Il existe plusieurs versions quant à l'origine de ce terme péjoratif. À La Réunion et dans d'autres anciennes colonies françaises comme La Nouvelle-Calédonie, les Blancs sont parfois surnommés zoreils ou zoreilles . Il y a plusieurs versions quant à l'origine de ce terme péjoratif pour parler des métropolitains.
Ce surnom viendrait du fait que, comprenant mal le créole ou la langue des autochtones, les Français feraient constamment répéter et passeraient ainsi pour être «durs d'oreille».
Yab est un mot : un terme propre à l'île de La Réunion pour désigner les réunionnais(e) bien Blancs, une divinité tibétaine du couple Yab-Yum, Mar Yab-Alaha I (415-420), catholicos-patriarches de l'Orient, primat de l'Église apostolique assyrienne de l'Orient.
Comment vas-tu ? : Koman ilé ? Ça va : léla.
Si l'on considère qu'un groupe ethnique constitue un élément plus ou moins reconnu d'une nation, d'un pays ou d'un territoire, alors les métropolitains installés pour une durée variable à la Martinique peuvent, par un processus d'ethnicisation, être désignés de “métros martiniquais”.
À La Réunion et dans d'autres anciennes colonies françaises comme La Nouvelle-Calédonie, les Blancs sont parfois surnommés zoreils ou zoreilles .
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de la Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe. En Martinique, les békés constituent un peu moins d'un pour cent de la population, soit environ 3 000 personnes.
(La Réunion) Ami, camarade, copain.
Je t'aime en créole :
Créole Antillais (Antilles françaises) : mwen enmen. Créole Martiniquais (Martinique) : mwen enmen'w. Créole Guadeloupéen (Guadeloupe) : mwen enméw. Créole Réunionnais (La Réunion) : mi aim a ou.
An kidbol. :: Moche, mal foutu.
La Réunion, Les Réunionnais.
Ce petit morceau de terre est renommé île Bourbon, en hommage à la famille royale. Pendant la Révolution, la Convention nationale décide de changer de nom.
La population à la Réunion
Les Cafres (Noirs) représentent près de la moitié des habitants. Suivent ensuite les Malbars (Indiens Tamouls) avec un quart de la population environ, puis les Yabs (créoles blancs) avec 15% et les Zoreils (métropolitains) avec 10%.
Les « Blancs-Pays » sont encore appelés « Blancs-créole » en Guadeloupe, « békés » étant le nom qu'on leur donne en Martinique.
Les premiers colons, des Français, s'entourèrent vite d'esclaves venus d'Afrique, les « Cafres » ou de Madagascar. Plus tard, des engagés indiens, tamouls ou originaires de la côte de Coromandel (Nouvelle-Zélande), les rejoignent. Leurs descendants restent indifféremment appelés « Malabars ».
Ainsi : kriyé + N veut dire "appeler N" (et non pas "crier"...) gèl veut dire "bouche" (en parlant d'un humain) et non pas "gueule". - fèmé gèl a'w = tais-toi !
Mwen aimé ou doudou : Chéri(e) je t'aime. Pani problem : Pas de problème. Tiembè raid, pa moli ! : Tiens bon !
PIOUK, alias Piou Piou, est un chien mâle d'environ 1 an et d'environ 14 kg. Il est en famille d'accueil depuis août 2019 et il a été parrainé par ACTU Animaux pour l'opération de sa patte arrière droite.
Et « Béko » (ou « Piouk ») est la traduction de « Bisous » en créole réunionnais. « Fé in béko » (ou « Fé in piouk ») veut par exemple dire « Faire un bisou ». Les « Ti bisou » sont très courants chez les « créolophones ».
Ou kalkil kossa ? / kossa ou kalkil ? : qu'est-ce que tu crois ? Oussa ou sava ? : où vas-tu ?
Les Blancs créoles sont les descendants des premiers colons. Ils sont couramment appelés « Békés ». Cette appellation peut être ressentie comme péjorative [10]. Cependant, mes informateurs blancs créoles se désignent eux-mêmes comme « Békés ».
(...) A la Martinique, comme vous le savez, on appelle « Békés » les descendants des colons européens implantés dans l'île depuis plusieurs générations, certaines familles s'étant établies dès le début du XVIIe siècle.
Dans les départements, régions et collectivités de la France outre-mer (DROM-COM), le terme Z'oreille (qu'on peut aussi orthographier Zoreilles, Z'oreil ou encore Zorey) désigne un Français métropolitain.