Réponse : On nomme chaque groupe de citoyens à Rome une centurie.
Les comices tributes regroupaient les citoyens en fonction de leur lieu de résidence. Le roi Servius Tullius avait divisé le peuple romain en 35 tribus (4 dans la ville et 31 dans la campagne). Les comices tributes servaient à élire certains magistrats : questeurs et édiles curules et surtout les tribuns de la plèbe.
Sous la monarchie romaine existaient deux classes principales, les nobles et le peuple (populus), outre les esclaves et les non-citoyens.
On en change peu car c'est un cadre qui fait partie de l'état civil du citoyen qui se définit par ses tria nomina (c'est-à-dire les trois composantes de la dénomination officielle du citoyen romain, à savoir le praenomen, le prénom, le nomen ou gentilice, et le cognomen, le surnom) et l'appartenance à sa tribu.
La société romaine n'était pas une société égalitaire. En effet on distinguait les hommes libres et les non-libres, les esclaves (servus). Parmi les hommes libres, il y avait les citoyens à part entière (civis) et ceux qui ne l'étaient pas : l'affranchi (libertus) et l'étranger (peregrinus).
Les 3 classes sociales sont définies par le sociologue Pierre Bourdieu. Il s'agit de : la classe supérieure, la classe moyenne et la classe ouvrière.
L'empereur, les patriciens et les plébéiens sont des citoyens romains alors que les étrangers, les affranchis, les esclaves ainsi que les femmes sont des non-citoyens.
Il n'existe pas une « citoyenneté latine », mais sous l'Empire, les citoyens des municipes latins (cités pérégrines ayant reçu le droit latin et ayant modifié leurs institutions pour s'aligner sur le modèle romain) sont appelés non « pérégrins », mais « citoyens latins ».
-C) : une légion serait désormais composée de dix unités, appelées des cohortes, de 600 hommes chacune et numérotées selon leur spécificité de combat.
Les patriciens, qui sont à l'origine les descendants des patres, les membres des gentes, constituent une aristocratie héréditaire. La plèbe, qui englobe tous ceux qui n'en sont pas membres (habitants des cités voisines, étrangers résidants à Rome et anciens membres des gentes exclus), prend forme au vi e siècle av.
Les patriciens étaient les membres de l'aristocratie romaine, tandis que les plébéiens constituaient la classe populaire. Cette division sociale avait un impact significatif sur la politique, l'économie et la vie quotidienne à Rome.
Cercle familial et formations de parenté romaines
La famille aristocratique ( gens,gentis,f) est constitué des lares: dieux de l'abondance; des Pénates :dieux du garde-manger; et des Mânes: esprit des ancêtres défunts. Le père de famille ( pater familias) est le prêtre de ce culte .
Les Romains ont adopté une attitude très différente de celle d'Athènes dans leur rapport à la citoyenneté. En effet, alors qu'à Athènes, le droit de cité était concédé à très peu d'hommes, dans l'empire romain, il a été largement répandu, mais toujours uniquement aux hommes libres.
Dans la Rome antique, le mot curia (curie en français), désigne un groupe d'hommes, ou le lieu où ils se réunissent. Le terme désignait ainsi des subdivisions civiques à Rome à l'époque de la monarchie et dans les cités de droit latin. À Rome, la Curie désigne le bâtiment où se réunissait le Sénat romain.
Les consuls sont des magistrats romains dont la fonction serait apparue lors de la fondation de la République, et qui sera abolie par Justinien en 541. Ils formaient un collège de deux magistrats qui, jusqu'au principat d'Auguste, étaient élus pour un an par le peuple romain réuni en comices centuriates.
Les comices (en latin : comitia) sont dans la République romaine des assemblées qui expriment la volonté du peuple romain dans les domaines électoraux, législatifs et judiciaires. Ces assemblées sont au nombre de trois, ou quatre si l'on comprend le concile plébéien.
L'armée romaine (en latin : exercitus Romanus ; en grec ancien : στρατός Ῥωμαίων) est l'armée de la Rome antique. Elle permet aux Romains de dominer la Méditerranée du II e siècle av.
légionnaire n.m. Soldat d'une légion romaine. légionnaire n. Membre de la Légion d'honneur.
La barbe. Les pionniers combattaient au plus près de l'ennemi et ce sont eux qui montaient à l'assaut en premier. Par conséquent, leur espérance de vie était très faible. Ils avaient ainsi l'autorisation de ne pas se raser la barbe avant de partir au combat, et ils revenaient barbus lorsqu'ils survivaient.
En premier lieu, le citoyen est un national titulaire de ses droits civils et politiques qui concourt à l'exercice de la souveraineté nationale au sens de l'article 3 de la Constitution. En deuxième lieu, le citoyen se définit par les droits dont il est titulaire et par les devoirs auxquels il est assujetti.
Le Romain libre est avant tout un citoyen. Il élit ses magistrats, vote les lois, déclare la guerre. Et aucune grande carrière politique ne peut s'envisager sans son soutien. Bref, rien d'important ne se fait à Rome sans le peuple.
Les plébéiens obtiennent le droit d'appel direct au peuple, réunis dans les comices centuriates. Il s'agit de contester les décisions des magistrats, le plus souvent patriciens, si elles peuvent entraîner la peine de mort.
Le citoyen romain avait seul le droit de porter la toge. Durant l'Antiquité, la citoyenneté romaine était une position sociale qui non seulement donnait le droit de vote, mais donnait un statut privilégié au sein de la société romaine. Seuls les hommes peuvent être citoyens.
Il a y deux catégories de non-citoyens : les esclaves et les métèques. Les esclaves sont présents dans tout le monde antique et sont, la plupart du temps, des captifs de guerre ou des enfants d'esclaves. Leur sort n'est guère enviable et varie selon leur fonction ou le caractère de leur maître.
Le consul de la République romaine est le magistrat ordinaire qui détient le plus haut niveau d'imperium, ce qui le place à la tête du gouvernement romain. À la fin de la République, les consuls ont autorité sur tous les autres magistrats, excepté les tribuns de la plèbe.