Privilégiez les produits non suremballés, dans un emballage recyclable, dont la taille est ajustée au produit. Vous pouvez aussi choisir des emballages recyclables que vous pourrez utiliser plusieurs fois par la suite comme les bocaux en verre. Fini la bouteille plastique. Les alternatives existent.
Tissus enduits ou « bee-wraps » : à faire soi-même ou à acheter, il s'agit d'un tissu enduit avec de la cire d'abeille et de la résine d'arbres. Utilisé comme une seconde peau sur les aliments, comme couvercle sur les récipients et même comme sachet !
Quasiment tous les objets du quotidien contiennent du plastique. Dans une salle de classe, par exemple, on trouve du plastique dans : les trousses (même en tissu, il est fort probable que la fermeture éclair soit en plastique !), les stylos, les classeurs, les cartables et les sacs…
Pourtant, de vraies solutions alternatives aux gobelets plastiques existent, par exemple des gobelets 100 % biodégradables ou des éco-gobelets réutilisables plusieurs centaines de fois et recyclables. Ce sont les solutions les plus économiques. Mais l'option la plus durable reste d'opter pour une tasse ou une gourde !
Le plastique représente beaucoup de déchets. En effet, 91 % du plastique produit n'est pas recyclé. Si certains sont brûlés (et de ce fait, très polluants à cause du CO² qu'ils dégagent), d'autres sont enfouis sous terre. Ils mettront entre 100 et 1000 ans à se dégrader, et pollueront les eaux et les terres.
L'emballage en papier/carton
Le gros avantage des papiers-cartons comparé au plastique issu du pétrole, c'est qu'ils sont issus d'une ressource renouvelable : le bois. Ils ont aussi l'avantage de se dégrader facilement dans la nature et même de se biodégrader dans certaines conditions.
Ces particules de matières plastiques polluent les océans et sont ingérées par les animaux. Les gros morceaux de plastique avalés par les poissons peuvent bloquer leurs voies respiratoires et digestives, voire provoquer leur mort. Du microplastique a été décelé dans la chair des animaux marins.
L'ONU prévoit que si la tendance se maintient, en 2050, la production de plastique représentera 20% de la consommation mondiale de pétrole. Douze milliards de tonnes de plastiques se retrouveront dans les décharges et dans l'environnement.
Le « Cleancup » pour des gobelets réutilisables
Ainsi avec le CleanCup, un salarié pourra utiliser des gobelets en plastiques sans avoir à les jeter à chaque fois. Le CleanCup est une machine qui vise à réduire, voire supprimer les déchets.
On classe les matières plastiques en 3 catégories : les thermoplastiques. les thermodurcissables. les élastomères.
Les sacs à usage unique, les bouteilles, les contenants et les emballages alimentaires sont les quatre articles les plus répandus qui polluent les mers. En tout, 10 objets représentent les 3/4 des déchets plastiques retrouvés et sont – sans surprise – des objets de notre consommation quotidienne.
Au tout départ, le plastique n'est pas une matière, mais une propriété présente dans des matières naturelles, végétales (latex, ambre, la corne, écailles de tortue…). Depuis les origines, ces matières naturelles furent chauffées puis moulées pour fabriquer de nombreux objets aux propriétés 100 % naturelles.
Pour le faire cuire sous vide, il suffit de le plonger dans un bain d'eau chauffé à 63 °C (145 °F) et d'attendre qu'il atteigne, lui aussi, la même température. Pas plus compliqué.
Le papier sulfurisé (ou papier cuisson) est très pratique pour congeler de nombreux aliments et il peut se réutiliser plusieurs fois. Vous pourrez même l'utiliser pour le poisson ou la viande (dans ces cas là, il est préférable de ne l'utiliser qu'une seule fois).
Le carton représente une alternative particulièrement intéressante aux emballages plastiques, car il s'agit d'un matériau renouvelable, recyclable et biodégradable.
Le vélo ne pollue pas, et, en ville, il permet de se déplacer plus vite qu'en voiture sur une distance de moins de cinq kilomètres. Un voyage en avion ruine tous les efforts que vous accomplissez par ailleurs pour vivre de façon écologique.
Un autre problème : le verre est plus lourd que le plastique. Cela signifie que son transport émet plus de CO2 et qu'il coûte plus cher à transporter que le plastique.