Mme Cadiou gwreg ar C'hadiou, ou on utilise le nom de jeune fille ex.
Littéralement, « ken » se traduit par « jusqu'à », alors que « a vo » signifie « ce qu'il y ait ». Comme pour le français « au revoir », kenavo implique qu'il y ait une prochaine fois.
Hollgaret : Chéri(e) Ma ael : Mon ange. Ma kalon : Mon cœur. Ma boudig koant : Ma jolie fée.
Mersi est le mot breton directement issu du français « merci ».
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Dire bonjour en breton
En allant souvent à l'essentiel : mont a ra ? / mat ar jeu ? / mat an traoù ? / mat ac'h a ? / penaos emañ ?…
Les étapes suivantes sont généralement plus physiques que platoniques : bouchoù (des baisers), flouradennoù (des caresses), c'hoari koukoug (jouer au coucou, que l'on dit aussi « c'hoari daou », jouer à deux… autrement dit, faire l'amour).
La seule manière de trinquer quand on est breton : Yec'hed Mat !
JOLI -E, -MENT KOANT, (fig.) BRAV(IG) /& -K (parf. iron.), anc. jolif (nf.)
cette sempiternelle question, le plus simple est de répondre que les Bretons ne disent pas bonjour ! Par manque de politesse ? C'est en réalité tout le contraire ! Dans la société traditionnelle, les gens se côtoyaient certainement plus qu'aujourd'hui et prenaient le temps de discuter les uns avec les autres.
BIENTOT BIENTÔT : (sans tarder) HEPDALE, parf. DIZALEPREST dim. -ig : prest awalc'h, var. a -bres, dambrest (tout à l'heure) BREMAIK, usu.
Aujourd'hui “Mademoiselle” ne s'emploie plus que si on s'adresse à une toute jeune fille ou à une femme qui tient à se faire appeler ainsi. Par sécurité, je vous conseille de toujours utiliser “Madame”.
On emploie le titre de civilité madame pour toutes les femmes, quel que soit leur statut matrimonial. On réserve l'emploi de mademoiselle à une très jeune fille ou à une femme qui le demande expressément.
Traditionnellement, on distinguait les termes madame et mademoiselle : le premier titre était donné aux femmes mariées, alors que le second était employé en parlant d'une jeune fille ou d'une femme célibataire. Cette distinction est encore répandue en France, bien qu'elle y soit de plus en plus contestée.
3- « Gouelle »
Une gouelle est donc une personne qui mange beaucoup.
Prononcez [Yermat]. Traduction : « santé ! », « à la vôtre ! ». Comme disent les locaux : « En Bretagne on n'a pas de montagne, mais on a une bonne descente ».
KOANTENN & bih. -IG b. -ed jolie fille.
BEBE BÉBÉ : BABIG (var. BABICH) m. -ed (enf.) BABA m.
KOANT E, bih. -IG ad. joli, -ment, & gentil, mignon (dim.
MAMAN MAMM f. -où (& mère) : lar da Mamm (pas de mut.), dim. -IG, (enf.)
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
Un petit mot doux ça fait toujours plaisir, essayez “tu es belle/beau” en breton, “brav out”. L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).