simple : vous prenez une pièce et multipliez sa largeur par sa longueur.
Si vous êtes âgé de plus de 75 ans au 1er janvier de l'année d'imposition N, vous pouvez bénéficier d'une exonération pour votre habitation principale.