Modifiez le dialogue dans votre tête. Par exemple, au lieu de penser : « Je ne suis plus capable! », dites-vous plutôt : « Je vais me calmer avant de réagir. » Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant.
La préadolescence, période compliquée pour les parents
C'est donc entre 11 et 12 ans que les parents vivraient le plus mal la grande aventure de la parentalité. Pour en venir à ces affirmations, les chercheurs ont interrogé 2200 mères d'enfants de tous âges, aussi bien nourrissons que majeurs.
Les cris, les insultes et les menaces sont en effet considérés comme une forme de violence verbale et psychologique qui a un effet négatif sur le sentiment de sécurité que l'enfant peut ressentir en présence de ses parents.
Commencez par quelques minutes par jour à écouter de la musique, à lire, à méditer, à prendre une marche, à faire un peu de stretching entre deux tâches. Tous les moyens sont bons pour montrer à votre mental que vous voulez prendre du temps pour vous dans le but de rester calme et patient avec vos enfants.
Quand on est stressé, épuisé, les émotions au bord des lèvres, bref, à bout, on a forcément du mal à être disponible… Donc, si l'on ne se sent pas bien soi-même, il est difficile d'être bien avec ses enfants. Prendre soin de soi peut paraître être un luxe, mais j'ose dire que c'est une nécessité !
Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant. Ce souvenir libère dans votre cerveau de la dopamine et de l'ocytocine, des hormones de bien-être qui vous calmeront. Donner un câlin à votre tout-petit produit le même effet.
Nous avons des émotions bloquées et les voir chez nos enfants nous exaspère/frustre. Nous nous interdisons d'exprimer nos émotions et ne supportons donc pas celles de nos enfants. Nous ressentons une émotion à la place d'une autre : la colère se déclenche pour cacher une ancienne tristesse par exemple.
Le prendre tendrement contre notre poitrine, en l'entourant doucement de nos bras et de nos mains, permet souvent qu'il se sente en sécurité et commence à s'apaiser. On peut aussi, par exemple, essayer de : Le bercer, lui faire un câlin.
Le miroir et la découverte de son image
À sa naissance, le bébé n'a pas conscience de l'entité de son corps. Il joue avec ses mains ou ses pieds sans savoir qu'ils font partie de lui. À partir trois mois, si vous le placez devant un miroir, il le regardera comme n'importe quel objet.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Avant l'âge de 2 ans, un enfant n'est pas capable de comprendre ce qu'est une punition. Il comprend qu'il se passe quelque chose, mais ne peut pas faire le lien entre l'action et sa conséquence. Il est donc inutile de gronder ou de réprimander un bébé. De 12 à 36 mois, l'enfant se développe.
C'est aussi une façon d'attirer l'attention. Entre la naissance et jusqu'à 6 ans environ, les enfants ont généralement plus besoin d'attirer l'attention de la mère. Il s'agit d'un processus subconscient : l'enfant le fait parce que biologiquement elle est ce qui va lui permettre de survivre.
LE PRINTEMPS, PERÇU COMME LA MEILLEURE SAISON POUR ACCOUCHER
Selon l'étude, une grande majorité des femmes à qui l'on a demandé "si vous pouviez choisir, quel est le meilleur mois pour accoucher ?" a répondu le mois de mai. Le printemps est apprécié par les parents en devenir pour plusieurs raisons.
Nous pouvons donc dire que l'ennui fait partie du quotidien du bébé, et avec la curiosité, l'intérêt et le plaisir constituent les motivations du bébé. Tout en fonctionnant comme motivation ou comme souffrance il est aussi un signal d'appel vers autrui pour que le bébé soit soulagé.
Laisser pleurer un nouveau-né, des conséquences graves
D'après une étude du département de psychologie de l'université de Notre-Dame aux États-Unis, laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte.
S'il veut être dans tes bras, c'est qu'il en ressent le besoin. Un besoin d'être rassuré, de se sentir en sécurité dans des bras chaleureux, plutôt que dans une grande chambre ou seul dans un transat. La solution de plusieurs mamans est de porter leur bébé en écharpe ou de l'emmailloter pour qu'il se sente en sécurité.
Le fœtus apprend les émotions
Le fœtus fait aussi son apprentissage émotionnel dans le ventre de sa maman. Ses émotions se calquent sur celles de sa mère. Si elle rit, il sera heureux, si elle pleure, il ressentira sa détresse. Il ne faut pas oublier qu'un fœtus est beaucoup plus sensible qu'il n'y parait.
Lorsque l'on s'énerve trop souvent pour de mauvaises raisons et que l'on ne parvient plus à garder son calme, la cause est toujours la même : une mauvaise gestion de la colère. Beaucoup de personnes ne font qu'alimenter leur colère au quotidien, et ne savent pas la gérer sainement.
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
Méditer 20 minutes peut considérablement vous aider. Essayez de sortir respirer l'air frais. Planifiez de vous coucher plus tôt avec un bon livre et laissez certaines tâches en suspens ou levez-vous plus tôt, avant les enfants pour prendre un temps pour vous sans être dérangée.