L'oniomanie est souvent associée à des changements d'humeur, des états dépressifs, des troubles bipolaires, de l'anxiété, la prise de substances illicites, des troubles de la personnalité, des troubles de l'appétit (boulimie), des tentatives de suicides ou encore de la cleptomanie.
Ces achats pathologiques ont lieu durant une phase maniaque (phase d'excitation). Les objets acquis ne sont pas nécessaires et parfois peu ou pas utilisés car ils sont associés à la honte et à la culpabilité une fois l'achat terminé. Souvent, ils sont rangés dans une pièce où ils ne serviront plus.
Les personnes dépensières prouvent leur intense besoin d'être aimées et reconnues par les autres. Elles se disent qu'elles apparaîtront plus belles, plus fortes, plus puissantes grâce à leurs possessions. C'est une manière de réparer une profonde faille narcissique, un manque de confiance en soi."
Dans l'oniomanie (du grec onios, «à vendre»), l'objet acheté n'a pas d'importance. Contrairement au collectionneur qui chérit son achat, l'oniomane ne chérit que la transaction, le moment d'excitation qui précède l'acquisition et le soulagement éprouvé par la suite.
L'astuce pour arrêter de faire du shopping
Vous devez le voir aussi souvent que possible, c'est-à-dire en vous couchant, en vous levant, etc. Quand vous voyez cette nouvelle pièce mode, si vous ressentez un fort désir de le porter immédiatement ou au mieux le lendemain, cela signifie que vous pouvez le garder.
Pour éviter les dépenses inutiles, le premier conseil est d'établir un budget. Le fait de noter les dépenses et les rentrées d'argent va permettre d'avoir une vision plus claire de la situation financière. Par conséquent, un achat inutile viendra déséquilibrer le budget.
En règle générale, l'oniomanie se soigne au moyen de thérapies comportementales et grâce à l'aide sociale. Il est possible aussi de recourir à des médicaments psychotropes, tels que des antidépresseurs.
On devient accro du shopping quand une fragilité survient en nous, qu'elle soit passagère ou non, consciente ou inconsciente. Cela peut être une mauvaise estime de soi, un coup de blues, un manque affectif, une dépression cachée, etc. L'achat est en réalité là pour panser l'âme.
Selon ces études, près de 90 à 95 % des décisions sont prises dans le magasin et sont déterminées par nos impulsions, nos émotions ou nos habitudes. En résumé, nous achetons ce que nous connaissons. Seul un très faible pourcentage de nos achats est réellement basé sur une décision cognitive.
1 - Vous n'arrivez plus à ranger vos placards
C'est peut-être, voire sûrement, le signe d'un trop-plein d'habits. Il en va de même si vous n'avez plus de cintres disponibles ou que vos meubles vous servent de dressing temporaire.
Définition "dépensière"
Qui dépense beaucoup d'argent. Qui fait des dépenses excessives et inconsidérées.
L'imprévu est l'ennemi de l'épargne
Dans la grande majorité des cas, ce n'est pas le fait de dépenser en général qui vous empêche d'économiser : ce sont les dépenses non planifiées. Et il est souvent difficile de se rendre compte du réel impact de ces dépenses non prévues sur notre budget.
La publicité a toujours été un élément majeur dans l'acte d'achat, c'est elle qui génère le désir. La publicité tente de créer un déséquilibre, un manque. Ce produit est vraiment bien. Tant que vous ne l'avez pas, il vous manque quelque chose.
Plus le client trouve un vêtement à son goût et pas trop cher , plus il a un sentiment d'avoir fait une bonne affaire. Le but de chaque consommateur est de trouver un vêtement à moindre coût et qui permet de se sentir unique et important aux yeux des autres pendant un instant.
Entre autres, pour se faire plaisir, pour avoir de l'allure, pour notre porte-monnaie, pour l'image que nous renvoyons, pour le confort, pour faire la différence, etc … Bref il n'y a que des avantages à s'offrir des pièces qualitatives et durables.
Mais la première place de l'Europe se limite à la taille du marché, car les Etats-Unis devancent largement le Vieux Continent en termes de dépenses par tête et de croissance : alors que le consommateur européen moyen ne consomme que 627 euros par an pour ses achats d'habillement, l'Américain engloutit en effet 980 ...