Les principaux facteurs de risque de cancer colorectal sont l'âge supérieur à 50 ans, les maladies inflammatoires intestinales, un antécédent personnel ou familial d'adénome ou de cancer colorectal, une prédisposition génétique, la consommation excessive de viande rouge ou de boissons alcoolisées, le tabagisme, l' ...
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Il y a 3 facteurs de risque nutritionnels identifiés pour le cancer colorectal : la consommation d'alcool, le surpoids et la consommation excessive de viande (rouge) et surtout de charcuteries qui sont des aliments ultra transformés et dont la consommation doit être très limitée.
Pour le cancer du côlon :
Cette répartition varie avec l'âge : les cancers diagnostiqués à un stade précoce sont plus fréquents chez les 40-74 ans (48 %) alors que ceux de stade avancé le sont davantage chez les moins de 40 ans (38 %) et les plus de 74 ans (37 %).
Et bien oui, on peut vivre sans côlon et non, il n'y a aucune contrainte. Si ce n'est, un transit intestinal accéléré qui se régule rapidement après l'opération, avec au besoin un traitement médicamenteux à base d'anti-diarrhéiques.
Le cancer colorectal (ou cancers du côlon et du rectum) est un cancer du gros intestin qui peut être guéri s'il est détecté précocement.
La survie nette représente la probabilité de survivre au cancer en l'absence d'autres causes de décès. Elle permet d'estimer le pourcentage de personnes qui survivront à leur cancer. Au Canada, la survie nette après 5 ans pour le cancer colorectal est de 67 %.
Certains types de cancer peuvent entraîner un gain de poids. Le cancer de l'ovaire et le cancer colorectal, par exemple, peuvent causer l'accumulation de liquide dans les jambes ou l'abdomen. Ce type d'œdème porte le nom d'ascite.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Ce bilan comporte un examen du foie (échographie, scanner ou résonance magnétique nucléaire) car lorsqu'un cancer colorectal se généralise, il envahit souvent le foie. Une radiographie des poumons est également réalisée, surtout dans les cas de cancer du rectum, à la recherche d'éventuelles métastases pulmonaires.
Les cancers colorectaux restent longtemps discrets, mais ils entraînent l'apparition progressive de symptômes digestifs et abdominaux s'ils ne sont pas détectés. Comme pour tous les cancers, un diagnostic précoce est gage d'un meilleur pronostic.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Les aliments à privilégier
Avoine, seigle, orge, riz, millet et quinoa. Pomme, banane, pêche et nectarine, fruits rouges, pamplemousse. Légumes cuits, betterave, épinard, poivron, céleri, laitue, pomme de terre et patate douce, haricots verts, carotte, courge, courgette.
En France, on recommande donc un dépistage systématique du cancer du côlon chez les personnes âgées de 50 à 74 ans. Les personnes à risque seront souvent invitées à procéder à ce dépistage plus tôt ou différemment.
Pour la plupart des gens, le dépistage du cancer du côlon devrait commencer à 50 ans. Si une coloscopie ne montre pas la présence d'adénomes ou de cancer et que vous ne présentez pas de facteurs de risque, le prochain test ne devrait pas avoir lieu avant dix ans.
L'ail. L'ail est une plante potagère aux multiples vertus. Hippocrate recommandait déjà sa consommation en grandes quantités comme remède contre le cancer. Son principal composé, le disulfure de diallyle, empêcherait le développement et la prolifération de cellules cancéreuses, notamment celles du côlon.
L'intervention a lieu par coelioscopie, c'est à dire à l'aide de plusieurs petites incisions et d'un petite ouverture de 5 cm pour sortir le colon et la tumeur, réalisée au dessus du pubis. Elle dure environ 2 heures (de 1h30 à 3h en fonction des difficultés opératoires).
Les facteurs de risque de polypes du côlon et du rectum
Le risque d'avoir des polypes augmente en vieillissant ; ses antécédents familiaux. C'est le cas si l'un de ses parents, frère ou sœur a eu des polypes ou un cancer colorectal ; ses antécédents personnels.
Légumes pauvre en fibres (cuits puis crus) : betterave, courgette, carotte cuite, potiron, courge, aubergine, HV extra fin, salade cuite, blanc de poireau, pointe d'asperge. mauvaise tolérance, éviction pendant 1 semaine puis nouvelle tentative.