Boule au ventre, sueurs froides, nausées, tremblements, cœur qui bat à toute allure… Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie.
Avoir une bonne respiration
Prendre le temps de bien respirer rendra votre prise de parole plus fluide et plus intelligible. Une respiration calme et profonde est essentielle pour prendre la parole. On parle de respiration abdominale ; respirer « avec le ventre » fluidifie les mouvements du diaphragme.
Répétez votre texte à voix haute, d'abord seul(e), puis éventuellement devant votre famille. Vous pouvez même le faire face à un miroir, ou bien vous filmer. C'est un bon moyen de s'évaluer, de repérer ce qui ne va pas, et de prendre confiance. Une bonne maitrise du sujet aidera aussi à se sentir plus à l'aise.
Pendant un entretien : Se focaliser sur son rythme et son débit de parole, penser à sa position : Ouvrir le thorax et mettre les épaules en arrière, se tenir droit, respirer lentement. Porter son attention sur le contact avec le sol dans ses chaussures.
La méditation est LA solution anti-stress la plus efficace si vous y consacrez au moins quelques minutes par jour. Même si vous êtes néophyte en la matière, pas d'inquiétude. Cette discipline s'acquiert avec le temps, mais peut être bénéfique dès les premiers exercices.
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
Inspirez rapidement et sans bruit, puis expirez lentement juste avant de commencer à parler. Essayez de détendre votre région abdominale quand vous inspirez. Gardez vos épaules et votre poitrine le plus immobile possible. Faites une pause à la fin d'une phrase, juste avant de vous essouffler.
Apprenez à vous tenir bien droit. Évitez de croiser les bras ou de bouger dans tous les sens. En revanche, vous pouvez faire des gestes avec les mains pour apporter plus de précision et de force à vos propos. Pensez également à bien regarder vos interlocuteurs dans les yeux sans pour autant les fixer.
Le premier facteur, va être d'analyser et de simplement voir si le public est attentif à votre prise de parole. Si vous les voyez parler entre eux, dessiner, être sur leur téléphone ou faire une autre activité c'est que vous n'avez pas toute leur attention. Et que par conséquent, votre discours n'est pas réussi.
Placez vos paumes sur les côtés de votre visage et massez doucement les muscles de vos joues et mâchoires en réalisant de petits cercles. Continuer de masser en baissant et soulevant votre mâchoire. Placer le son – “mamamama” en contractant légèrement les lèvres sur le m.
La meilleure boisson pour la voix est évidemment l'eau, certains(es) chanteurs(euses) y ajoutent un peu de citron. Le mieux est d'éviter de boire trop froid, privilégiez l'eau à température ambiante. Vous pouvez y ajouter un élément bénéfique pour adoucir ou éclaircir la voix, si vous le souhaitez.
Entrez en relation avec les membres de votre public, créez des liens de sympathie en discutant avec eux. Apprenez à les connaître. Généralement, nous sommes beaucoup plus à l'aise, lorsque nous connaissons notre auditoire. ► Considérez que vous êtes porteur(se) d'un cadeau ou d'une opportunité.
Outre le fait d'engager une respiration basse, le meilleur moyen d'avoir une voix qui porte consiste à se relaxer. Vous pouvez intervenir sur plusieurs leviers tels que : Les muscles du cou, qu'il est possible de détendre par une légère pression sur le haut du crâne, tête rentrée vers le bas.
Les différents troubles chez l'adulte
Les dysarthries : en dehors des causes psychologiques comme le bégaiement , la cause peut être : une paralysie faciale , une maladie du cervelet , une maladie de Parkinson , un problème dentaire comme les dents de sagesse ou l'arthrose maxillaire, les crises de tétanie .
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
une pression routinière, au travail, à l'école, dans la famille ou encore pour tout autre responsabilité ; un stress provoqué par un changement soudain et imprévu, tel qu'un divorce, un changement de travail ou encore l'apparition d'une maladie ; un épisode traumatique : une catastrophe naturelle, un attentat, etc.
Dans le jargon scientifique, le système de réponse au stress est nommé l'axe hypothalamo-pituito-surrénalien (ou l'acronyme HPS). Lorsqu'un agent stressant est identifié, une petite région du cerveau, nommée hypothalamus, envoie des messagers chimiques à la glande pituitaire.
L'avocat. Ce fruit possède deux anti-stress importants : les acides gras monoinsaturés et le potassium. L'avocat est donc un très bon allié anti-stress car le potassium est réputé pour diminuer la pression artérielle et les acides gras monoinsaturés sont connus pour éviter la dépression et apaiser les troubles nerveux.