Salve ! Vale ! salve signifie à la fois : vale signifie « au revoir », « bonjour » et « au revoir » « adieu », « porte-toi bien » (cf.
suavelos : (bon vent / bienvenue / bonjour) • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique • 10944 • L'encyclopédie • L'Arbre Celtique.
La boue, la suie, la glaise, la cervoise, les magouilles, et les truands sont tous des mots d'origine gauloise. Comme si les Romains les avaient autorisés pour donner à leurs adversaires une réputation peu flatteuse.
La langue gauloise appartient à la grande famille des langues indo-européennes qui sont apparues plus de 2000 ans avant notre ère. Plus précisément, le gaulois appartient à la branche des langues italo-celtiques, tout comme le celte et le breton, l'italien, le latin.
C'est une langue celtique, comme le gaélique d'Irlande et d'Ecosse ou le brittonique du Pays de Galles et de Bretagne. Le gaulois est issu de la même souche indo- que le latin, d'où des parentés linguistiques. Des dialectes gaulois locaux ont vraisemblablement existé, mais n'ont pas laissé de traces tangibles.
Les Gaulois se nommaient eux-mêmes « Celtes » (« Celtae » en latin) en leurs langues ou plus exactement Keltoï écrit en alphabet grec.
Les plus anciens Gaulois connaissaient-ils ce que nous appelons «l'écriture»? Oui, puisqu'ils gravaient des inscriptions dans leur langue sur pierre, sur bronze, sur céramique, mais ce n'est là qu'une forme particulière de l'écriture.
Usage de l'écriture
Les Gaulois, de tradition orale, n'utilisaient pas un alphabet propre mais ont emprunté celui des Grecs, des Étrusques ou des Latins auxquels ils ajoutaient des lettres, comme le tau gallicum, pour transcrire les sons absents de ces langues.
Le gaulois est une langue indo-européenne, une langue italo-celtique, une langue celtique et enfin, une langue celtique continentale. La branche celtique continentale comprenait : Le gaulois, qu'on parlait en Gaule et dans le nord de l'Italie. Le lépontique, qu'on parlait également en Italie du Nord et en Gaule.
On peut noter la présence de «la bruyère», des «ifs», des «érables» et des «bouleaux». Mais pas seulement. Que seraient en effet nos bois et nos bosquets sans leurs petits «cailloux», du gaulois caljo «pierre» par l'intermédiaire d'un dérivé caljávo «caillouteux»?
En général, les Gallo-Romains parlaient leur langue celtique, mais dans les villes ils apprenaient le latin comme langue seconde pour pouvoir communiquer avec les autorités. La langue gauloise a commencé par ne plus être utilisée dans les villes à partir du IIe siècle, pour gagner ensuite progressivement les campagnes.
Le Français n'a pourtant aucun Gaulois pour ancêtre. Il descend des Celtes, des Ambiens, des Helvètes, des Pictes… Bref, de toutes sortes de tribus. Mais d'aucune tribu gauloise, car aucun peuple ne s'auto-désignait « Gaulois » il y a plus de 2 000 ans.
Ou bien du latin gallus , lui-même issu des langues celtiques galia (« force »). (Adjectif 2) De l'ancien français galois, dérivé de galer (« s'amuser ») qui nous donne aussi galant .
À chaque date est associé un arbre qui est donc un signe astrologique celtique. Exemple : une personne née le 28 mai 1994 aura pour signe astro celtique le frêne, tandis qu'une personne née le 21 janvier 1964 aura pour arbre l'orme.
À la création des écoles diwan à la fin des années 1970, l'expression « demat » se généralise pour dire « bonjour ». Composé de deizh (jour) et mat (bon), le mot « demat » est alors une expression désuète et très peu utilisée, voire quasiment pas, par les bretonnants.
Les premiers Romains ont baptisé Galli (« Gaulois ») les Celtes du nord de la péninsule italienne, elle-même appelée Gallia (Gaule), d'après le mot celtique galia (« force » ou « bravoure »). On retrouve encore aujourd'hui cette appellation dans Galicie (Ukraine subcarpathique) et Galice (Espagne).
Avec leurs cheveux longs et leurs moustaches tombantes, les Gaulois avaient un physique impressionnant. Ils se rasaient la barbe et taillaient leurs grandes moustaches. Ils étaient vêtus d'une tunique de laine souvent à carreaux ou à rayures, serrée à la taille par une ceinture en cuir.
De 58 à 51 av. J-C, les Romains, menés par Jules César, voulant étendre leur territoire, envahissent la Gaule. Les Gaulois parlent une langue celtique, le gaulois, et les Romains parlent une langue italique, le latin.
Les pratiques religieuses dans la Gaule Romaine
Les Romains, comme les Gaulois, sont polythéistes : ils croient en de très nombreux dieux et déesses. Ces dieux ressemblent à des hommes et à des femmes, mais ils sont immortels.
Ésus (ou Hesus ou Aesus) est une divinité de la mythologie celtique gauloise, mentionné, avec Teutatès et Taranis, dans la Pharsale de Lucain ( I er siècle).
Sobek appartient aux dieux aquatiques d'Égypte et plus directement à sa source de vie : le Nil. La présence des crocodiles dans le delta et le fleuve est un signe agricole favorable. Elle annonce les prochaines crues et donc la fertilité de la terre et des récoltes.
La Gaule et ses peuples à la veille de la conquête romaine. La gaule (la longue perche) et La Gaule (de Vercingétorix, vaincu en 52 avant JC par César) s'écrivent avec un seul « l » car l'article « la » correspond au nombre 1. Par Christian Royannez.
César a écrit La Guerre des Gaules parce qu'il voulait donner une unité à sa belle conquête. Les historiens du XIXe siècle ont inventé les Gaulois pour déterminer une origine et une frontière à la France.
Avant l'arrivée des Celtes, les tribus autochtones, appelées « peuples mégalithes », étaient installées sur le territoire que, plus tard, Jules César nommera « la Gaule ». Les tribus mégalithes vivent de la cueillette et de la chasse et sont en grande partie nomades.