Si vous êtes conscient que vous refusez d'être heureux, c'est probablement qu'un traumatisme vous empêche de profiter de la vie. Il est donc important que vous preniez le temps de découvrir la cause de ce traumatisme… peut-être même le savez-vous déjà. Dans ce cas, il vous sera peut-être nécessaire de consulter un.
Vivre à 100 à l'heure ne signifie pas qu'il ne faut pas s'accorder un peu de temps pour soi. Au contraire. Si on veut être bien dans notre vie, il faut savoir se chouchouter. On soigne son alimentation, on prend soin de son corps et on dort autant qu'on en a besoin (attention, on a bien dit "besoin", et pas "envie").
Profiter de la vie, c'est mettre de côté toutes les émotions qui nous rendent malheureuses et qui rendent nos journées moins belles. C'est un moyen de savourer d'autant plus les petits bonheurs du quotidien, de profiter de nos proches et des activités qui nous transportent.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Une des habitudes les plus sages que vous puissiez cultiver est de toujours être conscient de ce qui se passe autour de vous, de rester en permanence dans le présent et de savoir que ce moment fait partie d'un processus beaucoup plus vaste. Alors ne courez pas ; marchez !
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
De manière générale, créer du lien social reste primordial pour être bien dans sa vie. Difficile d'être heureux sans les autres… Sachez vous entourer d'amis sincères pour partager les bons moments et avoir du soutien dans les moments difficiles. De votre côté, montrez-vous présent lorsque la situation l'exige.
Vivre ensemble en paix, c'est accepter les différences, être à l'écoute, faire preuve d'estime, de respect et de reconnaissance envers autrui et vivre dans un esprit de paix et d'harmonie.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
Certaines personnes sont persuadées de ne pas avoir droit au bonheur. Ce type de croyance peut découler de situations diverses: un manque d'amour et d'affection durant l'enfance, l'impression de ne pas être issu du bon milieu social, une lourde culpabilité liée à un événement spécifique…
Le yoga ou la méditation sont l'une des meilleures pratiques pour cela. Elles permettent de revenir à une stabilité, à prendre du recul et à vivre l'instant présent. Et tout cela contribue fortement à votre mental et à lâcher prise.
Non, avoir peu d'amis n'est pas grave et c'est même tout à fait normal, mais ça n'est pas pour autant que ton mal être n'est pas légitime. Si tu en ressens le besoin, il faut absolument extérioriser. Mettre des mots sur ta situation t'aidera déjà à faire un pas. Cela peut être avec ta famille, tes amis ou tes proches.
Oui, il est possible survivre seul, même sur une île déserte. Cependant, pour vivre une vie épanouie, mieux vaut être bien entouré de collègue, famille et ami. Alors que certaines personnes disent que mieux vaut vivre seule que mal accompagné, moi je dirais que mieux vaut être accompagné d'un inconnu que d'être seul.
Occupez-vous au point où aucune pensée sur le passé ou le futur ne puisse vous atteindre. Il est plus facile d'y arriver si vous ne faites pas plusieurs choses à la fois. Faire plusieurs choses à la fois vous amène à perdre le fil de ce que vous faisiez et à penser à autre chose. Essayez d'aller à un rythme plus lent.
Comment vivre le moment présent? Vivre le moment présent, ou même la seconde présente, c'est vivre en pleine conscience. C'est prendre conscience de ses pensées et des émotions qu'elles engendrent au moment exact où elles arrivent. Puis, c'est choisir ou non de continuer d'y penser.
Vivre constamment dans le passé, c'est sentir en soi le temps qui file, passe et trépasse, de façon particulièrement douloureuse. Si douloureuse que certains refusent de croire que ce qui a eu lieu (une histoire d'amour, une enfance identifiée comme « heureuse », une période épanouissante au travail, etc.)